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American nightmare [SPECTRE & Al Qaida]

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Ernst Stavro Blofeld
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MessageSujet: American nightmare [SPECTRE & Al Qaida] American nightmare [SPECTRE & Al Qaida] I_icon_minitimeJeu 24 Oct - 18:52

American nightmare [SPECTRE & Al Qaida] Articl11
Commissariat Central du LAPD,
L'inspecteur Ryan Milo venait tout juste d'arriver dans son bureau après une longue nuit de sommeil. Qu'alors le commissaire le demanda dans son bureau. Ryan n'avait pas la tête à ça, oh non... Sa petite amie l'avait quitté depuis trois semaines et il vivait maintenant seul avec son chien. Il avait eu à peine le temps de lire le journal d'aujourd'hui, mais les infos devaient être intéressantes. Presque toute l'équipe de la brigade lisaient curieusement le Los Angeles Times, étrange... Ryan rentra alors dans le bureau du patron calmement n'étant toujours dans ses pensées. Le commissaire demanda à l'inspecteur de s’asseoir après une petite poignée de main. Ryan releva légèrement ses lunettes puis regarda le Commissaire Rotberg, quand soudain il prit la parole.

Commissaire Marc Rotberg:

"Inspecteur Milo, avez-vous lu la nouvelle édition du Times ? Vous devrez Inspecteur... Des chevaux retrouvés morts, étrange n'est ce pas ? La plupart de nos hommes sont sur l'affaire Sand, comme l'un des sièges de l'entreprise se trouve ici. Vous vous occuperez de l'affaire des chevaux. "


"Vous vous foutez de moi, pourquoi moi ?!? Toutes les enquêtes que je mène sont toujours ou presque résolues en faisant le moins de dégâts possibles, monsieur le Commissaire, avec tout le respect que je vous dois, ai-je mérité ça ? "


Le Commissaire Rotberg se leva et attacha un bouton de sa veste puis mit ses mains dans les poches de son pantalon. Il avait l'air très sérieux et autoritaire face à l'inspecteur Milo mais les policiers n'avaient pas peur de lui et le considéraient comme leur paternel. Il savait prendre les bonnes décisions et dirigeait le mieux possible ses hommes. L'ancien Commissaire était un pourri, lui c'est totalement le contraire. Depuis son arrivée au LAPD, énormément de choses ont changé dans la police de Los Angeles...


"Inspecteur Milo... Je n'me suis pas fait bien comprendre. De cette affaire dépendent des milliers de vies peut-être, même la ville toute entière si les chevaux sont morts d'une nouvelle infection. La question est : l'infection a t'elle fait son apparition dans l'organisme de l'animal naturellement ou quelqu'un a-t-il injecté un virus ou autre dans le corps des chevaux. Je veux des réponses le plus vite possible Milo. Cette affaire est importante, c'est pour cela que vous devez la résoudre. Bonne chance Inspecteur."


L'inspecteur Milo se leva alors et salua légèrement le Commissaire puis prit la direction de la sortie. Il tremblait un peu d'une de ses mains. Il avait des problèmes psychologiques depuis le départ de sa petite amie. Mais heureusement que ses amis de l'équipe du LAPD l'aident énormément. Quand Ryan ouvrit la porte menant à l'extérieur du bureau de Rotberg. Il l'entendit lui dire une dernière phrase. 


"Inspecteur, je suis au courant pour vos problèmes personnels. Sachez que nous sommes avec vous, si vous avez besoin d'aide nous serons là pour vous. Vous êtes l'un de nos meilleurs éléments, ne l'oubliez pas..." 

_________________________________________________________________
Labo du LAPD,

C'est au laboratoire du LAPD que l'enquête de l'Inspecteur Milo commence, le docteur Amanda Charo s’occupait des analyses du sang de chacun des chevaux dans cette affaire. Les résultats qu'elle eue se révélèrent très intéressants... Un bactérie non répertoriée se trouvait dans l'organisme de chacun de ces chevaux. La bactérie en question devait être sans doute la cause de la mort de ces animaux. Maintenant que l'Inspecteur sait qu'est ce qui a provoqué le décès, il faut savoir comment la bactérie est-elle rentrée dans l'organisme des chevaux... Le docteur Charo ne peut plus aider Ryan dans l'enquête étant donné que la bactérie n'est pas répertoriée mais elle connait quelqu'un pouvant l'aider.

Le docteur Parker Eversman, bactériologiste de talent. Il dirige le secteur bactériologique de la société pharmaceutique des Entreprises Sand de Los Angeles. Malgré les soucis avec l'entreprise et la justice Américaine en ce moment, l'inspecteur Milo se devait d'aller demander de l'aide à ce spécialiste en la matière. Espérons que ce scientifique aurait des réponses aux questions que se pose Ryan... 

American nightmare [SPECTRE & Al Qaida] 3227753-will+graham
_________________________________________________________________

Entreprises Sand - Secteur bactériologique, 


Plusieurs équipes du LAPD étaient présents dans certains couloirs de l'entreprise ainsi que le procureur général de la ville discutant avec le représentant du nouveau PDG de l'entreprise. L'inspecteur Milo se faisait le plus discret possible, il n'avait pas envie que ces collègues policiers ou autre viennent l'importuner... Il arriva alors dans le secteur bactériologique du bâtiment. Il demanda alors à l'un des employés où se trouve leur patron. On lui indiqua le bureau de celui-ci, il respira d'un coup et alla vers le bureau du Dr. Eversman. 


Le bureau était vide... Il regarda, personne n'était à l’intérieur  Il entendit soudainement une voix derrière lui. "Bonjour, vous me cherchez ?" L'inspecteur sursauta un instant. Il ne s'attendait pas à le voir arriver par derrière... Quand Ryan observa le scientifique, celui-ci rigolait de l'effet qu'il eut sur le policier. L'inspecteur remarqua alors que le Dr. Eversman n'avait qu'un bras, ce détail fut assez inattendu. 

Dr Parker Eversman:

Ryan s'installa en face du bureau du docteur Eversman pendant que celui-ci remplit deux tasses de café. L'inspecteur Milo commença alors à expliquer la situation au docteur, j'espère qu'il comprendra son utilité dans l'affaire...


"Docteur Eversman, j'aurais besoin de votre aide dans mon enquête sur la mort mystérieuse de ces chevaux, qui ont été retrouvés morts. Une de nos scientifique a analyser le sang de chacun de ces animaux morts et à trouver une anormalité chez chacun d'eux. Chacun d'eux ont dans leurs organismes une bactérie qui à priori n'a jamais était répertoriée. Je vous ai emmené quelques photos de ces bactéries vues au microscope, tenez."


Le docteur Eversman posa les deux tasses de café puis s'assit et regarda attentivement chaque détail sur les photos. Il les posa, enleva ses lunettes et fixa l'inspecteur de police droit dans les yeux.


"Effectivement inspecteur, ces bactéries n'a pas été répertoriés sur nos registres pour la simple et bonne raison qu'elle n'existait pas avant. Si vous avez remarqué, la bactérie se multiplie toutes les 10 secondes et se nourrit de chaque cellule du corps du cheval très lentement. L'animal peut d'abord souffrir puis mourir ou mourir sur le coup, cela dépend de quelle est la partie du corps que la bactérie endommage le premier. Pour être franc avec vous, je pense à deux hypothèses sur l’existence de cette bactérie : soit c'est une bactérie mutante qui a été confrontée à des produits ou médicaments et qui s'est développée avec par la suite changer sa propre nature. Ou peut être... Que quelqu'un a fait plusieurs manipulations génétiques et bactériologiques dans le but de créer alors une nouvelle bactérie. Mais pour cela, il faudrait être un expert et connaitre la constitution de chacune des bactéries, ce serait infernal comme projet. Enfin espérons que ce soit la première hypothèse qui soit la bonne sinon, nous pouvons déjà craindre le pire. Inspecteur Milo, si vous avez besoin d'aide mon service sera là pour vous."


L'avis du docteur Eversman aida énormément l'inspecteur dans son enquête mais plus aucune piste s'offrit à lui. Plusieurs semaines passaient sans aucun nouvel indice à apporter à cette affaire. L'inspecteur était fatigué, il préférait dormir au lieu de faire plus de recherches pour le moment...



_________________________________________________________________


2 semaine plus tard,


L'affaire rame depuis trop longtemps, le Commissaire attend toujours d'autres résultats mais rien à faire... Ryan ne sait plus où chercher une piste dans ce dossier infernal. Il pensa alors à quelque-chose, souvent les coupables d'un crime essaient parfois de guider la police se pensant plus fort et plus intelligents que la justice. Le Dr. Eversman serait-il ce genre d'homme ? C'est lui qui est l'un des plus grand expert dans le domaine de la bactériologie et comme il disait "il faudrait être un expert et connaitre la constitution de chacune des bactéries, ce serait infernal comme projet." Ryan n'est sur de rien, mais peut-être qu'en réalité ce scientifique se joue de lui. 

Milo n'a rien de vraiment solide, à part ses soupçons concernant le docteur Eversman. Le procureur général ne donnera jamais à l'inspecteur un mandat de perquisition pour fouiller la maison du Doc tant qu'il n'aura pas de réelles preuves. Ce qui ne sera pas choses faciles pour l'inspecteur, mais pas impossible !

Ryan se rendit à l'immeuble de Los Angeles des Entreprises Sand, jusqu'au secteur bactériologique. Il rentra discrètement dans le bureau du Dr. Eversman puis fouilla les tiroirs le plus vite possible sans rien trouver... Jusqu'à ce qu'il trouve un dossier caché dans des dossiers administratifs et non avec les autres documents concernant les bactéries, ce dossier se nomme "Regenerativa Bacillus". L'inspecteur entendit alors la voix d'Eversman à l'extérieur du bureau, il ne devait surtout pas le voir. Malheureusement plus le choix pour Ryan, il allait devoir partir laissant ce mystérieux dossier à sa place... Il sortit du bâtiment et se dirigea vers la sortie. Le Dr. Eversman vit l'inspecteur au loin et ne douta pas une seconde que ce misérable flic le suspecte. Parker ferma son bureau et prit son téléphone, composa un numéro et attend une réponse...

- Monsieur Kronsteen, nous avons un gros problème. Entre les soucis des Entreprises Sand et d'un flic qui me tourne autour, je pense qu'ils vont se rendre compte de mes expériences sur la création de bactéries nouvelles. J'avais cru avoir gagné la confiance de ce flic en lui donnant des indices, mais je crois que je l'ai sous estimé. Désolé... Oui, je sais... Ils sont à labri, ne vous inquiétez pas... Merci monsieur Kronsteen. J'attend vos instructions alors pour votre intervention d'ici là. Au revoir monsieur Kronsteen. 

[POST INTRODUCTION, je poste un autre post demain pour faire le début de l'assaut Very Happy]
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MessageSujet: Re: American nightmare [SPECTRE & Al Qaida] American nightmare [SPECTRE & Al Qaida] I_icon_minitimeVen 25 Oct - 11:01

American nightmare [SPECTRE & Al Qaida] Los-angeles-nuit_6m2
Plusieurs jours plus tard, 


Kronsteen s'était rendu en Somalie pour faire la rencontre d'un des leaders d'Al Qaida. Pourquoi ? Pour les sauver de cette impasse... Le Commandant Djamin Idhir accepta d'aider le SPECTRE pour cette opération à Los Angeles qui portera la signature d'Al Qaida pour égarer tout soupçon sur une quelconque autre organisation. La mission est simple, détruire plusieurs lieux symboliques de la ville, assassiner l'adjoint au Maire de la ville et le Commissaire puis pour finir tuer l'inspecteur Ryan Milo. 

Le SPECTRE et Al Qaida sont deux organisations des plus dangereuses au niveau international. Leurs moyens financiers sont assez conséquents, cet attentat ne pourra qu'être bénéfique pour l'image de l'organisation islamique, le cauchemar américain de Los Angeles commence ! 

L'inspecteur se trouvait alors dans son petit appartement en plein centre ville. Tout seul devant son bureau en train de monter son dossier contre le Dr. Eversman. Il devait avoir accès à ces documents. Peut-être que cette bactérie pourrait être transmise à des êtres humains et les conséquences seraient terrible. Il était plus ou moins fatigué de sa journée, tant de boulot et personne pour le réconforter après... Il ferma alors l'instant de deux secondes les yeux, mais s'endormit malencontreusement. 

Deux avions de transport étaient en train de survoler la ville. Ces avions doivent transporter du matériel informatique à la ville mais il allait recevoir autre chose... Des hommes du SPECTRE ainsi qu'Al Qaida étaient fin prêt à être parachutés. Les troupes sont guidées par le Major Igor Govoretski, le n°9 du SPECTRE. C'est un militaire russe étant contre le gouvernement Russe actuel, il reste un fidèle du parti Communiste et de l'ancien URSS. Pour avoir de l'aide dans sa lutte, il reçut une offre de l'organisation SPECTRE... Maintenant est venu l'heure de lancer les opérations. Neiyo, le n°10 de son côté est prêt à faire ce qui est prévu. Il ne reste plus qu'à recevoir l'ordre de Kronsteen. 

"Ici n°6, me recevez vous ?"

"Cinq sur cinq camarade !" 

"A vous de jouer, c'est le moment. Dès que vos hommes seront parachutés, Neiyo suivra ses instructions. Bonne chance n°9."

Igor donna le signal sur leur fréquence, les choses sérieuses commencent les deux avions ouvrirent leurs trappes arrières. Les terroristes allaient commencer l'assaut sur Los Angeles. Dès que les première troupes terroristes furent sautées des avions, des bombes se mirent à exploser un peu partout dans la ville. Voici l'oeuvre de Neiyo... 

Les hommes d'Al Qaida et du SPECTRE s'occupent du Commissariat Central de la ville avec pour mission faire le plus de morts et tuer le Commissaire Rotberg. Le Major Igor, lui dirigea l'assassinat de l'inspecteur Milo et une autre équipe  s'occupe de l'adjoint au maire à la Mairie de la ville. Des bombes explosent toujours en plein coeur de la ville. C'est la panique entre les civils qui courent partout et les force de police essayant de s'organiser pour mettre un terme à cet attentat. 

Le Commissaire Rotberg regarda de son bureau le chaos s'installer à Los Angeles. Des terroristes ! Le Commissaire n'attendit pas une seconde et sortit de son bureau et rassembla ses troupes. La contre attaque doit être faite le plus vite possible pour repousser la menace. Des hommes du LAPD firent un barrage devant l'entrée du commissariat central d'où Rotberg conduit les opérations pour sauver sa ville. Les islamiques et les hommes du SPECTRE arrivèrent devant le commissariat. Une voiture était renversée, elle pouvait servir pour se mettre à couvert. Les échanges de tirs pouvaient alors débuter... 

L'inspecteur Milo se réveilla dès qu'il entendit une bombe exploser tout prêt de chez lui. Une attaque terroriste, ici, à Los Angeles avait lui ! Il prit son arme et sortit de son appartement. Direction le commissariat central de la ville. Il a besoin d'avoir des directives de son patron. Et pendant ce temps là, le Dr. Eversman boit tranquillement son café dans son bureau du haut de l'immeuble des Entreprises Sand. Admirant alors l'oeuvre de l'alliance SPECTRE et Al Qaida, l'attentat allait être un jeu d'enfant. 

[A toi Djamin, je te laisse diriger tes hommes Wink]
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Djamin Idhir
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MessageSujet: Re: American nightmare [SPECTRE & Al Qaida] American nightmare [SPECTRE & Al Qaida] I_icon_minitimeDim 3 Nov - 2:35

Qui se serait douté que ce formidable attentat avait lieu initialement pour détruire une vulgaire preuve d'un acte crapuleux d'un laboratoire ? Derrière chaque délit, il y souvent de si grandes machines... Al Qaida s'était jetée sur l'occasion pour s'approprier la notoriété de cet attentat et jeter une nouvelle fois son terrifiant dévolu sur la planète.

Une petite troupe armée arriva devant le commissariat. En plus de ceux parachutés du haut de l'appareil, quelques-uns attendaient depuis longtemps en ville, et tout avait été fait (argent liquide - transmission d'arme anonyme - communication en numéro masqué) pour qu'en cas de problème rien ne puisse remonter jusqu'aux responsables. 37 hommes. 24 d'Al Qaida et 13 du SPECTRE. Ceux d'Al Qaida venaient pour la plupart de l'étranger, mais ceux du SPECTRE étaient des mercenaires venant de régions comme l'ancienne-Yougoslavie, la Grèce, Géorgie, ou la Hongrie, des lieux ou des restes d'influences musulmane historique ont été pondus par les ancienne conquêtes turco-musulmanes pendant des siècles, et où la conversion musulmane reste existante. Tout soupçon quand à une autre organisation qu'Al Qaida sur les lieux serait effacée, dés lors que preuves, prétextes et déclarations concorderaient sans aucune faille avec les Djihadistes, il était impossible de penser à un allié aussi... absurde qu'une super-entreprise mondiale et libérale de terrorisme.

Le groupe était commandé par Saydad, un officier Irakien d'Al Qaida habitué aux guérillas. Les hommes étaient tous armés de mitraillettes munies de silencieux, afin de garantir l'effet de surprise. Ils arrivèrent rapidement devant le commissariat, tirant de petits coups au passage sur les quelques passants obstacles sans s'attarder ni gaspiller leurs balles, provoquant quelques blessés, blessés graves et fuyards. Quand ils furent devant le commissariat celui-ci était déjà gardé par des patrouilles ; 15 minutes que les bombes avaient explosé déjà, mais la grande majorité des forces de l'ordre préparaient armes et gilets par balle à l'intérieur pour riposter avec perfection, rejoindre les quelques patrouilles déjà parties ; ils ne pouvaient se douter que quelqu'un fut assez fous pour s'attaquer au loup dans sa propre tanière, et c'était ça qui garantirait l'avantage.

Le commando de guérilla des terroristes fit feu partout devant l'entrée avant que la police ne reçut l'ordre de tirer. Les multiples balles semèrent pertes et désordre, empêchant aux patrouilles de défense de riposter précisément ; puis les premières grenades furent lancées sur elles. Les explosions firent davantage de blessés et de panique que de mort, mais leur flammes, leur bruit assourdissant, leur souffle et leur désordre semèrent le chaos. Il manquait la touche finale : les RPG-7. Les 3 terroristes qui en avaient un chacun s'en servirent aussitôt pour tirer vers les fenêtres en hauteur de la bâtisse d'entrée, où des tireurs commençaient à aider leurs camarades massacrés. Les missiles provoquaient une onde de choc à laquelle un homme entrainé avait peu de mal à survivre en se couchant vite au sol, mais les bâtiments étaient très endommagés par les explosions qui éventraient murs et plafonds. Après avoir tiré, les porteurs de lance-missiles rechargeaient et tiraient à nouveau. Une pluie débris tombait sur les policiers de l'extérieur. Ceux-ci comprirent enfin et entamèrent une retraite désordonnée, tirant le plus de collègues blessés possibles avec eux. Quelques renforts arrivant à l'entrée les couvrir pour les aider à évacuer les lieux pendant que les balles continuaient à pleuvoir sur eux, puis les rejoignirent à leur tour.
¨Presque aucune perte enregistrée du côté des terroristes pendant ce succès.
--------
** A l'entrée du côté inverse du commissariat, au nord, des groupes des policiers s'étaient formés pour intervenir en sortant et formant une tactique d'encerclement des assaillants fous. Mais là aussi le piège les attendaient : quand ils sortirent en ordre, une mitrailleuse cachée derrières des buissons servant de décoration naturelle mitrailla joyeusement les groupes d'agents de la loi. Celle là avait été difficilement cachée, portée puis montée, mais tout cela était payant : encore une fois, à une grande vitesse des pertes catastrophiques furent enregistrées dans les rangs trop voyants. De plus, 9 autres terroristes accompagnaient la mitrailleuse, dispersés sur une même ligne droite perpendiculaire à la seconde entrée, cachés à différents endroits : leurs balles et lancers de grenades convainquirent facilement la troupe de police de se replier. Mais ce n'était pas fini : bientôt deux nouveaux terroristes arrivèrent, armés de RPG 7 eux aussi. En tirant sur les fenêtres du bâtiment de l'entrée, ils rendaient l'endroit presque inaccessible pour pouvoir riposter.

Les deux groupes de terroristes, à chaque entrée, étaient chacun derrière un abris improvisé. Dans la nuit il était difficile de tous bien les repérer. Eux en revanche étaient chacun doté de lunettes de vision nocturne. Tout cela grâce aux SPECTRE qui leur avait donné ces fournitures, c'était trop beau pour les hommes d'Al Qaida habitués à faire le maximum de dégâts avec du terrorisme bon marché. Celui là prenait une toute autre ampleur.

**

Intérieur du Commissariat

La situation était des plus inquiétantes. Le commissaire Rotberg sorti de son bureau pour faire une inspection sans risque. En marchant, il bénit le fait que les bureaux des directeurs de police ne soient plus avec vue sur l'extérieur ; grâce à la mort de Kennedy être assassiné par sniper n'était plus vraiment d'option. Les caméras et rapports inondaient d'info le commissaire obligé d'improviser dans le chaos. Les forces de police étaient forcées de rester à l'intérieur pour éviter trop de morts, et d'attendre l'assaut des ennemis, qui ne viendrait peut être pas. Ces derniers continuaient à tirer sporadiquement sur l'entrée et à travers les fenêtres. Ils tiraient des missile successivement sur chaque ouverture, pour en rendre inaccessible parfois plusieurs à la fois, ils finiraient peut être par changer le commissariat en ruine. Chaque explosion de missile faisait trembler tout le commissariat et résonnait jusqu'à Marc Rotberg. Celui-ci commença à réagir : il divisa les troupes du commissariat en 3 groupes organisés, les défenseurs vers l'entrée ; les blessés et leurs soignants dans l'étage du sous-sol ; et ceux qui se préparaient à un assaut en sortie lorsque le moment viendrait, les plus nombreux, dans le deuxième étage, là où ils avaient la place.
Pour l'instant, il était impossible de tenter une sortie pour les policiers, ils seraient sortis par le même endroit et auraient subis de trop énormes pertes. Cette foutue attaque était si imprévue qu'elle bloquait tout, les terroristes étaient en fait des génies : un commissariat libre dégorge de terribles troupes dans toute la ville et rétablit la situation. Ce même commissariat était maintenant bloqué par quelques dizaines d'hommes, qui empêchaient de sortir des centaines de policiers surarmés au besoin. Il ne restait donc qu'à attendre en espérant que tout change tout seul, mais si pendant ce temps là ces terroristes commettaient d'autres horreurs ? Faudrait-il sortir ou rester ? Le dilemme serait cruel.
Il contacta la mairie, et tous les contacts importants qu'il put. Il fit tout pour demander à ce qu'en urgence des renforts viennent libérer le commissariat, avec tout ce qu'on pouvait, SWAT, garde nationale, FBI, voir armée, afin de permettre la libération du commissariat et la stabilisation. Mais il fut déçu et effrayé, un autre massacre commençait dehors, et avant de le secourir, les renforts de cette partie de la ville devaient servir à protéger les cibles qui n'étaient pas défendues : lui, devait s'assurer du problème avec ses forces pour le moment, car il avait largement ce qu'il fallait pour son compte en main. Il put heureusement obtenir des promesses du second commissariat de la ville, mais quelques groupes viendraient à sa rescousse, s'ils ne rencontraient pas de problème en route, pas avant une heure au mieux. Tant de vie dont il était responsable sans pouvoir les sauver, la rage envenimait furieusement Rotberg.


**

A l'arrière des lignes de son commando, Saydad était en sûreté, ainsi que 3 hommes. 3 hommes d'élite du SPECTRE, qui serviraient plus tard de dessert. Saydid leur déclara avec son fort accent irakien :

"-Quand l'ennemi sera assez affligé, nous passerons à la seconde phase. Là vous pourrez faire votre part, que vous êtes venus accomplir pour votre maitre : éliminer le commissaire Rotberg. Je ne peux rien vous promettre, mais je vous ouvrirais une porte au bon moment. Après cela, des renforts viendront tous nous aider à l'extraction"


[HS : ce post devrait suffire pour excuser mon retard Very Happy  Et sinon, merci de m'avoir donné l'occasion d'utiliser en hommage un personnage que j'ai créé initialement ! ]


Dernière édition par Djamin Idhir le Ven 15 Nov - 22:22, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: American nightmare [SPECTRE & Al Qaida] American nightmare [SPECTRE & Al Qaida] I_icon_minitimeSam 9 Nov - 17:46

Mairie de Los Angeles,


Le Maire n'était pas la cette semaine, il devait se rendre à une réunion à Washington. C'est son Adjoint au Maire qui le remplace durant ce temps là. Patrick Dress, prit contact avec les commissariats de la ville dès le début de l'assaut. Seul le commissariat Central du Commissaire Rotberg ne répondait pas. Entre les blessés et les terroristes en ville, les administrations de la ville sont surchargés. L'Adjoint au Maire Dress se sent en sécurité, mais il a tort...

Des Snipers ayant pour mission défendre la Mairie surveiller le grand parking d'en face avec toutes ces voitures qui brûlent. C'est un petit commando d'hommes du SPECTRE qui avait pour mission de tuer la force suprême de la ville présente ce soir là : Patrick Dress. Le commando était dirigé pas le Major Igor, chef des opérations. Une fois que Dress et Rotberg seront morts, Igor devra s'occuper de l'inspecteur Milo. Grâce à des grappins les quelques hommes du Major et lui même montèrent en haut du raisonnable immeuble de la Mairie. Les Snipers sont liquidés maintenant, rentrons dans le bâtiment qu'on en finisse se disaient-ils...

Pour l'instant, l'inspecteur Milo courait dans les petites rues de la ville. Les gens ne savaient pas où aller, que faire face à ces terroristes. Ryan avait peur, il tua deux ou trois hommes armés et essaya d'aider quelques civils dans ce chaos. Il se demanda alors comment une ville comme Los Angeles pouvait être déstabilisé à ce point là ?!? Quand Milo arriva à quelques mètres du Commissariat Central de son Commissaire, il se rendit compte que le bâtiment était encerclé. Pas moyen pour les forces de police de sortir ou non. Ryan ne devait pas rester ici, c'est trop dangereux. Il cassa la vitre d'une voiture puis la vola, à la guerre comme à la guerre !

American nightmare [SPECTRE & Al Qaida] 500px-Driven_Kill_-_CZ52_2
La porte du bureau de Dress s'ouvrit soudainement, Igor tua d'une balle dans le crâne l'Adjoint au Maire puis les autres hommes du commando s'occupèrent des autres assistants de l'Adjoint. Igor s'installa sur le siège du Maire puis regarda ses alliés en face de lui. 

- Mes camarades, je vous laisse envoyer un message aux autres commissariats de la ville pour leurs dire que tout va bien. Dites que le Commissaire Rotberg à la situation en main, ils ne contesteront pas les ordres de la Mairie. Allez-y ! Me concernant, je dois retrouver un vieil ami avant de pouvoir mettre fin à l'opération.

Igor partit de la Mairie pour retrouver la cible n°1 de cet attentat. Il savait déjà où aller se rendre l'inspecteur Milo. Il est perdu et ne peut pas sauver tout le monde ce soir mais essaiera de sauver son éternel amour qui ne l'aime plus. Le piège du SPECTRE se met alors en place, l'opération prendre fin avant même que l'armée soit sur les lieux. Igor compte sur les hommes d'AL QAIDA pour laisser une trace d'eux de leur visite à Los Angeles...


Dernière édition par Ernst Stavro Blofeld le Mer 1 Jan - 11:32, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: American nightmare [SPECTRE & Al Qaida] American nightmare [SPECTRE & Al Qaida] I_icon_minitimeSam 16 Nov - 6:17

SAYDAD reçu du commandant allié des opérations -ce russe dont il se méfiait comme de la peste pour des raisons plus que culturelles- que tout se passait à merveille, de son côté à lui aussi, qu'il fallait continuer comme cela. Le plus dur était passé, maintenant c'était les américains qui devaient craindre pour la situation...

Le commissariat était toujours maintenu en respect, depuis le nouveau quart d'heure passé. Les quelques nouveaux blessés parmi les assaillants terroristes ne gênaient en rien la situation, car l'ennemi avait été bien plus diminué qu'eux. Les fenêtre partiellement en ruines, l'entrée encombrée de débris, et les défenseurs réfugiés en attente d'une attaque qui ne viendrait pas tout de suite, embusqués, cachés, patients. Il fallait continuer à les occuper pour qu'ils restent bernés, mais avec économie, car une partie des missiles et beaucoup de munitions avaient été usées pour replier la police sur elle même.


------

En outre de cette bande entourant le local de Marc Rotberg, il y avait au début une quinzaine d'homme d'Al Qaida soutenus de quelques hommes du SPECTRE, organisés en petits groupes mais dirigés vers la même direction par différentes rues. Ceux là avaient eux aussi un but bien précis.
Ils avaient croisés divers duos, quators, ou voitures de police. Mais ceux-ci, avec leurs revolvers comme seule arme, leur désordre et leur débordement, n'avaient pas été longtemps de tailles contre cet assaut effrayant de djihadistes armés d'armes automatiques et en action comme une vague violente sans aucune crainte des récifs. Ainsi tous ceux qui s'étaient mis sur leurs chemins avaient été balayés et repoussés pour le moment. Alors que la mairie les attendait avec ses forces de protection, un commando bien plus habile d'hommes du SPECTRE avaient réglés leur affaire.


A présent, les terroriste étaient libres d'action, pour entre une vingtaine de minutes et une demi-heure. Ils allaient pouvoir faire ce que le monde entier prendrait pour leur message central. 3 monuments du patrimoine de la ville allaient être frappés :

Ils allaient pouvoir faire ce que le monde entier prendrait pour leur message central. 3 monuments du patrimoine de la ville allaient être frappés :



Robert Fitzgerald Kennedy Community Schools : Le plus prestigieux et splendide complexe d'enseignement de Los Angeles. Il a été construit à la place du légendaire Ambassador Hotel. 1930 à 1943, il a accueilli plusieurs cérémonies des Oscars du cinéma, et c'est dans cet hôtel, que l'homme politique Robert Kenedy fut assassiné en juin 1968.


La
synagogue de Wilshire Boulevard :
Fondée en 1862, par la plus ancienne communauté juive de Los Angeles. Le bâtiment de la synagogue, avec son dôme iconique et sa peinture murale de Warner, est un Monument historique culturel de Los Angeles et est inscrit sur la liste des National Register of Historic Places.
L'immense dôme de la synagogue de style néo-byzantin, se distingue de loin. L'architecte sélectionné, A.M. Edelman, est le fils du premier rabbin de la communauté Abraham Edelman.


Los Angeles County Museum of Art :
Le plus immense et luxueux musée de l'ouest des États-Unis.

Ces patrimoines locaux mais aussi symboles nationaux, étaient les cibles : tous situés dans le même centre-ville, autour du boulevard de Wilshire. Les terroristes amenaient avec eux des sac à dos chargés à craquer de TNT. Bien sûr, ils ne pourraient pas détruire intégralement ces monuments. Ils se contenteraient de faire quelques dégâts irréparables, modestes mais suffisants pour défigurer à jamais et donc presque détruire la fierté des sites. Chaque fois qu'un des lieux était gagné, un groupe de 5 hommes restait, et le reste poursuivait sa route vers les autres. Ainsi chaque cible se retrouva t-elle avec près de 5 hommes, ceux-ci préparant le positionnement des explosifs.

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Dans le commissariat, la situation s'était stabilisée, malgré une vingtaine de morts et une trentaine de blessés dans cette épouvantable attaque surprise. Maintenant chaque défenseur policier était à couvert en chaque lieu, en sûreté des attaques derrière les murs. La défense s'organisait automatiquement, les équipes s'étaient positionnées et on improvisait déjà des barricades. Les troupes de défense avaient été renforcées avec des fusils à répétition ou à pompe, on faisait progressivement transmettre de gilets par-balle à la majorité, et un quart des hommes seraient bientôt armés de mitraillettes M-16. On amenait aussi des grenades fumigènes, des masquez à gaz, et on avait même installé derrière une seconde barricade en arrière un canon sur pied à obus lacrymogènes. Des tireurs d'élite se plaçaient à tout endroit et étage dans les lieux indemnes, prêt à agir.
Tout semblait maitrisé. Et justement, c'était cela qui inquiétait le commissaire Rotberg. La situation était trop confortable... Ces terroristes n'allaient pas pas attaquer, il en avait conscience, c'était maintenant trop suicidaire et ils l'auraient déjà fait si ça avait été le cas. Marc Rotberg était trop intelligent pour tomber dans le piège : il savait qu'ils désiraient justement qu'il reste dans le commissariat pour épargner le plus de vies possible et que leur stratégie visait à l'occuper le plus possible. Cette attaque énorme pouvait faire sous-estimer les autres actes, mais justement, c'était trop évident... Des restes de patrouilles extérieures l'avaient averti avoir été confrontés à des groupes s'enfonçant dans l'avenue de Wilshire. Il fallait donc à tout prix les arrêter, plutôt que de se préoccuper de ceux qui cherchaient seulement à les retenir. Il fallait donc faire une contre attaque à tout prix, et chaque minute perdue était mortellement dangereuse. La sueur coulait sous la chemise du commissaire : il risquait soit un gaspillage monstrueux de vies d'agents de la loi, soit une catastrophe. C'était épouvantable. Il commença à réfléchir à un plan qui épargnerait le plus de vies possibles dans une sortie..

C'est alors qu'un autre commissaire l'appela, parmi les renforts en route venant tant de Hollywood que des quartiers espagnols ou de Beverlly Hills même -les polices de défense de stars et de cultures, les terribles chiens de gardes de la côte. Il y avait un problème ! La mairie « venait de les avertir que Rotberg maitrisait la situation et qu'il ne fallait pas le secourir ». En temps normal ce commissaire n'aurait pas perdu pour l'en avertir, occupé comme il était, mais il s'y était quand même rapidement essayé, comme intrigué. Rotberg en fut paralysé. Il eu un peu de mal avant de pouvoir s'écrier que ce message était une fausse information, c'était « probablement un détournement des communications, aussi effrayant que ça paraisse ». L'interlocuteur, aussi terrifié, répliqua en lui demandant « si les renforts devaient être détournés vers le commissariat assiégé ». Et là le commissaire Rotberg hésita d'autant plus.. Si les ennemi voulaient que personne ne lui vienne en aide quitte à les laisser arriver vers les autres lieux de stratège, alors pourquoi d'un autre côté cherchaient-ils à retenir son attention pour ne pas sortir du commissariat ? Il ne comprenait pas... Mais il lui fallait trouver tout de suite une décision..
«Faites ce qu'ils disent ! Prévenez tous les renforts de mettre le paquet sur la rue Wilshire, et une autre partie sur la mairie, qui a des problèmes. Moi je vais tacher de m'occuper de mon côté. »
« Mais Marc, s'ils ne veulent pas qu'on vous renforce c'est qu'ils espèrent vaincre votre zone »
« Je ne pense pas qu'ils soient si naïfs. Ils veulent détourner les renforts qui me sont destinés pour que leurs hommes aient encore le temps de nous retenir encore un bon moment ! Ce qui veut dire qu'ils... veulent diviser nos forces, et qu'ils ont besoin que le commissariat soit sous leur emprise plus longtemps que les quartiers où ils circulent librement. Ils doivent être moins inquiétés par votre arrivée tardive et désordre.. Alors on va faire une chose qui n'est pas dans leur plan : vous allez tenter de les attaquer comme ils le souhaitent dans les autres endroits, MAIS je ferais une sortie si inattendue et violente que nous reprendrons le commissariat. Après ça ils seront prit entre nos deux étaux, si vous les retardez le temps que nous arrivions nous sommes sauvés ! »
A l'autre bout de la communication le commissaire Reynold était soufflé par l'intelligence si vive et la répartie si implacable de Marc Rotberg. Il pria pour qu'il ait raison.

Dans les locaux de police assiégés, on ordonnait à tous les étages de préparer la sortie-surprise qui se préparait. Les bavardages entre inquiétude et espoirs reprenaient quand... soudain. LES TIRS D'AL QAIDA REPRENAIENT DE PLUS BELLE ! Les tirs, les roquettes, visant l'entrée et les fenêtres. Qu'était-ce donc ? Ils ne voyaient pas que cette diversion visait à cacher l'homme qui courrait vers l'entrée à toute vitesse. Mais avant qu'ils ne l'aient vu il avait déjà crié.

« ALLAH AKBAH, ALLAH AKBAH!!! »

Alors le kamikaze se fit sauter avec tout son chargement. L'entrée explosa dans un torrent monstrueux et déversa une pluie de ciment, de fer et de verre à l'intérieur, applatissant tous les protagonistes au sol sous son souffle et faisant trembler toute l'énorme bâtisse.

La phase 2 de Saydad commençait.
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Ernst Stavro Blofeld
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MessageSujet: Re: American nightmare [SPECTRE & Al Qaida] American nightmare [SPECTRE & Al Qaida] I_icon_minitimeMer 1 Jan - 13:55

L'attentat terroriste de L.A. allait faire plus de dégâts que prévus, le SPECTRE et Al Qaida ont allumé une étincelle créant le chaos en ville, et cette étincelle  ne cesse pas de s’amplifiait ! La criminalité régnait dans les quartiers victime de l’assaut  terroriste. Certain groupe de délinquant profitaient de la situation pour subtiliser, voler, chiper, cambrioler tout ce qu'il était possible de prendre. Sans aucune justice dans les rues, la seule loi qui règne en maître est la loi du plus fort. Des voitures brûlées, les gens couraient, tout le monde étaient paniqués. Qu'aller-t-il se passer maintenant ?!? Quelqu'un viendra-t-il les sauver ?!? Et que fait la police ?!? 

A notre époque, grâce aux réseaux sociaux l'on peut transmettre ou recevoir des informations en très peu de temps. Ce soir-là, pendant qu'un jeune étudiant de l'université de Houston surfe sur internet. Il fut soudainement surpris et pris de panique lorsqu'il vit des vidéos de ce qu'il était en train de se passer à Los Angeles. Le gouvernement ainsi que le pays et ses habitants commençaient à être au courant des tragiques événements se déroulant sur le territoire américain. Aucune déclaration officiel encore du Président ou de son Porte-parole on était faite. On se demandait si ils sont au courant que de leurs compatriotes sont en train de mourir ! 

Pendant ce temps-là, au cœur du centre-ville de Los Angeles. L'inspecteur Milo continuait sa route sans s'arrêter, trop dangereux. Son but pour le moment, partir le plus loin possible du danger et rejoindre un autre commissariat pour venir en aide au Commissaire Rotberg avec des troupes de la police de L.A. Milo arriva vers à l'extrémité d'une ruelle bloquée par un barrage, des hommes du SPECTRE étaient en train de patouillés (forte heureusement il ne l'avait pas vu arriver). L'inspecteur de la police, en sueur, tremblant comme une feuille, mais toujours aussi déterminé. Il bidouilla sa radio pour essayer d'être sur la fréquence de la police de Los Angeles, et réussi !
"Ici le commissaire Reynold, je demande à toutes les troupes opérationnel de se rassembler sur Whilshir ! Je répète, j'ordonne à toutes les forces d'aller à Whilshir !"

L'inspecteur Milo était prêt à suivre les instructions du commissaire Reynold, mais un problème reste à régler... Le barrage de voitures surveillaient par les terroristes allés ralentir les forces de police de Reynold si Ryan ne fait rien pour détruire ce barrage. Que faire... Il n'a qu'un revolver et eux des armes automatiques. Aucune chance, il faut un plan avant d'intervenir. Les hommes du SPECTRE étaient cinq en tout à monter la garde. Il n'y avait qu'une seule solution pour détruire le barrage, Milo était fin prêt à risquer sa vie pour son pays. Il se prépara, respira un grand coup, ferma puis rouvrit les yeux. Il fonça alors sur le barrage avec sa voiture, les terroristes commençaient à tirer sur le véhicule fonçant sur eux, mais trop tard. Sur le choque, les voitures formant le barrage s'éparpillaient violemment . La voiture de Milo aura fait plusieurs tonneaux, mais l'inspecteur est toujours vivant. Deux des hommes du SPECTRE sont morts et un blessé, les deux tenant toujours debout se dirigeaient vers la voiture de Ryan en tirant dessus pour se venger en le tuant. L'inspecteur avait mal au crane, il venait de prendre son revolver et tira comme il pouvait sur les hommes du SPECTRE restant. Il n'arriva pas à les arrêter, bientôt il allait mourir face aux tires de ces deux terroristes... 

C'est alors qu'une bande de jeunes fit leur apparition, ils se lançaient sur les deux hommes du SPECTRE surpris de ce renversement de situation. L'inspecteur Milo venait d'être sauvé. La bande de jeune jeta un coup d’œil à  la voiture de Milo puis partir avec les armes des hommes du SPECTRE morts suite à plusieurs coups de couteau. Plusieurs minutes plus tard, Ryan trouva la force et le courage de sortir de son véhicule. L'inspecteur de police était bien endommager cette fois-ci. Il avança jusqu'à l'homme du SPECTRE allongé par terre, en train de souffrir, cet homme allait bientôt mourir. Milo se pencha vers l'individu et lui demande pour qui il travaille et celui-ci répondit :
- Al... Al... Qaida.........


Ryan fut soudainement pris d'une grande et immense engouasse. Los Angeles était la cible d'un attentat terroriste organiser par Al Qaida !!! Il n'avait jamais pris au sérieux cette menace, depuis la mort de Ben Laden on aurait pu croire que l'organisation allait de moins en moins faire d'actions, mais non. A la grande surprise de Milo, les auteurs de ce carnage était en réalité ces enfoirés d'islamistes. Milo s'étala par terre plus ou moins en sang, il avait peur et préfère attendre ici les renforts de la police en fessant le cadavre...




__________________________________




Appartement de l'Inspecteur Milo, 




Igor était la patient et serein. L'inspecteur Milo n'est pas là, malheureusement... Igor après avoir fouillé méticuleusement l'appartement, sortie sans laisser de trace. L'homme du SPECTRE allait bien finir par retrouver ce stupide flic, Ryan doit mourir pour que cette opération soit complètement accomplite. Sinon ce sera un échec pour le SPECTRE... Alors Igor repartit à la recherche de sa cible à exécuter. 
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MessageSujet: Re: American nightmare [SPECTRE & Al Qaida] American nightmare [SPECTRE & Al Qaida] I_icon_minitimeJeu 16 Jan - 16:41

Les petits groupes de djihadistes étaient chacun devant les 3 monuments. S'ils y arrivaient d'ici les prochaines minutes, ce serait un torrent de larme sans limite pour le pays, et une victoire monstrueuse pour le terrorisme : l'orient brûlant dans les flammes la culture de l'occident. La TNT était déjà posée, il fallait se réfugier le temps de l'explosion.

Le groupe devant l'école prestigieuse Fitzgerald Kennedy, plus qu'un symbole, avait traversé le portail et se préparait à faire sauter la coupole de l'édifice. Et.... des coups de feu retentirent. Un djihadiste fut abattu par la poitrine par un tir de sniper. D'autres tirs sortirent de tout côté, autour des terroristes, provocant encore plusieurs gerbes de sang. Anticipant le coup, les forces du SWAT avaient posés des élites devant l'école, monument trop évident, et chassaient facilement les assaillants. Déployés pour protéger les édifices culturels les plus importants pendant que la police s'occupait des terroriste, ces troupes inespérées étaient arrivées juste à temps. Le même sort attendait ceux qui étaient devant la bibliothèque prêt à la faire exploser : le temps de se préparer, les toits de maisons et ruelles avaient vu venir discrètement plusieurs excellents tireurs spécialisés dans les techniques de guérilla, combat proche avec arme à feu. Alors que les islamistes partaient se réfugier avant de faire exploser un quart de l'intérieur de la bibliothèque rempli d'explosifs, ils furent fusillés de tous les côtés. Les deux survivants, se sachant acculés, voulurent commettre l'acte kamikaze en essayant d'appuyer sur le détonateur successivement, mais ils forcèrent les hommes du SWAT à les abattre durant la seconde décisive. La magnifique bibliothèque était sauvée !

Par contre, sur Wildshire Boulevard un peu plus loin, la splendide synagogue, incarnant à la fois un monument du patrimoine américain et le judaisme-sioniste tant détesté d'Al Qaida, n'avait pas été protégée question de priorité. Elle fut presque réduite en cendre par l'explosion. Le dernier groupe de terroriste, entendant les sirènes de police à toutes les rues, entreprirent de rejoindre le lieu de siège du commissariat avant de se faire piéger, échangeant parfois des tirs imprécis avec des hommes de lois de passage tout en courant vers leurs destination.


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Dans le commissariat, l'inquiétude du commissaire Rotberg s'amplifiait. Il hésitait de plus en plus à ne demander encore aucun renfort. Les quartiers semblaient encore imprenables par ces quelques ennemis, mais leur acharnement devenant troublant, comme s'ils comptaient réellement mettre en cendre le commissariat. Pourtant en révisant la situation, il n'y avait rien que des activistes d'Al Qaida pouvaient détruire, question de puissance..

Après avoir provoqué un trou énorme dans la première entrée avec un kamikaze porteur de bombe, ce fut le tour de la seconde. C'était bruyant, impressionnant, tape à l'oeil, désordre.... Mais au fond cela ressemblait à beaucoup de bruit comme pour prendre l'attention, pour Marc Rotberg trop professionnel même dans les pires moments. Il n'y avait cependant plus aucun obstacle qui protégeait les policiers à l'intérieur ! leurs groupes de défense déversèrent les balles, mitraillèrent au hasard à travers le poudre et aveuglante sur les lieux de l'explosion encore tout brûlants.
Par la suite, les RPG-7 des assaillants délivrèrent de nouvelles roquettes à l'intérieur de la partie 1, qui explosèrent au milieu des groupes de défenses, provoquant de nouvelles pertes et désordres. Les mitrailleuses terroristes strillaient aussi de balles l'intérieur à l'aveugle, et bien que sans résultat efficace elles provoquaient encore beaucoup de stress. La catastrophe empirait encore.

Du côté des terroristes, Saydad se réjouissait. Les ennemis n'attendaient plus qu'une nouvelle attaque, et bien il allait en profiter pour lancer le SPECTRE.

" Vous pouvez y aller maintenant, nous vous couvrons d'abord avec les mesures préliminaires. Que Dieu vous accorde la tête de Rotberg ! "

Ses hommes balancèrent alors les grenades fumigènes à la première entrée. La fumée allait rendre l'espace invisible et forcer aux policiers de reculer encore ou de ne rien voir. Puis les dernières roquettes des RPG furent utilisées près des fenêtre des second et troisième étage. Celles ci étaient maintenant disparues sous la couche de débris, plus personne ne pouvait tirer par là. Tout était près pour les mercenaires d'élite du SPECTRE...
Deux d'entre eux utilisèrent des lance-grapins pour se hisser au troisième étage, au dessus de l'énorme bâtiment du commissariat. Ils se baladaient sur le toit.

Le 3ème lui, s'approcha de l'entrée sous couvert des fumigènes. Ses lunettes thermiques lui permettaient de se guider à travers la fumée des fumigènes, là où aucun ennemi ne voyait rien. Son équipement d’infiltration lui permit aussi de ne pas faire de bruit, et au nez et à la barbe des lignes, il arriva devant l'escalier menant au premier étage. Certains agents de la loi le gardaient déjà avec des fusils. Il parvint à les abattre les trois encore dans la fumée, avec son M-16 à silencieux avant qu'ils ne ripostent. Le SPECTRE lui avait enseigné les meilleures méthodes. Même avec silencieux, il y avait eu assez de grabuge pour que des flics alertés viennent mais il avait préparé son coup. Il pu quand même déposer un petit détonateur C-3 (plastic). Des flics descendaient à sa rencontre lentement, pour le piéger. Il les mitrailla tous, les blessant ou tuant, puis fonça en avant. Le repérage du commissariat révisé à fond lui avait apprit qu'il suffisait de courir tout droit vers les toilettes. Il s'y jeta en courant. Les hommes du second étage, qui ne s'attendaient pas du tout à une attaque aussi suicidaires, le ratèrent pendant qu'il traversait la salle en un éclair. ; il traversa le couloir, entra à la volée dans les toilettes et fit sauter le C3. L'explosion réduisit l'escalier en poudre, coupant les transits entre premier et second étage.

Ce fut au tour des deux autres tueurs professionnels du SPECTRE : avec un petit explosif, ils firent sauter le toit juste au dessus de l'emplacement du bureau du commissaire, aidés par un détecteur déjà posé des jours avant. Ils sautèrent par le trou, et atterrirent dans un bureau... vide. Marc Rotberg n'y était pas pour coordonner les opérations, ses consoles de surveillances étaient allumées vides, seules.

-----


En effet, ce n'était pas dans le comportement d'un commissaire à l'allure paternel comme Marc de communiquer avec ses hommes sans utiliser sa propre présence. Il était dans le troisième étage, mais au milieu d'alliés, une vingtaine en ce lieu, discutant avec des officiers.  Le premier étage était occupé par un problème de taille, le second par un nouveau, mais il n'avait pas encore perdu l'initiative, ce renard infatigable !
L'opération de contre-attaque se déroulait aussitôt. Les forces de réserve du commissariat faisaient une sortie en courant comme un fleuve, des deux sorties du commissariat. C'était hallucinant de risque et d'impertinence, certes ! Mais c'était un "déploiement de la dernière carte" énorme de la part de Mr. Rotberg. Il avait calculé que les terroristes avaient tout fait pour replier les troupes policières dans leur plus grand état de défense et d'inactivité, tout le confirmait. Et il était presque impossible que les terroristes aient encore beaucoup de roquettes, explosifs munitions. On l'avait averti de leurs méthodes d'amateur dans d'autres lieux d'attaque. Les terroristes s'attendaient à tout sauf une sortie. S'ils avaient voulu dissuader le commissariat de contre-attaquer, ils seraient sans moyens, s'ils avaient préparé une attaque ils seraient balayés.
De chaque côté une cinquantaine sortaient en tirant, chargeant une douzaine de de terroristes avec quelques mitrailleuses usées. Ce dernier rabattement de cartes suffirait-il ,

Rotberg n'avait cependant pas prévu un agent du SPECTRE au niveau 1, résistant vaillamment dans des toilettes assiégés préoccupant le tout le second étage, et deux agents dans son bureau au troisième, qui furieux de l'avoir raté, commençaient l'attaque de l'endroit.
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MessageSujet: Re: American nightmare [SPECTRE & Al Qaida] American nightmare [SPECTRE & Al Qaida] I_icon_minitimeSam 15 Fév - 12:07

Ryan était inconscient, perdu dans un long sommeil. Grâce à lui, les forces de police ont pu passer le barrage détruit du SPECTRE. Une base d'opération s'installa alors à l'emplacement de l'ancien barrage. Le corps de l'inspecteur fut retrouvé et emmené dans une ambulance. Le Commissaire Reynold était là, sur place, à gérer les opérations en contact permanent avec les autres commissariats et dirigeants politiques de la ville. L'heure était au combat dans la ville submergée par l'assaut terroriste ! Les troupes du SWAT ainsi que les forces de Reynold commençaient à reprendre le contrôle quartier par quartier. Même si les forces policières ont la supériorité numérique, les hommes d'Al Qaida et SPECTRE ont plus d'expériences aux combats... A la guerre... 

Pendant que la lutte nocturne continue entre les islamiques et les américains, un homme s'infiltra dans la base non loin de Whilshir. Avec discrétion et ardeur, il rentra dans les lignes du Commissaire Reynold puis s'aventura jusqu'au poste de commandement. Il avait tué un homme faisant la garde, il devait être vêtu d'un uniforme pour qu'on ne le remarque pas. Et même si son visage n'est familier à personne, le stress dont chacun est victime dans une situation pareille ne fera remarquer à aucun d'eux la présence étrange d'un russe parmi eux. Car oui, vous l'avez deviné, ce salopard venant d'entrer dans les rangs de la police de L.A. est l'effroyable assassin, ancien militaire sous l'URSS : le Major Govoretski ! 

Pendant ce temps, des unités de sniper d'élite du SWAT préparaient la reprise de la Mairie. Les forces du SPECTRE tenaient toujours ce lieu des plus important sur le plan administratif et politique. Certains documents se trouvant dans les placards du Maire n'avait pas intérêt à être pris par de mauvaises personnes comme ces terroristes. Sur ordre du Commissaire Reynold, les snipers se mirent en actions : Pan ! Pan ! Pan ! Trois tirs retentirent du parking à l'immeuble de la Mairie, deux hommes du SPECTRE sont morts à l'intérieur. Il n'en reste plus qu'un ou deux, si ce n'est plus.... Les forces du SWAT retraient aussitôt l'ordre donné, le bâtiment était presque vide, jusqu'à ce qu'il arrive au bureau du Maire de Los Angeles. Dès qu'ils furent entrés, un homme leva son arme ! Il était prêt à tirer mais trop tard, il fut rapidement neutralisé et mit à terre par les coups de feu des représentants de l'ordre. 
Il n'avait pas pu arrivé à temps apparemment, l'Adjoint au maire Patrick Dress est mort.


La nouvelle de cet attentat se fit savoir petit à petit dans tous le pays grâce à internet. Le gouvernement prit alors une décision d'urgence, envoyer l'armé en renfort le plus vite possible pour limiter les pertes humaines. Le Président voulait absolument savoir qui est responsable de cet attentat, depuis l'assassinat du Président de la République Française et autres attentats divers en Europe; le terrorisme devenait de plus en plus une menace à prendre en considération ! Les services de renseignement du FBI se mirent alors en action pour connaître le nom des auteur de ce drame. 

Et quand on pense que toute cette opération a été prévue pour le meurtre d'un seul et unique homme. Un simple inspecteur de rien du tout, mais représentant une menace pour le SPECTRE et son organisme ! L'inspecteur Milo reposait serein sur un lit dans l'ambulance, personne ne pouvait se soucier de lui. Il le croyait tous en sécurité... Pauvre Milo... Un homme enfila des gants noir et rentra dans l'ambulance pour s’asseoir et fixa la cause de ces tragiques événements. Il s'alluma une cigarette, en fuma une bouffée puis remplit sa mission.

L'heure allait venir pour le SPECTRE et Al Qaida de se retirer, sinon les forces judiciaires Américaine ne tarderaient pas à revenir en force et d'autant plus nombreux, et alors l'opération serait en partie échouée même si les cibles à exécuter ont été éliminées...

[Désolé pour le retard mais voici enfin la suite ^^]
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MessageSujet: Re: American nightmare [SPECTRE & Al Qaida] American nightmare [SPECTRE & Al Qaida] I_icon_minitimeMar 25 Fév - 1:25

La rapidité de réaction, l'efficacité, l'intelligence inattendue des forces de police (et notamment de Rotberg ayant refusé les renforts qu'on lui offrait) avaient dépassés l'attente. 2 sur 3 des symboles culturels visés par les terroristes d'Al Qaida avaient été sauvés avec professionnalisme, de quoi remonter d'un point le président américain dans les sondages. Une demi douzaine de terroristes seulement purent revenir de ce piège et rejoindre le lieux où s'entamerait le repli stratégique.
Cependant, ils ne regrettaient pas leurs pertes : même dans l'échec, chaque vie d'un musulman donnée, chaque difficulté, stress et même cartouche dépensée par les ennemis occidentaux, ils en tiraient une fierté et le bonheur de cracher à la figure d'un ennemi gonflé de certitude et de prétention. Si bien plus d'autres hommes en faisaient autant, la bête américaine ressentirait de la lassitude... Essoufflés, lessivés, tremblants mais illuminés par l'excitation guerrière, ils arrivèrent dans un lieu sûr, trop éloignés des quartiers tenus par les policiers.


----

La situation était semblable devant le commissariat. Les policiers qui y étaient bloqués en état de siège se vidaient comme une fourmilière. Malgré leur position défensive et leur supériorité en armement et tactique, les activistes d'Al Qaeda comprirent tout de suite qu'il leur serait impossible de résister. Ils n'avaient plus de missile, et c'était à leur tour d'être prit sous le feu de la surprise et au milieu d'une vague effroyable.

Saidad sursauta. Il avait tenté de montrer un si écrasant avantage des islamistes, que les policiers embusqués, habitués aux activités pas plus dangereuses que sécuriser des barbecues dans cette cille, et bientôt rejoints par des renforts, ne pourraient commettre ce "risque" en fait inexistant : ce plan ne venait pas de lui, mais de bien plus intelligent et diabolique... DJAMIN IDHIR en personne, l'un des chefs d'Al Qaida, avait écrit tout ce plan imparable. Mais il avait trouvé un ennemi à sa taille en le rare Commissaire Marc Rotberg. Il n'y avait d'autres choix pour les islamistes et leurs rangs renforcés de quelques hommes du SPECTRE pour cette opération de se replier.
Saidad eut un sourire sombre dans sa barbe : au fond cela n'importait plus que pour leurs alliés. La mission était remplie de leur côté, seul les 3 experts du SPECTRE seraient gênés par ce piège.

Les terroristes se replièrent en panique, laissant 3 autres morts derrière eux. Afin de créer une distance pour leur permettre de fuir, un autre islamiste se plaça entre les deux camps et eu le temps de se faire exploser avec la charge de TNT qui était sur lui en criant "Allah Akbah !!!". Le TNT provoqua un tel souffle qu'aux alentours les hommes debout furent tous propulsés au sol. Les terroristes se relevèrent, et pendant que leurs ennemis hébétaient reprenaient leurs positions, ils parvinrent à s'échapper hors de vue en suivant leur chef.

Les officiers de police chargés de la sortie firent une erreur que le commissaire Rotberg n'aurait pas soutenue : soulagés de ce coup de sauvetage, ils ordonnèrent de repeupler les positions de l'extérieur du bâtiment pour s'assurer du parfait contrôle en cas de nouvel attentat au lieu de prendre le risque de poursuivre les terroristes qu'ils auraient alors décimé facilement...

Le groupe finit par atteindre le lieu prévu. Leurs compagnons venant des attentats sur les monuments que nous avons déjà cités les rejoignirent bientôt. Il ne manquait que les hommes du SPECTRE, notamment dirigés par le Major Igor, et tout le monde serait là pour la conclusion du plan. Les sirènes de police retentissaient autour d'eux. Ils étaient entourés en tout sens sur quelques kilomètres, mais les équipes d'intervention, dans le souci de ne faire aucune erreur, prenaient une minute pour s'emparer de chaque rue, leurs hommes se déplaçant furtivement dans le plus grand professionnalisme. Il leur faudrait au moins une heure pour piéger les terroristes comme des rats, c'était décontracté.



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Intérieur du Commissariat de Marc Rotberg, 3eme étage.

Une coulée de sueur ruissela sous les temps de Toldman. Oliver Toldman,  sous-commissaire, ne quittait pas d'une semelle son supérieur Marc Rotberg. Il n'y renoncerait plus maintenant, car il ne voulait pas voir leur dernier réconfort mourir dans cette bataille. C'était mal foutu... Rotberg lui même prenait une teinte de lessive. Des ennemis terrifiants approchaient irrémédiablement vers eux. Ils ignoraient qu'il s'agissait de mercenaires experts au service du SPECTRE...

A la partie Nord :  les deux assassins professionnels sortirent en vitesse. Ils étaient des tireurs hors pair, doués de sang froid, et armés avec des M-16 silencieux d'une grande qualité. Ils abattirent rapidement 3 policiers, sous la surprise. Ils continuaient à avancer rapidement, afin de piéger leur cible spécifique ! D'autres policiers tentèrent de s'opposer à eux, mais ils n'avaient pas eu le temps de se mettre en place et se retrouvaient trop vulnérables : en une minute, 4 furent méthodiquement éliminés.
Il y avait peu de policiers dans cet étage là, il n'en restait presque plus aucun entre eux et Rotberg / Toldman. Ceux-ci attendaient des renforts venant de l'arrière.

Mais à la partie sud, à l'arrière, l'agent du SPECTRE déjà là, piégé en apparence dans les toilettes, avait encore son rôle à jouer : il était connecté par une oreillette à ses collègues, et il reçut d'eux le message d'attaquer par l'arrière pour empêcher des renforts de venir de là. Le piège allait se refermer sur Rotberg... Profitant du désarroi de ses assaillants paniqués par la bataille approchant par le nord, il sortit rapidement. Il abattit les deux hommes chargés de le surveiller. Ceux qui se préparaient à secourir Rotberg se retournèrent pour riposter... Son M-16 allait de l'un à l'autre, encore trois furent abattus. Mais la riposte des quelques autres policiers le frappa de plusieurs balles et il tomba à terre à son tour.

Partie-Nord :
Marc Rotberg eu une idée : " Que personne ne fuit, ce que nous allons faire est très risqué, mais au nom de tous ces gens innocents avant même notre pays nous sommes forcés de rester à combattre".
ils étaient seulement 5 de son côté, pendant que les tueurs approchaient rapidement : Lui, Toldman et 3 derniers policiers, deux sergents et un sous-officier. Ils se postèrent dans la cafétéria, se dispersant derrière plusieurs protections sans faire de bruits. Dans leur hâte, les terroristes experts arrivèrent avant de trouver leurs cachettes et se retrouvèrent entre 5 feux. Par chance, successivement criblés de balles au corps, ils furent abattus. Les policiers crièrent de joie : "YEAAAAAAAAAAAAAAAAH, OH MY GOD, MY GODNESS, IT'S... !". Un cri retentit non loin derrière eux, rembrunissant instantanément leurs faces.

Partie-Sud :  le terroriste n'était pas mort ! Il avait un gilet par balle depuis le début sous sa sombre-combinaison. Se redressant soudainement, il reprit son arme et arrosa de balles les survivants autour de lui, faisant plusieurs blessés. Le dernier homme indemne parvint à lui tirer deux balles dans le torse, que malgré sa protection il sentit sévèrement. Il arriva à le tuer en vidant son chargeur sur sa poitrine. Quelle boucherie, il ne restait plus qu'à continuer là bas... Mais il n'avait pas fait attention à un des blessés, qui braquait sur lui son arme initiale : un fusil de police avec d'énormes cartouches perforantes. Il tira sur son ventre : le gilet par balle fut perforé et le terroriste du SPECTRE mortellement blessé.

Partie Nord : C'est là qu'à leur tour les deux terroristes du SPECTRE se relevèrent au milieu de "l'état major" et ripostèrent : ce fut un carnage. L'un d'entre eux sortit de derrière son dos un pistolet mitrailleur Scorpion, devant l'urgence. Il abattit deux hommes placés en protection devant le commissaire. Lorsqu'ils s'effondrèrent ils dévoilèrent ce dernier, un fusil à pompe à canon scié fièrement braqué sur son prédateur : Le commissaire Rotberg tira, perçant les protections de son adversaire et l'abattant sur le coup. Il eut le temps de prononcer une phrase :

- " Ce ne sont pas des hommes d'Al Qaida ".

Puis il fut atteint par plusieurs balles en plein corps et tomba au sol. Le second et dernier des 3 hommes du SPECTRE l'avait prit pour cible par M16, après avoir mit hors de combat le dernier policier et le sous-commissaire Toldman. Ce dernier se tenait une hanche ensanglantée : il avait de sévères blessures mais vivait encore. Fou de rage désespérée il tira à coup de flingue sur le mercenaire : mais son chargeur se vida du reste de balles, et son ennemi se releva rapidement. Il braqua sur sa tête sa mitraillette et prononça la sentence :

- " Ma mission est accomplie. Et toi tu vas pourrir sur une note excitante ".

La voix sonnait assez occidental. Toldman cracha une dernière insulte désespérée avant de quitter ce monde...

ALORS LE COMMISSAIRE ROTBERG SE PRECIPITA SUR LE TERRORISTE DE TOUTE SON ENERGIE ! Non, il n'était pas mort. Trop malin, il avait tout fait pour cacher à ses ennemis son gilet par-balle. Il profita de la surprise pour faire sauter de ses mains l'arme du mercenaire. Ce dernier riposta aussitôt avec une habile prise de corps à corps : un coup de coude dans le ventre de Rotberg, puis un coup de poing sur son dos qui le renversa au sol... Toldman avait reprit son revolver, il fallait le recharger avant que... Mais le terroriste avait déjà sorti un poignard acéré, luisant sous les néons tremblottants au plafond... Il éleva son arme pour frapper le commissaire... Et là Toldman chargea net son pistolet.. Entendant aussitôt, le mercenaire fit volte-face. Rotberg profita de ce moment pour lui envoyer le pied à toute force dans la main : le mercenaire lâcha son arme sous la douleur. Reprenant son sang froid, Toldman visa la jambe. Mais leur ennemi avait comprit : renonçant, il se replia en courant dans le couloir nord, espérant gagner une fenêtre à temps. Mais un tir l'atteint, si puissant qu'il perça ses protections et l'abattit sur le coup. L'homme au fusil à cartouche perforante était parvenu à se rendre jusque là bas, et voyant tout droit devant lui un terroriste aussi voyant qu'un éléphant, il n'avait pas hésité.

- " Non !" s'exclama Marc Rotberg. " Il nous le fallait vivant... "

Avec cet homme, la dernière preuve de l'implication du SPECTRE s'effaçait, avec il l'ignorait, les locaux médicaux soupçonnés et l'enquêteur au courage irremplaçable abattu par le Major Igor... Les trois survivant de l'étage, s'abandonnant à leurs blessures de la bataille, se laissèrent allongés au sol, gémissant de douleur.

- " C'est le chaos. L'apocalypse... " siffla Rotberg d'une voix blanche.

Allongé au sol, en plus mauvais état que lui pourtant, Toldman s'efforça de le corriger :

- " Commissaire ! Que racontez vous, tout est arrangé... Nous avons repoussés ceux de dehors et ceux-ci sont bien morts.. On a gagné... "

- " Nous venons de survivre à la première partie du déluge... Mais l'apocalypse ne fait que commencer. je vous prédis l'embrasement de ce monde. Nous entrons dans l'ère d'une planète enflammée par un terrorisme qu'elle n'a jamais connu... "


[ Désolé de ce pavé, mais ce fut le plus beau post que j'ai écrit ici pour moi Smile ]









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MessageSujet: Re: American nightmare [SPECTRE & Al Qaida] American nightmare [SPECTRE & Al Qaida] I_icon_minitimeVen 23 Mai - 0:49

L'attentat s'était achevé, et les terroristes partaient en fuite. Des transports d'évacuation auraient trop facilement été interceptés, c'est pourquoi il fallait se cacher. Dans les opérations traditionnelles, un ou deux maisons anonymes font l'affaire. Mais la différence ici était que derrière ces attentats, se cachait la nébuleuse du SPECTRE, parmi lesquels plusieurs grands propriétaires capitalistes internationaux et un gigantesque empire financier légal, acheté grâce aux profits du groupe terroriste... Leurs propriétés immobilières leur avait permit d'obtenir environ huit appartements insoupçonnables (car ayant des propriétaires insoupçonnables), ce qui permettrait aux terroriste de se disperser et trouver refuge bien plus discrètement et sans soupçon.
C'est ce que firent le reste d'hommes du SPECTRE et d'Al Qaida. Ils purent ainsi rester cachés de part de d'autre de la ville plusieurs jours, puis partir dans diverses villes reprendre leurs activités habituelles.

Le grand attentat de Los Angeles entraina en plus de dégâts matériels conséquents, un champ spectaculaire de victimes : des dizaines de terroristes, une centaine de policiers, une douzaine de personnels et administrateurs dont le maire et son adjoint, et plusieurs civils moururent, sans parler d'une centaine d'autre blessés.


Cet attentat s'était finit comme une sorte d'ex-aequo entre les terroristes et les forces de l'ordre. Le SPECTRE avait perdu un tiers de ses hommes, et Al Qaida plus de la moitié. Le SPECTRE était parvenu en faisant sauter les locaux pharmaceutiques compromettants et éliminant un inspecteur gênant à éliminer les traces pouvant mener à elle de façon insoupçonnable, mais n'était pas parvenue à tuer le commissaire Rotberg, dernier gêne. Bien que quelque peu relégué, ce dernier pu donner très peu d'informations à la CIA qui néanmoins la fit admettre l'existence d'un conglomérat terroriste d'une puissance inhabituelle. Lors du G20 de mars, elle pu joindre ces quelques indices à ceux des anglais et des français et conclure en la réelle existence du SPECTRE.

Al Qaida n'avait pu réussir qu'un seul de ses trois sabotages prévus, et perdu plus d'hommes que prévu, tout cela grâce à l'efficacité sous-estimée des forces d'intervention américain et à l'audacieux coup de poker de Marc Rotberg.
Mais en revanche, les jours suivants, les informations traversèrent le monde et le plongèrent dans une vague de terreur qu'ils n'avaient pas connus depuis 2001. Al Qaida était parvenue à refaire un attentat d'envergure sur le territoire américain surprotégé, celui-ci serait considéré comme le plus audacieux depuis 2001. Grâce à son marché bien choisit avec le SPECTRE, le chef Djamin Idhir se retrouva en tête des chefs d'Al Qaida recherchés dans le monde, et devint un nouveau symbole des fous de Dieu qui compensa le regret de l'icône disparue Ben Laden. Sa prime monta à 20 millions de dollars. Son histoire se poursuivrait avec une mission de l'agent 007.

Le commissaire Rotberg, malgré les honneurs dont il jouissait, posa se démission et enterra sa carrière d'homme de loi, bien que l'on le supplia de part et d'autres de ne pas abandonner son devoir à un moment si critique. Il accepta la Medal of Honor qu'on lui offrit pour ses services, la plaça entre deux chemises dans ses bagages, vendit sa maison et sa voiture, vida l'épargne qu'il constituait depuis vingt ans et son indemnité de retraite de son poste de commissaire, prit son passeport et transféra tous ses biens en Suisse. Il s'installa là bas dans un chalet discret, sans prévenir personne en dehors de sa famille de son lieu de résidence. Il savait que s'il restait commissaire il ne survivrait pas longtemps, et que surtout il risquait de causer la mort de plusieurs personnes avec la sienne. Il su rester à l'écart du monde et l'on n'entendit plus parler de lui.
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