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Opération terreur nocturne

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Nikolaï Zukrov
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Nikolaï Zukrov
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MessageSujet: Opération terreur nocturne Opération terreur nocturne I_icon_minitimeMer 30 Oct - 3:34

Dans la nuit sans lune Le 30 Octobre 2013 a 23:02h, Un avion de marchandise traversait le ciel. Un gros avions gris foncé qui venait de Moscou.
Il dut atterrir a Berlin et avait des droits de passages corrects, livraison urgente a ce qu'il parait, pas le temps de fouiller
l'avion. Alors qu'as l’intérieur se trouvait une équipe commandos de 46 hommes en comptant le commandant Zukrov avec eux.
Ils étaient tous vêtus d'un uniforme noir/gris camouflage, cagoule et casques équipés de parachutes et de leurs armes. Et évidemment de masque a gaz
Le voyage était long pour eux. Ils avaient diverses armes entres lances roquettes, sniper, fusil d'assauts etc...
mais ils ne devaient pas baisser les bras et garder courage, rien que de penser a leur patrie leurs donnaient courage. L'avion 
était sur le point de décoller de la piste de l’aéroport de Berlin pendant que le commandant zukrov par une ligne sécurisé et
brouillée donnait des nouvelles a son supérieur encore en Sibérie. Une fois l'avion décollé, dernier briefing. Le commandant sur un tableau et une carte redit les instructions de l'opération:

- Etape 1: Atterrir sur l’aéroport et couper le courant et les communications

- Etape 2: Prendre discrètement des otages et les emmener dehors en dehors de la zone qui sera infectée. l’équipe 2 entrera dans
le métro et causer le plus de dommages possibles en y activant du C4

- Etape 3: Démarrer la bombe et éliminer toute la sécurité présente dans l’aéroport. Puis tenir l’aéroport le plus longtemps
possible.  Il faudra garder un maximum d'otage n'oubliez pas, sinon la RAF nous lâchera pas !

Et bien sur pendant et après l'opération, ce n'est jamais comme prévus au briefing !



31 Octobre 2013: 3:20h
Les pilotes nous firent signe que la cible approchait, tout n’était question que de quelques dizaines de minutes. Pendant 
ce temps les tours de contrôles Communiquaient aux pilotes et leurs demandaient l'identité de l'appareil. Bien sur les pilotes
S'identifiaient comme un transport de marchandise pour L’Islande pour obligatoirement passer par Londres.

Tour de contrôle aérienne Britannique: Ici tour de contrôle, Appareil inconnue identifiez vous//

Appareil Non identifié: Appareil de marchandise immatriculé B-658D en provenance de Berlin en direction de Reykjavik. Coli urgent.



Tour de contrôle aérienne Britannique: Bien reçut appareil B-658D// Terminé

les pilotes firent signe que le passage était assuré, tout les commandos se tinrent prêt a être parachuté, ils formaient trois 
colonnes vérifiant leurs équipements, avec sur le coté juste devant la soute, le Commandant Zukrov. Il supervisait tout et lui 
comme les autres, sans distinction, portait un uniforme standard aux autres, portant cagoule et casques, pour ne pas être identifié
facilement. La bombe, elle était placée entres deux rangs, tenue par quatre soldats qui allaient se parachuter avec pour ne pas
qu'elle tombe n'importe où. Un //BIIP// retentis et un voyant vert s'allumait. La soute s'ouvrit et tout les commandos sautèrent 
chacun par lignes pour n'avoir aucune confusion. une équipe de 5 hommes eux étaient parachutés chacun sur le toit d'un immeuble 
avec des snipers, qui avaient un angle sur l'entrée et la piste de l’aéroport. A Cette heure-ci il n'y avait pas grand monde
a proximité de l’aéroport. personne ne put remarquer les commandos dans l'ombre du ciel se faire parachutés sur le toit.

Les commandos arrivèrent a 41 sur le toit avec le commandant a leurs tête. Sur le toit se trouvait le transformateur qui donnait
l’accès au courant pour les lumières et les systèmes électroniques. Les commandos coupèrent le courant se qui éteints les lumière.
Ainsi fait 5 commandos passèrent par une trappe o se trouvait normalement l’aération en cas d'incendie, et elle donnait directement
dans un couloir où se trouvait la salle de contrôle et de sécurité. Les cameras et systèmes de sécurités fonctionnaient grâce a un
groupe électrogène spécial. les deux commandos dans le couloirs armés de 
AK-74 silencieux, ils arrivèrent devant la porte qui donnait
a la salle en question, étant dans l'ombre personne ne les remarquaient car la sécurité cherchaient partout le problème avec des 
électriciens... sauf dans la salle ou se regroupait la sécurité. Les deux hommes tapèrent a la porte comme si de rien était avant
que quelqu'un a l'intérieurs leurs dises " entrez c'est ouvert". Puis d'un mouvement brusque et précis il rentrèrent et 
mitraillèrent les hommes a l'intérieurs avant de refermer la porte et de prendre la salle de contrôle, des cameras et communications.

Ensuite, pendant la petite panique de panne de courant a l'intérieurs de l’aéroport, là où se trouvait les touristes et voyageurs, les autres commandos y descendirent en rappel. Pendant que d'autres plus discrets avaient descendus  dans d'autres couloirs afin
d'éliminer le personnel de sécurité en douce. Ils remirent le courant en place, les hommes étaient maintenant partout dans l’aéroport
encerclant les voyageurs en leurs disant de se regrouper en un lieu les menaçant de leurs armes.

Les passagers terrifiés obéirent, voyant maintenant que la lumière est rétablie, les cadavres des policiers dans L’aéroport.
une équipe de 10 hommes se séparèrent pour aller vers la tour de contrôle accessible par les couloirs, une fois devant,
 5 hommes allaient patrouiller dans les couloirs.

Les voyageurs menacés par les armes étaient maintenant tous regrouper dans la salle centrale, enfin les commandos n'en voyaient pas d'autres.
Quelques hommes avancèrent vers les otages et parlèrent en anglais. 

Commandos: " Si nous en voyons un avec un téléphone nous le tuerons !

Puis l'heure était venu de choisir ceux qui survivrons. Les commandos prirent une quinzaines d'otage, ceux qui semblaient les plus
riche et importants. Ils les mirent de coté et leur enfila des masque a gaz. Après cela un commandos accroupis face a la bombe
appuyait sur certains boutons avant de s’éloigner, les commandos se dispersèrent dans le calme pour pouvoir patrouiller sur tout l’aéroport
Pendant que la bombe explosa et ralacha ainsi son gaz mortel, du gaz sarin, fabrication soviétique. Tout les civils regroupés
dans la pièce centrale se mirent a étouffer et s'irrités dans une certaine souffrance pendant une vingtaines de secondes
avant de mourir. Le gaz embaumait maintenant l’aéroport et même un peut les alentours, pouvant tuer aussi ceux qui se cachaient.

L'avions qui les avaient tous parachuté attérit sur la piste d’atterrissage et attendis qu'on y mette les otages, mais l'opération devait durer le plus longtemps possible, faire le plus de dégâts et donc les otages n’étaient là que pour assurer le retour.

Les terroristes contrôlèrent maintenant tout l’aéroport et avaient amenés les otages dans la salle de sécurité et de contrôle.
Surveillés par cinq hommes. le commandant Zukrov lui, avec un autre de ses camarades sniper surveillaient l'entrée depuis le toit après
avoir remonter des escaliers y amenant.

Commandant: La police n'est pas encore arrivée... ça ne saurait tarder. Il faut envoyer l’équipe dans le métro qu'elle puisse
revenir plus vite et en vie.

Puis l'homme au sniper a coté prirent la radio pour retransmettre les ordres. Puis, trois hommes dans l’aéroport, avec un bon
paquet de C4 trouvère une plaque d’égout juste près de la piste d’atterrissage et y entrèrent en destination du métro.
Une fois a l'intérieurs des égouts, ils arrivèrent grâce a une carte, a trouver une sortie vers le métro.
Ils n'étaient pas loin d'une station et posèrent sur les parois du tunnel, des charge de C4. Ils en placèrent tout les 15 mètres en prenant soins de bien les cachés.
Il fallait maintenant monter vers la station. Mais avant ils transmis par radio que les chargent étaient posées. Puis même aussi peut
nombreux qu'ils étaient montèrent vers la station. Les gens se retournaient vers les commandos étonné ne sachant pas ce qu'il se passe,
avant que les trois hommes mitraillèrent tout les citoyens du métro de sang froid. Il ne restait plus qu'as remonter les escaliers
qui menaient a la rue non loin de l’aéroport. ils étaient maintenant dans la rue entrain de courir a moitié, visant dans tout les coins.
Mais des sirènes de polices retentirent avant qu'ils atteignent l’aéroport.  Les snipers sur les toits Observant les policiers arrivé:

Sniper vers Commandant: Ici escouade sniper Delta: Les autorités locales arrivent, suivis d'une voiture portant une plaque politique. Terminé.

Tout les commandos contrôlèrent l’aéroport, ayant tuer tout le monde grâce au gaz. Les 46 hommes patrouillèrent dans l’aéroport, surveillant intérieur comme extérieurs.
Opération terreur nocturne <a href=Opération terreur nocturne Battle13" />


( Frenchement j'ai bosser 3h de ma nuit pour faire ce poste alors soyez indulgent pour mes fautes et tout ^^' merci d'avoir lu )
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Lucien Bishop
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MessageSujet: Re: Opération terreur nocturne Opération terreur nocturne I_icon_minitimeJeu 31 Oct - 13:45



- GOOD TASTING -
Lucien jeta un rapide coup d’œil sur l'indication du distributeur avant de s'emparer de son café. Ce n'était pas le meilleur du monde, mais il avait le mérite de tenir éveillé. Il devait être dans les trois heures et demi du matin et son avion n'était toujours pas parti ! Fichus grévistes ! Ou fichue météo ! Il ne savait pas vraiment. Mais quoi qu'il en soit, son avion était cloué au sol pour une durée indéterminée.

Bishop n'était pas spécialement pressé de retourner à Paris, mais il voulait quitter le territoire britannique au plus vite. Les raisons qui l'avaient poussé à tout plaquer pour se rendre à Londres n'étaient pas des plus joyeuses : sa tante Abigail était décédée. Il avait donc fait le déplacement pour rendre un dernier hommage à la sœur de son père. Ça avait également été une bonne occasion pour renouer le contact avec sa famille. Il avait été quelque peu distant depuis la mort de sa femme, Yu, il y a deux ans. Il était ensuite parti infiltrer un cartel en Australie et n'avait donc pas vraiment eu le temps de parler avec ses parents. Cela avait évidemment été source de tensions. Mais Lucien n'avait pas eu envie d'être constamment confronté aux regards de ses proches : d'abord compatissants, puis inquiets. À quoi bon vivre auprès d'eux si c'était pour les laisser mourir ? De plus, passer sa vie à traquer des terroristes et déjouer leurs plans semblait inutile. À chaque fois que l'un d'entre eux mourrait ou était mis sur la touche, deux autres semblaient prendre sa place.

Voilà où Lucien Bishop en était de sa réflexion, dans le Terminal 3 de l'aéroport de Londres Heathrow : envisager une réorientation professionnelle. Peut-être devait-il se recentrer sur les valeurs les plus importantes : non pas la patrie, mais la famille. Ceux qui l'entouraient et qui l'aimaient.

L'espion français soupira en retournant s'asseoir sur l'une de ces rangées de chaises installées en guise de salle d'attente géante, lugubrement décorée aux couleurs d'Halloween par des guirlandes oranges et noires en forme de citrouilles. Il regarda sa montre : 3 heures 25. Qu'est-ce que le temps passait lentement ! Pour combien de temps allait-il encore rester vissé à cette chaise ? Il savait qu'il aurait dû prendre Eurostar !

Les sombres pensées de Lucien furent interrompues par le bruit d'un objet tombant au sol. Il se pencha et ramassa, surpris, une tétine. Il comprit qu'elle appartenait au bébé dans la poussette à côté de lui. Il tendit donc l'objet à sa voisine, une femme proche de la trentaine et aux cheveux blonds, dont le visage fut illuminé par un sourire gêné :

- Merci beaucoup, fit-elle. Elle n'a que dix-huit mois, mais elle est déjà aussi maladroite que sa mère !

Lucien sourit à son tour :

- Oh, ce n'est rien. Vous savez, ça arrive à tout le monde de faire tomber sa tétine !


Phrase maladroite, mais qui fit quand-même légèrement rire la jeune femme :

- Je m'appelle Ambre. Et vous ?

- Lucien. Lucien Bishop.

C'était étrange pour lui de donner son véritable nom à une inconnue. Il passait son quotidien à endosser d'autres identités, à se faire passer pour ce qu'il n'était pas. Sa vie n'était qu'un perpétuel mensonge, et Lucien Bishop était, au final, un nom d'emprunt parmi tant d'autres. Car même son véritable nom était truffé de fausses indications. Ça faisait maintenant cinq ans qu'il n'était plus journaliste et qu'il continuait à se faire passer pour tel.


- Et qu'est-ce qui vous a conduit, Monsieur Bishop, à vous retrouver à l'aéroport de Heathrow en plein milieu de la nuit ? Demanda Ambre.

- Un repas de famille, répondit-il simplement.
Encore un mensonge...

- Il s'est légèrement prolongé et j'ai raté mon jet. Enchaîna-t-il. Du coup, je dois me contenter de cet avion qui refuse de décoller. Et vous ?

- J'ai emmené ma petite Camille voir son papa. Il travaille à la City en ce moment et a dû nous laisser seule, entre filles !


- Vous habitez Paris ?

- Non, nous vivons près du Mans. Mais ce n'est pas loin de Paris en train. Et puis, dans deux semaines, Olivier rentre à la maison. Son CDD auprès de la Banque of America prend fin. Donc nous ne passerons plus une nuit toutes les deux semaines à dormir dans l'un des terminaux de cet aéroport ! Et vous, vous faites quoi ?

Lucien sourit, un air évasif sur son visage :

- Je suis journaliste chez France Télévision. J'aide à la programmation. En quelque sorte, c'est un peu moi qui choisi les sujets du jour. Je m'occupe essentiellement de l'actualité géopolitique.

- Ah oui, je vois ! Et vous vous faites prendre en otage lors de vos reportages au Moyen-Orient ou en Afrique subsaharienne !

Ce fut au tour de l'espion de rire. Ambre observa le café que tenait toujours Bishop dans la main :

- Je pense que moi aussi j'aurais bien besoin d'en prendre un. Vous l'avez trouvez où ?

- Les distributeurs sont juste là. Vous voulez que j'aille vous en chercher un ?

- Non, merci. Ce n'est pas la peine...

Avant même que la jeune femme n'ait terminé sa phrase, Lucien s'était levé chercher un café. Alors que la machine déversait la boisson caféinée dans le gobelet en plastique, Bishop observait de loin Ambre et Camille. Surtout Ambre, en fait, car de là où il était, il ne pouvait pas voir l'occupante de la poussette. Lucien trouvait que cette jeune femme était pleine de vie. Un certain enthousiasme semblait émaner d'elle, naturellement. Il avait lu une étude, récemment, selon laquelle les personnes optimistes vivraient plus longtemps. Il n'y avait aucun doute : Ambre finira centenaire !

Lucien avait l'habitude d'observer les gens autour de lui. Ce n'était pas une déformation professionnelle, comme on pourrait le croire dans un premier abord. En réalité, c'était cette curiosité qui l'avait poussé à devenir journaliste, puis espion. Même si les raisons qui l'avaient poussé à examiner son environnement avaient évolué au fil de sa carrière (d'abord par curiosité, ensuite par sécurité), il avait l'impression que c'était autre chose qui le faisait observer Ambre.

Il s'approcha d'elle, le gobelet à la main. Mais alors qu'il arrivait au niveau des chaises, le noir se fit. Des exclamations de surprises fusèrent dans tout le terminal.

- Vous aviez demandé un café noir, c'est bien ça ? Tenta Lucien, afin de détendre un peu l'atmosphère, fortement assombri.

C'était étrange que les plombs sautent tout d'un coup... Heathrow n'était plus ce que c'était !

- Ne vous en faites pas, ça ne va pas tarder à revenir.

En réalité, Bishop n'en savait strictement rien. Il avait un mauvais pressentiment et rien de tout ça ne lui inspirait confiance. Il sentit Ambre se saisir du café qu'il lui tendait. En même temps, il vérifia que son arme était bien à sa ceinture. Quand on travaillait à la DGSE, ce n'était pas bien difficile de faire passer une arme en douce dans un aéroport. Lucien se rassit sur son siège, entre sa valise et la jeune femme. Il sentait l'inquiétude de cette dernière. En fait, la tension était montée dans la salle en même temps qu'elle avait quitté le générateur. Comment un aéroport pouvait-il se retrouver subitement plongé dans l'obscurité la plus totale ? Les passagers en attente tentaient de s'éclairer de leur mieux avec la lumière de leurs téléphones portables. L'ancien journaliste vit Ambre faire de même. Elle vérifia immédiatement que son bébé allait bien et fut vite rassurée.

Lucien cru l'être également lorsque la lumière finit par revenir. Mais à la vue des nombreux soldats armés jusqu'aux dents qui les encerclaient, la nuit s'annonçait très longue (ou très courte...) . Des cris retentirent de toutes parts, mais furent immédiatement interrompus par des coups de feu en l'air. Les ravisseurs, d'un fort accent soviétique, intimèrent aux otages de se regrouper au centre de la salle. Bishop murmura à Ambre un "Ne vous inquiétez pas, ça va bien se passer". Mais l'agent secret déglutit péniblement lorsqu'il vit le cadavre d'un agent de la sécurité. Apparemment, les terroristes venaient de faire une frappe chirurgicale, privant Londre de l'un de ses aéroports.

Une fois le chaos des premières minutes dissipé, les commandos entraînèrent les otages vers la salle centrale de l'aéroport. Là-bas, d'autres groupes d'otages y arrivaient également, en provenance de chaque coin de l'aéroport. À côté de Lucien, Ambre était terrorisée, comme tout le monde autour d'eux. Elle semblait à bout de nerf et serrait fortement son enfant dans ses bras. Bishop eut un moment de tendresse en la voyant ainsi. L'instinct d'une mère protégeant son enfant. Avec un peu de chance, peut-être serait-il possible de négocier rapidement la libération des femmes et des enfants.

Un soldat s'approcha du troupeau d'otages et dit, fermement :

- Si nous en voyons un avec un téléphone nous le tuerons !

Ça avait le mérite d'être clair... Mais la bonne nouvelle était qu'ils ne procédaient pas à des fouilles au corps, ce qui permettait à Bishop de conserver son Beretta 92. Ensuite, plusieurs hommes armés circulèrent parmi les otages et en sélectionnèrent certains. Les (mal)heureux élus étaient directement séparés des autres otages. Tous coopérèrent, mais l'un des passagers refusa d'être séparé de sa femme. Le soldat s'était agrippé à lui, le forçant à se lever pour rejoindre les autres, mais le pauvre homme refusa, se débattant. Le militaire finit donc par abandonner et emmena l'homme assis à côté du couple. Le comportement des ravisseurs était curieux. Ils semblaient prendre soin de bien choisir les otages mis de côtés, mais paraissaient également agir à la hâte, comme s'ils n'avaient pas que ça à faire (ce qui était certainement le cas). L'un des commandos passa devant Ambre, Camille et Lucien. Il les scruta assidûment, derrière son masque à gaz, puis après un instant d'hésitation finit par désigner Lucien. Il lui agrippa le bras et, avec force, le redressa. Bishop fut contraint de le suivre, il jeta un regard confiant vers Ambre, d'un air de dire : "Pas d'inquiétude, ça va aller".

Après avoir rejoint le second groupe constitué d'une quinzaine d'otages, le soldat lui confia un masque à gaz et lui fit comprendre que c'était dans son intérêt de l'enfiler en vitesse. Surpris, Lucien obtempéra. Puis il réalisa avec horreur quel était le plan de ces terroristes ! Ce n'est qu'à cet instant qu'il vit la bombe posée non loin des otages, à cet instant seulement qu'il vit un technicien s'y affairer, puis s'en écarter. Un léger bruit retentit alors que le gaz s'en échappait. Impuissant, menacé par les armes des ravisseurs, Lucien ne put qu'observer les centaines (ou les milliers?) de personnes se faire tuer. L'espion était tenté de réagir, mais il ne pouvait pas. Assister à ce massacre était la seule chose qu'il pouvait réellement faire. Comment aurait-il pu être utile ? En donnant son masque à la personne la plus proche ? En tirant sur le commando à côté de lui ? Non ! Il était réduit à l'impuissance, emprisonné dans l'attente. Pour le moment, rien n'était possible...

Les yeux écarquillés, de terribles nausées le traversant, il observa Ambre et Camille tousser et trembler. Il put les voir convulser et se débattre, entendre leurs cris d'agonie. Le regard de Lucien croisa celui de la jeune femme. Il lut le désespoir dans ses yeux puis... le vide. Il venait de la voir mourir, alors qu'il ne pouvait rien faire, comme il avait vu mourir Yu à Shanghai. Bishop bouillonnait de rage et dû faire d'immenses efforts pour se contenir. En l'espace de quelques minutes, la quasi totalité des passagers venait de périr ; et Lucien, dont le métier était de les protéger n'avait rien pu faire.

Aucun doute, il aurait bien dû prendre Eurostar...
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Jonathan Frobisher
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MessageSujet: Re: Opération terreur nocturne Opération terreur nocturne I_icon_minitimeJeu 31 Oct - 17:12

L'Angleterre, Jonathan n'était jamais allé dans ce pays là. Il n'était pas un grand fan de la culture anglaise, ni de leur langue à vrai dire. Mais la piste sur le docteur Germain le mène ici, à Londres. Grâce à la jeune Scarlett, il put trouver les éléments le guidant aujourd'hui en Grande-Bretagne. Il reprit donc l'avion le moins cher pour rentrer en Europe. 
Il arriva à l'aéroport de Londres Heathrow à 2h55, maintenant Frobisher s'était habitué lui à ces voyages dans le ciel. C'est l'un des seuls moment où il a le temps d'écrire son journal. Il fit alors le récit de ces rencontres aux Canada, passant de la cougar à la sublime Scarlett Adams. Malheureusement il n'eut pas de chance, le docteur Germain qu'il cherche n'est plus au Canada mais un ancien ami à lui travaillant en Angleterre saurait où est le docteur Thomas Germain...
Dès son arrivée dans le hall de l'aéroport, Jonathan partit chercher ses bagages en prenant son temps. Il observa les gens aux alentours, tous très occupés dans leur train-train quotidien. Le jeune compositeur se sentit alors seul d'un coup et repensa à Scarlett, elle lui manquait beaucoup... Ils formaient un duo sympathique après tout, pensa t-il alors. Elle avait le sourire d'un ange tombé du ciel. Serait-il amour ? Non, Jonathan n'avait pas le temps de l'être entre son oeuvre artistique en préparation et sa recherche du Dr. Germain, cela occupait suffisamment les journées du jeune compositeur. 
Frobisher prit ses bagages et se dirigea vers une machine à café, enfin quelque chose pour le réchauffer. Car oui, il ne faisait pas chaud dehors, à l'extérieur de l'aéroport. Le jeune homme se mit à l'aise alors en s’asseyant sur une chaise et but alors sereinement son café. Il pensa à la journée qui s'annonçait longue. Faudra t-il que ses recherches dure encore plusieurs semaines ? (ou mois ?!?) Il avait donné sa parole à son mentor, retrouver le Dr. Germain alors même si il devra continuer ses investigations pendant des lustres... Il le fera...
C'est alors que le courant du complexe s'éteignit soudainement. Jonathan se leva et commença à s'angoisser. Tout le monde se demandaient ce qu'il était en train de se dérouler ici, qu'est ce qui est à l'origine de cette coupure de courant ?!? Jonathan alla vers un homme de la sécurité qui avait l'air très perturbé, cela est déjà un signe inquiétant venant d'un garde de sécurité de l'aéroport. 

- Monsieur, bonsoir, vous savez ce qu'il se passe ? Il y a un problème...

- Heu... Ne, ne vous inquiétez pas monsieur. Ce doit être un test ou une coupure de courant non prévus mais il n'y a aucun problè... 

Un homme ressemblant étrangement à un soldat soviétique prit le garde avec qui Frobisher dialoguait puis lui trancha la gorge. Jonathan fut choqué tout d'un coup et se rendit vite compte de la situation dans laquelle il se trouvait. Des soldats russes, ou plutôt des terroristes russes s'étaient emparés de l'aéroport. Ils réunirent tout les civils de l'aéroport dans une même salle. Les russes étaient armés, et ils avaient déjà tués toute la sécurité. Ils seraient capable alors de nous tuer sans aucun scrupules. Jonathan avait peur de mourir, il donnerait n'importe quoi pour survivre. Il ne veut pas mourir, pas maintenant ! Il est encore jeune, plein de projets, etc... Mourir n'était franchement pas une chose que la musicien avait prévu, pour le moment. Que faut-il faire tendit que certains pleurent, d'autres sont plus ou moins violent, mal polie ou encore calme et serein... Jonathan pensa alors à prendre son téléphone portable jusqu'à ce qu'un soldat russe cria sur les otages :
Commandos: " Si nous en voyons un avec un téléphone nous le tuerons !
 Paralysé par la situation dans laquelle il se trouve, sans plus aucune échappatoire à la mort. Les soldats russe désignaient quelques otages dont Jonathan. On lui mit un masque à gaz, et il se rendit alors compte qu'il allait encore vivre pendant quelques heures ou minutes du moins. il se sentit heureux de vivre, mais assister à la mort de tout ces gens juste devant lui à cause du gaz des terroristes. Ce fut un moment terrible, le jeune homme avait du mal à regarder droit dans les yeux les gens souffrir puis mourir. 
On emmena le jeune compositeur et les autres otages restant jusqu'à la salle de sécurité et de contrôle du bâtiment. D'ici peut être que les otages allaient pouvoir tenter quelque chose pour avertir les autorités du pays. Mais faudrait-il déjà quelqu'un d'assez courageux pour faire quelque chose face à tout ces russes prêts à tirer sur n'importe quel des otages. L'opération des terroristes allait devoir être déjouée par le gouvernement de Grande-Bretagne sinon Jonathan craint le pire. Que va t-il devenir nom de dieu...

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Salle de Contrôle et de Sécurité de l'aéroport
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Sir Edan Lawliet
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MessageSujet: Re: Opération terreur nocturne Opération terreur nocturne I_icon_minitimeSam 9 Nov - 13:22

"Que de choses il faut ignorer pour agir"
Paul Valéry

10 Downing Street, 3h30

En cette nuit d'Haloween, le Premier Ministre d'Angleterre ne s'attendait pas à l'attentat en train de se dérouler à l'aéroport de Londres Heathrow. Les autorités furent mises au courant de cette attaque dès qu'une fusillade dans le métro eut lieu. Ces hommes sont allés jusqu'à l'aéroport avant que l'on puisse les arrêter. Le Premier Ministre doit être prévenu tout de suite ainsi que d'autres ministres importants...

Lawliet dormait seulement qu'à moitié ce soir là, il regardait sa femme dormir et penser au jour où il se réveillerait et la trouverait morte à côté de lui. A cause de ce fichu cancer, elle allait sans doute mourir mais... Edan espère la sauver encore et toujours... Mais cela est impossible, il ne peut que ralentir l'échéance mais ne pourra la guérir du mal qu'elle porte en elle. Il commença à s'endormir quand quelqu'un toqua légèrement à la porte de la chambre du Premier Ministre. Lawliet se leva puis lui ouvrit, c'était le Vice-Premier Ministre Georges Brett. Un homme peu conventionnel et menteur par moments mais fidèle aux idées que porte Edan. Il ne le trahirait jamais. Ce fut un des premiers grands alliés de Lawliet au Parlement Britannique, là où tout les politique se bouffent entre eux. Seul les plus forts en sortent vivants, un vrai terrain de bataille. Mais là, seule l'argumentation et le verbe compte... 

Le Premier Ministre mit une chemise blanche, un pantalon noir, une cravate rouge et sa veste. Il n'était pas très bien réveillé mais assez pour assurer ses fonctions de Premier Ministre. On lui fit un compte rendu de la situation : Suite à la fusillade dans le métro, des hommes sont allés en direction de l'aéroport. Grâce au réseaux sociaux, quelques photos prouvent que l'aéroport a été pris d'assaut. Nous avons alors la preuve que ce sont des terroristes. Ils sont d'après ces photos de très mauvaise qualité, en habit de soldat russe avec des masques à gaz. A cause de ses masques aucune identification de l'identité de ces terroristes n'est possible. Avec ces masques à gaz, on peut craindre le pire pour les pauvres innocents pris en otage (s'il y a des otages...). Le Premier Ministre ordonna de mettre la zone autour de l'aéroport sous quarantaine. L'armée et la police locale s'occupera de mettre en place la quarantaine. 

Lawliet décide alors de réunir certains de ces collègues pour réfléchir à quelle démarche prendre envers ces terroristes dont on ne connait pas le but. Plusieurs membres du gouvernement d'Edan Lawliet se réunir alors au 10 Downing Street. Le Premier Ministre et son Vice-Premier Ministre attendaient passivement l'arrivée de leur confrère, c'est une question de vie ou de mort à présent. Le Secrétaire d'Etat des Affaires étrangères et du Commonwealth "Arthur Ganate", puis le Secrétaire d'Etat à l'intérieur "Owen D. Lewis", le Secrétaire d'Etat à la Justice "Steven Hill" et le Secrétaire d'Etat à la Défense "Duncan Hurt". Le Général Grant commandant les opérations du point de vue militaire fut convié lui aussi à la réunion, c'est un ami proche de Lawliet. Ils ont combattus ensemble par le passé... Les six représentants du gouvernement étaient fin prêts à prendre les décisions qu'il s'impose...
Edan Lawliet - Bonsoir, comme vous le savez la situation est grave et nous nous devons de prendre des décisions le plus vite possible. Vous pouvez vous asseoir. J'ai disposé à chacune de vos places un document faisant un compte rendu de la situation actuelle. L'Angleterre subit une fois de plus un attentat terroriste au cœur de Londres, à l'aéroport Londres-Heathrow. Des commandos de terroristes lourdement armés on pris l'aéroport et se sont infiltrés dans le métro pour ensuite fusiller des innocents par l'une des stations de métro menant à l'aéroport. Ils se sont enfui avant que des représentants de la loi puissent les arrêter. Nous ne savons ni qui ils sont, ni ce qu'ils veulent. Mais ce que l'on sait, c'est que des vies sont en jeu dans cette aéroport, c'est pourquoi nous devons agir dés maintenant. Le Général Grant ici présent dirigera les forces militaires sur les lieux. 

Owen D. Lewis - Les forces de la police aideront le plus possible vos hommes Général Grant. Concernant le métro, n'allons pas courir d'autres risques inutiles. Toutes les stations prêtes de l'aéroport ne seront pas desservies durant le temps de l'opération. 

Edan Lawliet - Très bien, quand à vous monsieur Ganate. Je vous demanderais de prendre contact avec le gouvernement Russe pour savoir s'ils savent qui sont ces terroristes grâces aux photos que nous possédons. 

Arthur Ganate - Bien monsieur, j'y vais de ce pas si vous me le permettez. Tous les vols en provenance d'autres pays seront prévenus. Ils atterriront dans l'un des autres aéroports de la ville. 

Général Grant - Mes troupes seront sur les lieux d'ici peu avec les forces de la police. Dès que la quarantaine sera installée, nous pourrons s'occuper des négociations. Je suivrais vos ordres durant toute l'opération. 

Edan Lawliet - Très bien... Essayons de savoir qui sont les civils présents dans cet aéroport. Peut-être que ces terroristes ne visent pas l'Angleterre mais quelqu'un en particulier. Il faut être prêt à toute éventualité. Monsieur Lewis, pourriez vous vous en charger ? 

Owen D. Lewis - Je m'occuperais de cela monsieur le Premier Ministre. Nous devrions avoir dans nos bases de données les dernières images des caméras de surveillance transmises depuis l'aéroport; avant que les terroristes ne prennent le contrôle du bâtiment. Je pense à prendre contact avec M, peut-être que le MI6 pourrait nous être utile durant cette opération. Qu'en pensez vous monsieur le Premier Ministre ? 

Edan Lawliet - Oui, cela est une bonne idée monsieur Lewis. Monsieur Hurt s'occupera de prendre contact avec M. Le MI6 a réussi à sauver la couronne plus d'une fois, prenez contact avec lui et dites lui de nous rejoindre s'il vous plait. 

Duncan Hurt - Bien monsieur le Premier Ministre. Je m'en occupe.

George Brett - Je pense faire un conférence de presse dans les heures qui viennent. Avec la fusillade dans le métro, la presse ne mettra pas de temps à se mettre au courant des événements en cours autour de l'aéroport. Nous devrons évacuer les quartiers autour de l'aéroport, ainsi la quarantaine pourra bien se passer sans qu'aucun civil ne puisse nous embarrasser durant l'opération. 

Edan Lawliet - Très bien passons aux plans stratégiques de l'opération maintenant, Général Grant on vous écoute...

La partie commence pour le gouvernement contre le N.E.S (Nouvel Etat Soviétique). L'opération militaire est en train d'être mise en place mais deux détails dont le gouvernement ignore pourrait leurs être fatal. Les explosifs sur des voies du métro de Londres de l'aéroport jusqu'à la station attaquée auparavant. Et sur tout les Snipers sur les toits... Un long Halloween commence pour l'Angleterre et son gouvernement... 

[Je laisse M répondre au RP puis je pense que Zuzu pourra reprendre ^^]
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Albert Donnati
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MessageSujet: Re: Opération terreur nocturne Opération terreur nocturne I_icon_minitimeDim 10 Nov - 21:48

4 H 40 : France - Paris [décalage horaire d'une heure avec Londre au même moment]

Dans sa chambre de l’Élisée, Albert Donnati, nouveau président français élu et entré directement en fonction au mois de septembre, à la tête de l'état remplacer Marc Ayraut en intermitence du président récemment décédé... fut réveillé en urgence par une sonnerie et des coups répétés accompagnées d'excuses embarrassées. C'était la première fois qu'on se permettait de l'arracher si tôt du sommeil, et étant donné le respect extrême et abusé que le personnel accorde à un chef d'état, quand il vit le faisceau lumineux des caractères de l'heure projeté sur son plafond il ne pu retenir sa surprise : c'était sûrement une urgence de telle importance que mal réveillé, il en craignait une guerre. Il ouvrit la porte en pyjama et sans pantoufle tant il était inquiet. Devant sa porte, un sous-secrétaire d'état de la résidence encore essoufflé se tenait là, à côté du majordome et de membres de la sécurité.

"Oui, qui y'a
t-il ?"

"Nous sommes vraiment désolés de vous réveiller si tôt monsieur le président, vraiment..."
"C'est bon, c'est bon ! Je ne suis pas Louis XVI... Et vous pouvez m'appeler monsieur Donnati je vous ai dit."
"Excusez-moi monsieur..."
"Bon, pressons ! Qu'est ce qui se passe ?"
"L'ambassade d'Angleterre vient de nous avertir, de même que chaque ambassade anglaise a prévenue chacun de ses états... Il y a eu un attentat grave à Londres."
"A Londres ?? Qu'est ce qu'il se passe donc nom d'un chien !?"
"Nous savons seulement que l'aéroport vient d'être envahi par des terroristes étrangers... Et qu'une attaque au gaz impressionnante fait des beaucoup de victimes dans le métro.."
"Je viens tout de suite contacter mon confrère si je peux. Attendez-moi à l'extérieur, je m'habille à toute vitesse."
"Olivier peut vous aider à vous habiller si vous le souhaitez" tenta le majordome
"Et quoi encore ?!" rit énergiquement avec une humeur ambigu le président. "Je ne suis pas le Roi Soleil et j'ai besoin d'intimité. Donnez-moi une minute s'il vous plaît messieurs".

L'assemblée approuva calmement, encore impressionnée par l'énergie et la présence avec laquelle le caractériel Albert Donnati gérait les choses. Il était une sorte d'hyperactif pressé et comme mi-agacé mi-amusé, qui semblait tout vouloir régler à la fois et avec un haut débit de parole. A la fin de ses soixante-ans, on pouvait se dire qu'il ne tiendrait pas longtemps avec un tel rythme sportif, mais on se rappelait alors vite qu'il venait de la grande Scène-Française.


-------


Moins de 20 minutes plus tard, Donnati débarqua dans la "salle de stratégie et communication diplomatiques" un curieux petit complexe dans lequel les employés braqués sur les combinés et ordinateurs étaient en contact direct avec des supérieurs qui communiquaient directement avec l'assemblée du président. Tout ce monde carburait au café avec des tics de visage, les lumières étaient aveuglantes en cette nuit noire de début d'hiver, et le ministre des affaires étrangères ainsi que les secrétaires et chefs de cabinets présents (le premier ministre ne tarderait pas à venir de Matignon disait-on) donnaient un incroyable effort pour donner une impression de normalité totale. Ils ne s'assumaient pas, ce qui agaçait légèrement Donnati.

"Monsieur le président, bienvenu et désolé de ce réveil inopportun. De nouvelles... nouvelles" apporta le responsable, lui aussi apparemment pas encore tout à fait "clair". "Les responsables, selon l'ambassade anglaise, sont un groupe de terroristes formés en commandos armés. Ils se sont rapidement emparés de l'aéroport et du du métro avec l'aide de la surprise. Ils sont très bien entraînés, ils sont habillés comme des soldats d'élite, nous allons même recevoir des photos d'eux par l'ambassade de ce à quoi ils ressemblent. Ils ont fait beaucoup de morts par armes, et surtout... Ils font une attaque au gaz, c'est terrifiant"
"Vous le dites bien ! Après le meurtre d'un président... Ces dernières années on ne sait pas ce qui se passe dans cette planète ! Quelle est leur nationalité présumée ?"
"Pas encore proclamée, mais ils utiliseraient des uniformes russes, et des méthodes rappelant leur armée. Mais rien ne prouve qu'il ne s'agit pas d'une feinte..."

Donnati cachait son anxiété. Comme si cette planète n'avait pas assez de problèmes qui le tiraillaient à régler quelques mois plus tôt, s'ajoutaient des actes terroristes des plus douteux.

"Appelez-moi directement le premier Ministre du Royaume-Uni, sir Lawliet ! Je dois vérifier s'il souhaite une aide de toute sorte ou discuter de quoi que ce soit."


Son débit de volume réveillait toute la salle de sa torpeur. Un employé s'exécuta, puis Donnati se chargea des détails de routine : contacter toute la presse pour une conférence, faire passer sur tous réseaux d'information et chaîne télé l'actualité des faits... Le premier ministre, Jacques Généreux, fit irruption dans la pièce, accompagné du chef d'état major des forces armées du ministre de la défense, et autres personnages notables. Le général en chef et chef d'état major de forces armées françaises était déjà là empressé de parler avec Donnati.

"Albert, bonsoir ! Général, heu... vous me redirez votre nom -bonsoir Vous avez déjà discuté de quoi faire ?"
"Bonsoir Jacques"
répondit Donnati à l'amical et intriguant Jacques Généreux, ancien professeur et économiste. "Nous avons discuté de la base : interdire et décaler momentanément les espaces aériens à destination de toute ville anglaise, déployer notre propre surveillance aérienne armée dans nos airs, placer des patrouilles dans tous nos aéroports... J'ai autorisé tout cela, mais je vous demandes votre appui à vous deux qui tombez à pic, car nos armées sont encore en préparation"
"Et bien, vous êtes VOUS celui qui devez lancer le feu vert sans aucun compromis, Albert, puisque le président est aussi chef suprême de l'armée."
"En effet... Je voulais quand même avoir pour cela l'avis du gouvernement"
"Et bien vous l'avez, dépêchons donc !"

---


Quelques minutes plus tard, Albert Donnati s'isola dans un cabinet après en avoir fait la demande. Il disposait de quelques minutes.
Alors il entra en contact avec les services secrets français, suite au SMS urgent qu'il avait reçu. L'officier de gestion des services secrets lui assura que le chef de la DGSE monsieur Mathis n'était pas encore présent, mais qu'on avait envoyé au président un chargé de communication afin de le mettre au courant d'une situation complexe : un agent secret français faisait partie des voyageurs, et il s'est retrouvé piégé parmi les otages. Sa survie était essentielle, d'autant plus qu'il était un des meilleurs éléments de l'espionnage français, qui avait récemment encore survécu de justesse à d'impressionnantes mission.
"Laissez-moi donc deviner" grogna Donnati. "Vous allez donc me demander de faire en sorte que tout se passe diplomatiquement pour qu'il ne lui arrive rien de mal ?"
"C'est à peu près ça monsieur.."
"Cette décision m'appartient, ne l'oubliez pas, même si je sais que vos services peuvent facilement nous tirer les couilles avec l'importance prépondérance de la sécurité nationale, etc, évitez s'il vous plait."
"Hum... Bien monsieur le président".
"Monsieur Donnati si vous le voulez bien, mon cher.
Allez, excusez-moi de ça, c'est qu'on ne sait jamais, mais je n'ai rien contre-vous. Comment identifiez-vous la position de votre agent s'il vous plaît ?"
"Il est munit comme de tradition d'un GPS caché, et il a une oreillette si petite que les terroristes n'ont pas du la voir. Nous essayons actuellement de le contacter mais il ne peut nous répondre"
"Passez-le moi quand vous pouvez, j'ai mon soutien à lui donner, ainsi que des informations à lui transmettre"

On appela monsieur Donnati à ce moment : le Premier Ministre Edan Lawliet était peut être libre. Après cela, il s'occuperait de donner son message à Bishop...
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Sir Miles Messervy
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MessageSujet: Re: Opération terreur nocturne Opération terreur nocturne I_icon_minitimeLun 11 Nov - 9:17

Appartement de Miles Messervy, Londres ~ 3h38

La nuit avait été calme au début mais maintenant il fallait émerger pour analyser le dossier qui les préoccupaient tous à l'instant présent. Des terroristes avaient choisi cette nuit d'Halloween pour passer à l'assaut, c'était vraiment préoccupant. M passa une robe de chambre et se fit un café tout en allumant son ordinateur prêt à se connecter au réseau du MI6. Le Premier Ministre allait sûrement vouloir des informations faites de première main sur ces terroristes. M savait que Bill Tanner était de service cette nuit. Il tapa un message à son intention en regardant les informations qu'ils avaient déjà sur ce qu'il se passait à l'aéroport.

Connaître les revendications de l'ennemi.
Sauver le plus d'otages possible.
Capturer et interroger des suspects.
Mettre hors d'état de nuire leur leader.

C'était les objectifs primordiaux mais tout commençait par la récolte d'informations. M resterait en ligne mais n'irait pas à Downing Street se dévoiler à des membres du gouvernement qu'il ne connaissait pas encore. Il devait rester la nébuleuse énigmatique aux commandes des services de renseignement du pays.

10 Downing Street ~ 3h50

Bill Tanner avait pris sa voiture de service dès qu'il avait reçu les demandes de Downing Street ainsi que les directives de M. Bill Tanner avait gardé son téléphone allumé pour se préparer à n'importe quel message de M qui pourrait arriver.
Il passa les barrières de sécurité et entre dans la salle de réunion où s'était rassemblé les ministres concernés par l'affaire en cours. Bill Tanner parcourut la salle du regard puis commença à faire son exposé en fonction des directives de M.

- M m'a laissé quelques directives pour cette situation de crise. Il va falloir avant tout se renseigner. Qui sont ces terroristes ? Que veulent-ils ? Pensez à envoyer un négociateur sans l'exposer trop aux ennemis non plus. Ensuite, nous devrons trouver un moyen de neutraliser la majorité des ennemis mais en faisant à tout prix des prisonniers pour se renseigner sur ce qu'il s'est passé. La priorité est le renseignement puis sauver des vies avant que ces terroristes ne décident d'abattre des otages. 

Il leva la tête et observa droit dans les yeux le Premier ministre et ceux qui écoutaient également la réunion.

- Des questions ?
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MessageSujet: Re: Opération terreur nocturne Opération terreur nocturne I_icon_minitimeLun 11 Nov - 15:11

Zukrov était sur le toit et parlait par oreillette a ses hommes, compte rendu:

- Les commandos patrouillent dans tout l’aéroport, 5 gardent les otages, 5 snipers sont sur des toits en dehors de l’aéroport, Des explosifs sont posés dans le métro, il ne reste que 15 survivants car les autres sont morts au gaz.


- 4h20 du matin// Snipers sur les toits/

Les snipers restaient toujours en contact avec Zukrov, dans leurs lunette de visée ils scrutaient des partis de l'aeroport ainsi que la rue. Des fourguons de police arrivèrent a fond de balle en direction de l'aeroport, les sirènes hurlantes. Les 5 hommes munis de fusils de précision les vidaient tous d'un coup mais sans tirer et sans dévoiler leur position.

Sniper: Ici équipe 5, Les autorités locales sont là, préparez vous, l'armée ne devait pas non plus tarder a arriver.Terminé.

Zukrov: Bien reçut, restez en stand by, ne tirez pas.


4h20 du matin, salle de contrôle où sont retenus les otages.

Cinq hommes armés de AK-74u surveillaient les 15 otages assis contre le mur. L'un des commandos toucha l'oreillette de ses doigt ce qui signifiait qu'il avait reçut des ordres. D'un coup le regard froid et meurtrier du commandos a travers son masque a gaz pointait vers Lucien Bishop. Ce commandos dit aux autres, en russe d'aller le prendre et l'emmener un  peut plus loin. Ils procédèrent a une fouille au corps et trouva son porte feuille, son pistolet et... c'est tout. Après cela il fut emmener plus loin traversant la salle principale de l'Aeroport, le commandant Zukrov se trouvait en face et le rejoignis au milieu de la salle, quelques commandos y patrouillaient aussi pour trouver d’éventuels survivants. Les deux hommes mis des menottes a Bishop et lui tient le bras au cas où. Zukrov qui était face a lui commença a parler.

Nikolaï Zukrov: Bienvenue monsieur Bishop, de la DGSE n'est-ce pas ? Ne vous en faites pas. Deux choix s'offrent a vous. Premier choix: Venir visiter la Sibérie. Soit le gouvernement d'ici voudra négocier et nous allons vous relâcher. Mais...nous verrrons cela lorsqu'ils serons la, les autorités arrivent mais ne sont pas encore arrivés.

Il parla ensuite a ses deux hommes en russe.

- Prenez le en photo et envoyez ça au MI6 pour leur montrer a qui ils ont a faire. Si ils interviennent de force, on abats tout les prisonnier. Oh...et laissez leurs la surprise du métro. 

Le commandos n'était pas d'humeur joyeuse. Tout ce carnage était ses ordres, ça aurait été lui il n'aurait jamais fait ça. Une part de lui s'en voulait mais le boulot, c'est le boulot, il faut surmonter ça. Le commandant alla maintenant vaquer a d'autres occupations de l'opération pendant que Lucien fut ramené dans la salle de contrôle.


4h35. Aile EST de l'aéroport.

Deux commandos patrouillèrent dans l'extrême EST de l’aéroport. Ils vus une porte qui semblait être pressurisée, le gaz n'était donc pas entré. Les commandos la défonça et y découvrit des civils, dont un riche, en costard avec une Rolex en guise de montre et qui espérait nous acheter pour qu'il soit libéré. Mais de bon communistes se foutent de l'argent. Ils prirent les otages leurs donner un masque a gaz et vite. Les civils étaient trois. Et ils ne gardaient que les riches et importantes personnes. Alors ils firent entrer le gros lard pleins de pognon dans la salle de contrôle, et ils conduisaient les deux civils a l'entrée de l’aéroport avant d'y rentrer de nouveau laissant partir les pauvres gens choqués par le carnage de l’aéroport.


Compte rendu/ 4h50 / Aéroport

46 hommes dans l'Aéroport dont Zukrov. 5 Hommes sur les toits des immeubles environnants. 16 otages dont un membre des services secrets. Deux survivants trouvés ont été relâchés. Les commandos attendent les ouvertures des négociations.

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MessageSujet: Re: Opération terreur nocturne Opération terreur nocturne I_icon_minitimeLun 11 Nov - 21:08

Bishop aurait dit que ça faisait près d'une heure qu'ils étaient tous entassés dans le centre de contrôle. Peut-être un peu moins... En fait, sa montre annonçait même qu'il était quatre heures vingt. Donc oui, ça devait bien faire trois-quart d'heure que les quinze otages étaient alignés contre le mur, surveillés par cinq gardes aux allures peu avenantes, tous équipés de leur masque à gaz. Les premiers instants, certains otages avaient pleuré en silence. Mais un silence de mort, comme celui qui devait régner sur le reste de l'aéroport, avait vite prit place. Un prisonnier avait tenté de le rompre, voulant rassurer la personne assise à ses côtés, mais un coup de pied dans l'estomac suivi d'insultes en russe l'en avaient vite dissuadé.

Lucien, comme tous les autres, était adossé. Mais ce n'était pas la peur qui l'avait envahi. Non, lui, il fulminait encore de l'acte odieux qu'avaient oser faire ces terroristes. Ses pensées noires avaient chassé toute trace de peur. Cependant, la raison finit par lui revenir. Ça faisait un bon moment qu'ils étaient là, à rien faire. Bishop devait trouver un moyen pour sortir ces malheureux de là. Et ce n'était pas en maudissant la personne qui avait mis sur pied cette opération qu'il allait y parvenir !

L'agent secret finit par retrouver son calme. Il analysa la situation et scruta chacune des choses qui l'entouraient. Il était assis à côté de quelque chose qui ressemblait à un jeune homme aux yeux écarquillés et l'air un peu impressionné (et affolé) de ce qui lui arrivait. Et il avait bien raison. En face, il y avait les écrans de contrôle de l'aéroport. Deux des gardes étaient assis sur des chaises de bureau et observaient leurs camarades faire des rondes, au milieu de cadavres. Les trois autres, tout aussi muets, se contentaient de surveiller les otages. Mais ceux-ci étaient trop fatigués et apeurés pour représenter une quelconque menace. Et tant que la couverture de Bishop tiendra, il pourra passer pour aussi inoffensif que ses compagnons de fortune. Un des gardes mit la main à son oreille. Naïvement, Lucien cru d'abord que c'était pour se gratter, mais après le regard haineux que le soldat lui lança, l'espion comprit qu'il venait de recevoir des informations dans son oreillette. D'un signe, il ordonna à ses compagnons de se saisir de Lucien.

Que se passait-il ? Ils avaient découvert qu'il travaillait pour la DGSE ? Non, impossible ! Les négociations se déroulaient mal et ils avaient décidé d'exécuter un otage, pour l'exemple ? Bishop serait certainement prêt à mourir pour sa patrie, pour défendre de pauvres innocents. Mais là, il fallait reconnaître que c'était vraiment bête ! Il n'avait pas l'impression que sa mort serait si... utile. Ça sera lui comme ça aurait pu être n'importe qui d'autre le long de ce mur...

Les deux hommes qui traînaient Lucien le plaquèrent sans ménagement contre un autre mur de la salle. L'ancien journaliste sentit les mains des soldats le tapotant un peu partout. Ils finirent par découvrir son Beretta qui, il fallait le reconnaître, n'était pas très bien caché. Quelles qu'aient pu être les intentions initiales des ravisseurs, il était certain que l'espion allait passer un sale quart d'heure. L'un des gardes récupéra son porte-feuille et son passeport, puis deux hommes l'embarquèrent hors de la salle. Bishop tenta de résister, mais leur prise était ferme : inutile de se débattre. Lucien se résigna donc à se laisser emmener jusque dans la grande salle, celle où le massacre avait eu lieu quelques minutes plus tôt. Les cadavres avaient été laissés à leur place. Certains hommes patrouillaient parmi eux, certainement pour jouer les Thénardier et récolter quelques pièces de valeurs. L'agent secret observa les cadavres, mais n'aperçut pas Ambre parmi eux.

Au milieu de la salle se tenait un autre soldat, semblant attendre l'arrivée du petit attroupement. Bishop fut menotté devant cet individu et, une fois chose faite, l'homme s'adressa à l'espion français :

- Bienvenue monsieur Bishop, de la DGSE n'est-ce pas ? Ne vous en faites pas. Deux choix s'offrent a vous. Premier choix : venir visiter la Sibérie. Soit le gouvernement d'ici voudra négocier et nous allons vous relâcher. Mais...nous verrons cela lorsqu'ils seront là, les autorités arrivent mais ne sont pas encore arrivées.

%#@ !?*& ! Même au cœur de l'enfer (surtout au cœur de l'enfer), la réelle identité de Lucien Bishop parvenait à être dévoilée ! C'était à croire que la DGSE avait un site internet avec le nom de tous ses agents et leur CV en accès libre ! En moins d'une heure, ces hommes avaient réussi à découvrir qui était réellement Lucien Bishop, à savoir qui était l'homme derrière ce masque à gaz. Un doute parcourut l'esprit de l'agent secret. Pour que l'information ait circulé si vite, il devait y avoir une taupe au sein de l'agence. Quelqu'un qui était directement en relation avec ces terroristes...

La Sibérie et ses contrées glaciales. Là où goulags et usines désaffectées se partagent le paysage. Lucien jouait peut-être sur les clichés, mais l'origine russe de ces terroristes était plus que certaine. Ou alors ils jouaient une certaine comédie. Sinon, la bonne nouvelle était que les ravisseurs étaient prêts à négocier et à relâcher des otages, chose qui semblait peu probable au vu du massacre perpétré dans cette même salle. En revanche, le fait que les autorités mettent autant de temps à réagir était surprenant.

Sans plus de ménagement, et très curieusement, Lucien fut reconduit dans la salle de contrôle. Il s'était attendu à une scène de torture des plus violentes, afin de révéler ce que savait la DGSE sur leur organisation ou autre chose, précédé d'une éventuelle exécution, mais rien de tout ça. (Ce qui confirmait l'hypothèse de la taupe...). Maintenant que Bishop avait été démasqué, il semblait que les gardes étaient encore plus vigilants vis-à-vis de lui. Leurs regards étaient plus méfiants et la tension était montée dans la salle. Les autres otages regardaient Lucien avec de gros yeux éberlués, comme s'ils étaient surpris de le revoir vivant et en un seul morceau. Ils devaient se demander ce qu'il avait bien pu faire et pourquoi avait-il bénéficié d'un traitement de faveur. Après tout, il était rentré dans l'aéroport avec une arme et portait désormais des menottes...

L'espion se recentra sur sa réflexion : faire sortir tout ce beau monde d'ici et, éventuellement, contacter la DGSE. Maintenant que sa couverture avait sauté, il était hors de question de subir les événements. Il aurait pu être intéressant de se faire passer pour l'otage lambda, afin de récolter le plus d'informations possibles sur l'organisation terroriste, mais désormais Lucien était clairement perçu comme un ennemi. Il était clair qu'agresser le garde le plus proche était une vraie bêtise. Surtout que Bishop était désormais désarmé. De plus, même si les otages étaient trois fois plus nombreux, il n'était pas certain que les autres viennent à son secours.

Une nouvelle fois, la porte de la salle s'ouvrit et des soldats poussèrent à l'intérieur un homme de forte corpulence, également vêtu d'un masque. Tout comme les autres otages, il portait des habits de bonne manufacture. Qui était cet homme et comment se faisait-il que Lucien ne l'avait pas vu avant ? Il n'avait pas été avec eux lorsque le gaz s'était échappé. D'où venait-il ? Était-ce un stratagème de la part des preneurs d'otage pour faire parler quelqu'un ? Faire passer cet homme pour l'une des victimes alors qu'il était en réalité complice ? Ça faisait potentiellement six hommes à éliminer. Dans tous les cas, ça en faisait bien quatre de trop...

Une énième fois, Lucien fut interrompu dans ses réflexions. Mais le bruit qui le dérangea ne venait pas de l'extérieur. Un grésillement fut audible dans son oreille. Bishop avait totalement oublié la présence de son oreillette ! Comment avait-il pu oublier qu'il en portait une ? Généralement, il en utilisait seulement lors d'opérations spéciales. Ce métier était en train de transformer radicalement Lucien... Sa paranoïa constante l'avait cependant sauvé plus d'une fois. Et cette oreillette dans l'oreille en était la preuve. Du moins, l'espérait-il.

La voix dans son oreille grésillait et était difficilement audible, mais le message était clair. Bishop se concentra sur son contenu, tout en faisant mine que de rien n'était.


Dernière édition par Lucien Bishop le Mer 13 Nov - 18:51, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Opération terreur nocturne Opération terreur nocturne I_icon_minitimeMar 12 Nov - 17:13

1 heure avant dans les usines 
-Hmpf, très bien ces nouveaux prototypes; les tests sont concluants, maintenant je vous prie de m'excuser mais je dois prendre mon avion.
Alors Sandro sortais sans trop tarder de son usine fabricante d'armes. Alors il poussa la porte de sortie pour passer entre les deux gardes de sécurité et aller au parking. Puis il monta sans perdre de temps dans son Aston Martin. Alors appuyant sur accélérateur, il sortait de son usine, les grille se refermant donc derrière lui. Alors il se dirigeait vers l'aéroport, sans même regarder son compteur de vitesse. Alors arrivant dans vers l'aéroport il ralentissait. Puis arrivant face à une porte pour personnes 'VIP', en sortant un voiturier lui tendait la main, alors Sandro lâchait donc ses clés dans sa main. Alors il se dirigeait, portant ses valises, vers l'intérieur de l'aéroport. Passant au comptoir, pour faire vérifier mes billets. C'est alors que...

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Problèmes à l'aéroport ! 
C'est alors que...
Le courant se coupa dans tout l'aéroport. Alors un léger vent de panique se proliféra dans la salle qui ne se ré-éclairait pas. Alors Sandro plongea sa main droite dans sa poche de manteau intérieur, pour en ressortir aussitôt un portable. Alors de son pouce il composais un numéro.
-Allô, oui c'est Sandro, je vous laisse savoir que je ne reviendrais pas ce soir, quelques problèmes ! disait-il en apercevant au loin un soldat n'étant pas anglais.
Puis sans trop tardé il replongea son téléphone dans sa poche intérieur de manteau. Alors, le soldat m'ayant vu après les autres, me conduisait lui, dans la salle de contrôle de l'aéroport où apparemment tout le monde était gardé par environ 5 gardes. Alors Sandro, dans sa tête, pensait :
-Put*** de **** qu'est ce qu'il me foutent ces Ruskov ? Ils vont pas me faire chier longtemps ses cons sinon moi j'interviens.
Alors tout en faisant bien attention que ces *** de Russes le regardent bien, il se leva très rapidement. Puis pris la parole : 
-Hmpf, reprenez moi si je me trompe mais vous êtes russes ? Si c'est le cas, j'aimerais si possible, prendre contact avec votre chef. 
Puis il se rasseyait. Mais bon, il savait que ces satanées soldats allaient refuser. De toute façon que faire d'autre qu'attendre.
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MessageSujet: Re: Opération terreur nocturne Opération terreur nocturne I_icon_minitimeLun 25 Nov - 20:15

Ambassade de Russie, Londres

Le Secrétaire d'Etat des affaires étrangères et du Commonwealth venait d'arriver devant l'ambassade russe. On l’accueille, surpris de sa venu si tard dans la soirée. Il exigea de voir l'ambassadeur de la Fédération de Russie sur le champs, c'était une question de vie ou de mort. Plus le temps passe, plus les otages des terroristes ont des chances de mourir (en espérant qu'il y en a...). L'ambassadeur prit la peine de se rendre sur son lieu de travail suite à un coup de téléphone le réveillant. Il n'aimait pas vraiment les anglais, il se considère plus courtois que eux. Et surtout moins lourd... Ces anglais avait le luxe de toujours se la montrer avec leur Big Ben, leur Reine ou encore leurs musiques. Il n'aimait pas ce pays mais pour la gloire de la Fédération de Russie, il devait faire avec.

Il arriva en peu de temps (il faut dire qu'il y a beaucoup de taxis dans cette ville), il serra la main du Secrétaire d'Etat des affaires étrangères; Arthur Ganate. Celui-ci était très stressé par la situation. L'ambassadeur l'accueillit dans son bureau et lui servit un verre d'eau (c'est la moindre des choses...). Les deux hommes allaient pouvoir parler affaires, le gouvernement avait besoin de connaître l'identité des terroristes ayant pris contrôle de l'aéroport et l'ambassade russe pouvait représenter une certaine aide...

- Monsieur l'ambassadeur, je suis au regret de vous déranger si tard. Mais c'est une question de vie ou de mort, un attentat vient de frapper notre ville. Londres. Nous avons pensé que votre aide pourrait nous être utile monsieur l'ambassadeur.

- Un attentat, à Londres, aujourd'hui... Je sais ce que je verrais au 20H alors, je n'aurais pas la surprise pour demain... Quel dommage... Qu'est ce que je peux l'ambassade de la Fédération de Russie peut pour vous mon cher ?

Ganate tendit quelques photos à l'ambassadeur. Les photos des terroristes présents dans l'aéroport.

- L'aéroport de Londres Heathrow a été pris sous contrôle par des terroristes dont on ignore encore les intentions, ni leurs identités. Voici quelques photos pour vous, ces terroristes sont vêtus de tenues militaires russes. Peut-être que vous connaissez un ou plusieurs groupes terroristes ayant déjà porté auparavant ce type d'uniforme. 

- Monsieur le Secrétaire d'Etat Ganate, avec tout le respect que je vous dois, l'Angleterre à toujours une dette envers nous je vous rappelle. Quand l'un de nos scientifiques, le professeur Moscovitch, a été kidnappé. Nous avions fait un marché, en échange de notre scientifique nous vous donnerons le prisonnier que nous détenons depuis l'attaque en Sibérie. Vous n'avez toujours pas honoré ce marché, la Fédération de Russie devra t-elle attendre encore longtemps... En vous donnant des informations, que gagnerons nous en échange ? 

- Monsieur l'ambassadeur, le marché qui fut conclu entre votre nation et le MI6 est une chose. Nous sommes toujours à la recherche de votre scientifique. Ne croyez pas que nous avons oublié ce marché, nos services secrets sont toujours sur le dossier. J'aimerais avoir votre avis sur ces photos maintenant, en échange, vous aurez ce que nous vous conviendrons de vous donner. Des innocents sont sur le point de mourir si vous ne nous aidez pas monsieur l'ambassadeur. Des jeunes enfants faisaient partie des gens dans l'aéroport lorsque les terroristes ont pris le contrôle. Je n'ai pas envie que nos forces trouvent une fois à l'intérieur des cadavres d'enfants, nous avons besoin de vous monsieur l'ambassadeur. L'Angleterre et son gouvernement à besoin de vous...

_____________________________________

Surveillance Video Central of London,

C'est sur une marche décisive que le Secrétaire d'Etat à l'Intérieur, Owen D. Lewis se rendit à la compagnie de surveillance caméra fournissant toute la ville dont l'aéroport de Londres Heathrow. Avant la coupure de courant provoquée par les terroristes, la compagnie à bien sur pu récupérer les dernières images de l'aéroport avant l'attentat. Le Secrétaire d'Etat Lewis visionna toutes les vidéos de surveillance se passant quelques minutes avant la coupure puis ordonna qu'avec ces images, on identifie chaque individu se trouvant sur les lieux. 
Quelques minutes plus tard, grâce à des logiciels de reconnaissance faciale et aux images de la Compagnie londonienne, une liste a pu se faire. Deux noms avaient retenu l'attention du Secrétaire d'Etat : Lucien Bishop et Sandro Bocceli. Lucien Bishop est un agent secret de la DGSE d'après certaines sources, il avait enquêté sur la mort du président français en compagnie de l'agent René Mathis devenu Directeur de la DGSE à ce jour. Concernant Bocceli, cet homme est le PDG de Sandro Industrie, une société fournissant en armes l'armée Américaine et d'autres dans le secteur de l'armement et depuis peu l'entreprise se donne dans l'aéronautique. L'agent de la DGSE pourrait être un atout pour le gouvernement anglais si les terroristes ne savaient pas son identité. Mais pour Bocceli, sa présence dans cette affaire pourrait valoir beaucoup de problèmes si les terroristes tuent ou capturent ce businessman. 

Owen D. Lewis retourna à Downing Street pour prévenir alors son Premier Ministre, le gouvernement anglais allait avoir peut être un atout en or pour cette opération. Et cet atout serait l'agent Lucien Bishop en personne !

                       _____________________________________

10 Downing Street,

L'agent Bill Tanner venait comme porte parole de M pour représenter le MI6 face au gouvernement anglais. Le Secrétaire d'Etat à la Défense, Duncan Hurt, accueillit Tanner et l'emmena jusqu'à la salle de réunion où se trouvait quelques membres du gouvernement ainsi que le général Grant. Tanner parcouru la salle du regard et prit la parole face à tous, dont le Premier Ministre l'écoutant avec la plus grande attention. 

 - M m'a laissé quelques directives pour cette situation de crise. Il va falloir avant tout se renseigner. Qui sont ces terroristes ? Que veulent-ils ? Pensez à envoyer un négociateur sans l'exposer trop aux ennemis non plus. Ensuite, nous devrons trouver un moyen de neutraliser la majorité des ennemis mais en faisant à tout prix des prisonniers pour se renseigner sur ce qu'il s'est passé. La priorité est le renseignement puis sauver des vies avant que ces terroristes ne décident d'abattre des otages. Des questions ?

Tanner regarda alors droit dans les yeux le Premier Ministre qui lui répondit :

- Je reconnais bien la les méthodes de ce vieux M. Vous le saluerez de ma part agent Tanner, très bien veillez prendre place agent. Vous êtes le porte parole de M à cette réunion et je veux que le MI6 soit représenté. Assoyez vous alors, quelqu'un à d'autres questions ?

Personne ne dit rien, le Général se leva de son siège juste ensuite et quitta la salle. Personne ne fut surpris, il avait prévenu juste avant que l'agent Tanner arrive qu'il allait devoir commander ses troupes sur les lieux entourant l'attentat qui sont sous le contrôle de l'armée et de la police anglaise jusqu'à présent. 

_____________________________________

Zone sous contrôle autour de l'Aéroport,

La quarantaine a été mise en place le plus rapidement possible. Le métro, les quartiers et bâtiments entourant l'aéroport furent évacués. Beaucoup de civils ont été sauvés mais la presse locale se pose des questions. Il était temps pour le gouvernement d'annoncer qu'un attentat à lieu dans la capitale londonienne...

Les soldats de l'armée anglaise sont postés, prêts à se mettre en action. Ils n'attendent plus que les ordres du Général Grant. Les dispositifs des terroristes dans le métro n'allait pas toucher des simples civils mais les soldats anglais. Une vraie bataille allait faire rage dans cette zone si des négociations ne sont pas faites. 

_____________________________________

10 Downing Street,

Le Secrétaire d'Etat Lewis venait d'arriver avec les informations concernant la présence de l'agent Bishop et du PDG Bocceli dans l'aéroport. Lawliet réfléchissait de plus en plus à la situation. Cette affaire allait devoir être réglée le plus vite possible... Quand soudain Downing Street reçut l'appel de l'Elisée, à Paris. Le Président Donnati en personne. Cela tombe bien se disait le Premier Ministre Lawliet. Edan se rendit à son bureau personnel et prit alors le téléphone pour parler en privé d'une certaine façon de dirigeant à dirigeant.

- Bonsoir monsieur le Président Donnati, je pense que cette appel n'est pas un hasard avec la situation dans laquelle l'aéroport de Londres Haedrow se trouve, n'est ce pas ? Nous somme victime d'un attentat, l'un de vos agents se trouve sur les lieux. Un certain d'après nos renseignement Lucien Bishop. Mais il y a aussi une autre figure importante présente dans cette aéroport, le PDG Sandro Bocceli. Vous le connaissez peut être... Avez vous quelque chose à me dire à ce propos ? 

_____________________________________

Télévision anglaise,

Nous coupons votre programme pour un flash spécial !

" Mes chers compatriotes, notre nation est victime ce soir même d'un attentat terroriste à Londres, plus exactement à l'aéroport de Londres Heathrow. Nous vous demandons à vous tous de garder votre calme, restez chez vous et mettez vous à l'abri. L'armée est mobilisée actuellement pour régler la situation, et soyez en sur mes chers citoyens de Grande-Bretagne que votre pays ne se laissera jamais faire par quelconque actions de nature terroriste. L'Angleterre ne se laissera pas abattre et n'abandonnera jamais une cause qu'elle défend. Nous vaincrons le terrorisme ! "

- Vice-Premier Ministre d'Angleterre, Georges Brett -
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MessageSujet: Re: Opération terreur nocturne Opération terreur nocturne I_icon_minitimeMer 27 Nov - 23:27

Si monsieur Bishop ne répondait pas ce serait la preuve qu'il ne pouvait qu'écouter mais pas répondre, donc soit qu'il était en otage, soit qu'il était mort, ce que Donnati n'espérait pas du tout. Il s'éclaircit la gorge et donna quelques mots afin que l'agent puisse être prêt à l'écouter.

"Bonjour Mr Bishop, ici le président Donnati. La DGSE m'a envoyé à vous car vous seriez incapables de répondre d'après elle, alors comme seul vous pouvez officier quand vous êtes déconnectés de vos supérieurs, tant qu'à faire il vaut mieux que vous receviez les directives nationales.
BON, je sais que seul l'avis de vos supérieurs peut vous servir d'ordre, même pas celui du président. Alors je vous envoie une demande : pour le bien et l'image nationale, arrangez-vous pour qu'aucun otage ne meurt. Si votre intervention risque de couter la vie à tous les otages, abstenez vous je vous en prie. N'intervenez que si les chances de réussite sont majoritaires, au pire s'il y a peu de morts par la suite.
Nous allons voir si la France peut négocier des libérations, je vous indique votre position là dedans : s'il n'y a aucun mort, nous feront de notre mieux pour vous car vous êtes un de nos meilleurs agents ; s'il y en a par votre faute, plus il y en aura et moins nos négociations iront loin pour vous sauver, ce qui signifie que vous risquerez hautement de rester prisonnier, à notre grand regret. Vous êtes un homme voué à la morale et la nation : vous comprendrez qu'il est immoral et scandaleux pour notre image nationale, si l'histoire se sait, que nous négocions pour vous alors que des dizaines d'otages soient exécutés par votre faute. Donc dans les deux cas vous aiderez votre pays.
Quoiqu'il en soit, si vous survivez je vous garantis la Légion d'Honneur à votre retraite, quelle que soit la distance.
Courage et puissiez-vous survivre."


Donnati s'épongea le front. Ces histoires étaient incroyablement stressantes, surtout que tout son emploi du temps de la journée qui suivrait en était bousculé. A un certain âge c'est agaçant, bien qu'il conserva toujours une excellente forme sportive.


----


Il reçut Lawliet au téléphone. A ce moment, comme de coutume, il était seul dans un petit cabinet spécial pour que nul ne déconcentre les augustes conversations entre présidents (ce qui fait qu'ils peuvent parfois parler de tous les sujets de la vie courante comme la cuisine, la famille, le foot et le sexe, qui choqueraient les français si on leur divulguait les enregistrements).


"Hello my dear dear".

Ce surnom crétin dont les deux chefs d'états avaient l'habitude de la part du français, était comme une sorte de signe espiègle entre eux afin d'entrer un peu plus dans l'intimité, ce qui facilitait l'échange professionnel.

- Bonsoir monsieur le Président Donnati, je pense que cette appel n'est pas un hasard avec la situation dans laquelle l'aéroport de Londres Haedrow se trouve, n'est ce pas ? Nous somme victime d'un attentat, l'un de vos agents se trouve sur les lieux. Un certain d'après nos renseignement Lucien Bishop. Mais il y a aussi une autre figure importante présente dans cette aéroport, le PDG Sandro Bocceli. Vous le connaissez peut être... Avez vous quelque chose à me dire à ce propos ?

En vérité Albert n'appréciait pas trop Lawliet, pas pour sa personnalité mais ses orientations : trop libéral, trop conservateur, trop à serrer les poignes gentiment plutôt que les écraser. Comme la plupart des présidents de "démocraties" en ce monde, Lawliet était quelqu'un qui faisait plaisir aux puissants pour maintenir la stabilité dans le pays quitte à se plier à la loi du marché, et qui voyaient Donnati comme un petit collégien insolent. Mais ce n'étaient pas ces hommes qui auraient déclenché la révolution de Mai 68, Donnati lui était dans les barricade, à 26 ans. Passons.

"Et bien oui, cela tombe-bien, j'allais vous parler de lui. Je suis un peu étonné que vous l'ayez reconnu si vite, enfin je suppose que pas de chance, il fait partie de la liste que vos services ont de nos agents confidentiels, de même que nous en avons. Bon, mon but n'était pas de faire pression pour que vous l'épargniez. Pour l'instant je veux juste être tenu au courant, et que vous l'épargnez comme d'autres otages. Mais bien sûr, comme tout le monde ferait pour les agents de l'autre en pareille situation, j'aimerais que vous le mettiez un peu au dessus des personnes normales, parce qu'en plus d'une vie, il constitue une arme de défense nationale en sa qualité de bon agent secret.
J'aimerais savoir, souhaitez-vous négocier, et comptez vous risquer la vie des otages si les négociations ne vous plaisent pas ?

Sinon, peut être avez-vous besoin de mon aide pour quelque chose, souhaitez vous une couverture aérienne, l'usage d'un de nos navires de guerre en patrouille dans la Manche ? Quoique ce soit de notre aide, je ne serais pas réticent, il s'agit d'une affaire internationale et humaine !

Pour ce Bocceli, oui je vois, cet homme est bizarre si vous permettez, il est souvent en déplacement, à croire qu'il est partout. Et il discute facilement avec tout le monde. Tenez, même moi, oui moi, ai reçu une proposition de contrat exclusif avec lui ! J'ai du refuser pour des questions de logique budgétaire, mais il a l'air extrêmement ambitieux, et innovant, il ressemble un peu à un jeune Bill Gates de l'armement. Raison de plus de se méfier... Une chose est sûr, diplomatiquement il ne vaudrait mieux pas qu'il ai d'ennui. En Amérique du Sud et dans quelques industries de notre partie du monde, il est très prisé, c'est un milliardaire je pense. Diplomatiquement, il vaut mieux chercher une issue pour celui là, quelque chose de spécial. Vous comptez l'interroger après l'avoir arrêté ?"


Harassant métier de politicien chargé de protéger les peuples à la fois avec les histoires d'otages, d'emplois, d'aides sociales, de justice, d'ordre public... Il comprenait maintenant pourquoi nombre se contentaient de suivre les instructions dictées par l'UE pour tout le monde en soulageant à côté leurs migraines avec des whisky-cocas et des visites luxueuses. Aujourd'hui les présidents ont foutu le camp, ils travaillent pour d'autres et en faisant faire les choses par d'autres. Donnati lui était plutôt de la génération De Gaulle, qui bien qu'il ai protesté contre en son temps, avait des couilles, des balaises (pardon) un président puissant et obéit qui intervenait et se faisait écouter sur tous les plans. Nettoyer le pouvoir de son parasite, si cela était seulement possible... Si ses otages mourraient il craignait d'avoir moins de foi pour ses plans à venir, car il en porterait une part de responsabilité. Bishop, Lawliet, armée, faites un foutu quelque chose, sinon... Donnati va se mettre en colère.
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Sir Miles Messervy
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MessageSujet: Re: Opération terreur nocturne Opération terreur nocturne I_icon_minitimeSam 7 Déc - 9:11

Tanner s'était assis tranquillement au siège qu'on lui présentait et avait décidé de représenter le MI6. La voix de M dans son oreillette lui permettait de garder le contact avec tout ce qu'il se passait. Il écoutait attentivement les énoncés calmes de ces gens tout en écoutant également le chef maugréer.

- Mais que fout le MI5 ?

C'est ce qu'il entendit dans l'oreillette et il posa évidemment la question au ministre et à ses subordonnées. 

- Quelles sont les actions du MI5 ?

La question était posée et M allait pouvoir sûrement se calmer un peu vu que selon Tanner, le MI5 devait déjà être sur le terrain en pleine action. Contre ces terroristes, ils avaient intérêt à mobiliser le plus d'énergie possible. Tanner était assis confortablement mais n'entendait plus un bruit dans son oreillette puis soudainement d'autres voix lointaines et inquiètes, un bruit de circulation routière.

- M ? Vous m'entendez ?

Aucune réponse et l'angoisse commençait maintenant à tirer les traits de Bill Tanner. C'était la première fois que M était aussi silencieux et il n'avait même pas prévenu. Que s'était-il passé ?

***
M sortit de son appartement et ferma la porte à clé avec énergie tout en tenant son téléphone dans une main pour souffler ses indications à Tanner. Il sentit la pluie froide tomber sur son visage à cette heure et décida d'aller chercher sa voiture qui était garée en face. 
M s'approcha de la portière et constata qu'elle était fermée comme toujours. Il chercha ses clés dans sa poche et remarqua qu'il saignait du pouce, il venait de se couper en se demandant pourquoi...
Ce n'était rien comparé à Silva, au Roi Sombre, a ces russes ou bien encore aux autres...

- Mais que fout le MI5 ?

Alors qu'il venait d'aboyer dans l'oreillette, il se sentit lourd. Il porta la main à sa poitrine et ne sentit plus rien qu'une douleur déchirante. Son cœur s'était arrêté de battre et sa vision commençait à devenir flou. Il s'écroula sur le sol et quelques curieux le remarquèrent, se dépêchèrent d'appeler des secours ou de pratiquer les gestes de premier secours sur le corps du vieil homme.
Quelques minutes plus tard, une ambulance arriva et transportait l'homme inanimé dont le cœur repartait doucement mais qui venait de frôler la mort. Une attaque cardiaque dû au stress et à l'angoisse, ce serait le bilan porté par les médecins...
Un bilan fatal pour un homme avec autant de responsabilités...
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MessageSujet: Re: Opération terreur nocturne Opération terreur nocturne I_icon_minitimeMar 10 Déc - 21:53

Le commandant, pas fier de ce qu'il a fait lui et ses hommes, demanda a ses compagnons d ranger correctement les corps. Ses hommes prirent les cadavres et les allongea en ligne, sur le dos les mains sur le ventre. Pendant ce temps Zukrov alla voir si tout se passait bien avec les otages, leurs rappelant de bien surveillé Bishop. Il reparti ensuite communiqué avec les sniper sur les toit pour savoir ce qu'il se passait dehors.

Zukrov- Ici "père", Qu'est-c qu'il se passe dehors ?

Snipers- Ici Vlad 1, L'armée a débarquer, nous ne sommes pas encore repéré. Ils entourent la zone et nous sommes près a abattre n'importe quelle cible. Les média sont là également.

Zukrov- bien reçut restez en alerte et ne tirez pas avant mon ordre.

Après ça il communique au reste des hommes dans l’aéroport de tous surveiller les point d'accès du bâtiment ce qu'il firent immédiatement. Le commandant marmonna en russe et en parlant de son général. " Il est temps maintenant pour toi de payer pour tes crimes vieux fous..." Il prit un petit bout de papier et écrit dessus comme si c'était quelqu'un entrain de mourrir " C'est AleXieV malTrOvit...". Il posa maintenant le bout de papier sur la main de l'un des morts. Un haut gradé de l'armée britannique il semblerais. Le commandant alla maintenant et encore une fois dans la salle où se trouvait bishop avec les otages en disant à ses hommes en russe. " Prenez-le il ira dans l'avion avec nous, on aura besoin d lui pour ce qu'il y a a faire au général, il nous aidera, et l'armée nous mets en quarantaine, amenez le près des terminaux.". Puis ses hommes pris Bishop par les bras et l'emmenant a l'endroit prévus, le commandant les suivais, puis arrivé près des terminaux, loin de l'entrée de l'aeroport de plus, il parla a Bishop avec un anglais assez correct mais avec un accent. " Croyez moi monsieur Bishop, je regrette ce qu'il s'est passé, et pour vous venger vous aurez l'honneur de tuer le responsable, vous venez avec nous dans l'avion. ça ne me ravis vraiment pas d'avoir fait ça.". Une heure après les corps avaient été bien rangés, les mères avec leurs enfants si possible etc...

Les snipers se tenirent prêt, les soldat bien plaqués et derrière ds bariccades ou des bureau visant les entrées pendant que quelques uns surveillèrent encore un peu partout dans l'aeroport. l'avions devant ramené tout le monde avait le moteur coupé pour pas qu'on le repère et qu'il soit neutralisé. Ensuite des soldat ramenèrent le reste des otages près des terminaux. Sandro Bocceli arriva avec eux, il parait qu'il voulait parler au chef... deux hommes amenèrent celui-ci vers Zukrov en le tenant bien pour qu'il ne réplique contre personne.

ZUkrov en riant un peu commença a parler en anglais approximatif- Alors comme ça vous voulez me parler ? On en reparlera sur la route là je suis pressé hahaha

Zukrov se confiant a Bishop discrêtement- Croyez moi, je regrette ça. Bien que les gens penserons le contraire, je veux que vous le sachiez. Aucun mal ne vous sera fait a vous et aux otages.

Le NSG était a la base révolutionnaire. Mais leur chef était fous et très cruel. Si les soldat n'avaient pas l'opération, leur chef le saurait et les exécuterais sans scrupule.


Dernière édition par Nikolaï Zukrov le Jeu 12 Déc - 19:21, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Opération terreur nocturne Opération terreur nocturne I_icon_minitimeMer 11 Déc - 10:33

Voilà que le Président de la République en personne s'y mettait ! Bishop s'était attendu à entendre la voix de l'un de ses collègues, dans son oreillette (au mieux, celle de Mathis), mais certainement pas celle du chef de l'Etat ! Lucien ne comprenait pas réellement l'intérêt d'une telle intervention. Les inquiétudes de Donnati étaient justifiées, certes. Mais l'espion connaissait son métier et il n'avait pas besoin qu'un politicien vienne lui rappeler ce qu'il avait à faire ! C'était Bishop l'homme de terrain, c'était lui qui avait actuellement une arme braquée sur sa tête, des menottes aux poignées et qui était en train de risquer sa vie. Et chaque minute qui passait, chaque seconde écoulée, il n'oubliait pas ce qu'il avait à faire : sauver la vie de ces otages. Cependant, il se considérait comme seul juge du comportement à adopter dans une telle situation. Si à un moment donné, il avait l'opportunité de retourner la situation et de prendre un quelconque avantage, alors il n'hésiterait pas !

Lucien savait éperdument que, même s'il s'était retrouvé dans cette situation par le plus grand des hasards, la valeur de sa vie comparée à celle des otages n'était rien. Du moins à ses yeux. C'est pourquoi il espérait qu'en aucun cas Donnati ne négocierait pour sa propre libération. Il aurait bien voulu donner son avis au Président, mais dans l'état actuelle des choses, il ne pouvait pas. D'ailleurs, lorsqu'il vit un soldat entrer dans la salle de contrôle, les chances de sauvetage de l'agent secret s'écroulèrent rapidement. Bishop cru reconnaître la carrure du chef des opérations, mais il n'en était pas certains. Ses soupçons se confirmèrent lorsqu'il donna des directives aux gardes qui surveillaient les otages.

En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, Lucien se retrouva une nouvelle fois escorté par deux gardes, suivis de près par le chef terroriste. L'espion avait tenté de se débattre, mais il avait fini par se résoudre à l'inutilité de cette tentative. Il déambulait dans les couloirs de l'aéroport et, même s'il était en présence de moins de gardes, toute l'intention était concentrée sur lui ; d'autant plus qu'il était connu comme étant un agent des services secrets français. Le groupe passa une nouvelle fois dans la salle centrale, celle où Bishop s'était entretenu quelques instants auparavant avec le terroriste qui fermait la marche. Les cadavres avaient été alignés, rendant la scène moins horrible qu'elle ne l'avait été quelques heures plus tôt. Cependant, cette mise en scène ne retirait rien à l'atrocité du massacre qui avait eu lieu. Les trois soldats et l'otage finirent leur trajet dans un terminal. Décidément, les soldats envisageaient un départ proche. Lucien, qui depuis cette prise d'otage, s'était enfermé dans un comportement buté, décida de rompre le silence. Il devait en apprendre le plus possible sur ce groupe de tueurs afin de savoir qui ils étaient et quel était leur réel objectif :

- Quoi ? Nous partons déjà ? Fit-il d'un ton ironique.

- Croyez moi monsieur Bishop, je regrette ce qu'il s'est passé, et pour vous venger vous aurez l'honneur de tuer le responsable, vous venez avec nous dans l'avion. ça ne me ravis vraiment pas d'avoir fait ça.

Donc cet homme ne serait pas responsable de tout ça ?! L'espion se demandait ce qui était le pire entre commanditer un tel acte, et le commettre. Le soldat semblait se laver les mains des crimes qu'il venait de réaliser, sous prétexte qu'il se contentait de suivre les ordres... Il y a quelques heures, il avait effectué sa tâche comme s'il s'agissait d'un vulgaire travail, que tout le monde faisait ou devait faire. Ça n'avait pas semblé le gêner, et voilà que maintenant il parlait de regrets et de culpabilité ! Bishop aura l'honneur de tuer le responsable ? Mais ce soldat était justement responsable de ces actes odieux ! Avant que Lucien n'ait pu lui répliquer ce qu'il pensait avec mépris, la chef des opérations lui avait tourné le dos et s'en était allé vaquer à d'autres occupations.

Pendant près d'une heure, Bishop fut donc isolé des autres otages, sous la surveillance de deux gardes. C'était justement une opportunité pour agir. Lucien devait attendre le bon moment pour frapper et pour se débarrasser des deux soldats. Malheureusement, l'occasion ne se présenta à aucun moment. Menotté, Lucien était entravé dans ses mouvements et il se voyait mal mettre à terre deux soldats préparés et entraînés pour cette mission. Il tenta d'entamer la conversation avec eux, afin de récupérer des informations, mais leur seule réponse fut un coup de crosse. Décidément, l'agent français était bel et bien pieds et points liés.Sa seul occupation fut, en fin de compte, l'écoute des divers sons émis par son oreillette, allant de questions inutiles aux rapports de ce qui se passait aux portes de l'aéroport. Mais rien de tout ça ne fut bien concluant et l'ancien journaliste n'appris d'informations supplémentaires sur les revendications de ce groupe terroriste.

Finalement, les autres otages furent peu à peu regroupés dans le terminale, sous escorte russe. À l'arrivée du chef terroriste - Bishop s'était familiarisé avec sa carrure, maintenant - , Lucien se leva. Son interlocuteur fonça droit vers lui, d'un pas vif et décidé, et lui glissa à l'oreille :

- Croyez moi, je regrette ça. Bien que les gens penserons le contraire, je veux que vous le sachiez. Aucun mal ne vous sera fait a vous et aux otages.

Cet homme paraissait vraiment chercher le repentir. Mais cela paraissait un peu gros aux yeux de l'ancien journaliste. Voulait-il à se convaincre que ce qu'il venait de commettre n'était pas aussi monstrueux qu'il n'y paraissait ? Enfin, l'agent secret avait du mal à croire aux dernières paroles du terroriste, même s'il espérait y entendre la vérité. Bishop devait reconnaître qu'à sa connaissance, depuis l'attaque au gaz sarin, aucun otage n'avait été malmené.

Tous les otages et la plupart des terroristes se tenaient dans ce terminal. Maintenant, Lucien pouvait tenter quelque chose ! C'était risqué et il ne savait pas vraiment si son action rapporterait plus qu'elle ne coûterait. À l'instant même où il passait à l'acte, les paroles de Donnati lui revenaient à l'esprit : "Arrangez-vous pour qu'aucun otage ne meurt. Si votre intervention risque de coûter la vie à tous les otages, abstenez vous.". Pourvu que tout se passe bien...

L'avantage de Lucien résidait dans ce qui le distinguait de tous les autres otages. Pas seulement le fait qu'il soit agent secret et, par conséquent, un soldat entraîné à faire face aux situations les plus délicates. Non, principalement le fait qu'il était menotté. L'excès de méfiance de la part de ces militaires allait leur coûter cher. Alors que le chef des terroristes tournait une fois de plus le dos à Bishop, l'espion leva ses mains d'un geste vif et précis, avant de les rabattre devant le soldat et de tirer fort en arrière. Ainsi, la chaîne des menottes étranglait le militaire. L'agent secret serrait fort, sans pour autant vouloir achever sa victime. Alors que toutes les armes se braquaient dans une seule et même direction (la tête de Lucien), celui-ci glissa à l'oreille du soldat :

- J'espère que vous êtes aussi intelligent que vous en avez l'air ! Je sais que les preneurs d'otage n'ont que peu d'état d'âme pour le sort de ceux qui se font prendre, et que vos hommes n'hésiteront pas à nous tirer dessus. Mais si vous mourez, et je ne doute pas que vous soyez prêt à le faire, si vous mourez, alors votre initiative n'aura plus de chef à son bord. Ce qui rendra votre fuite bien plus difficile. Enfin, plutôt leur fuite.

Lucien savait que tout ce qu'il disait était entendu par la DGSE. Il espérait ainsi pouvoir communiquer le plus d'informations possibles. En l'occurrence, préciser que les terroristes étaient sur le point de fuir. Bishop aurait bien donné le moyen de transport, mais rien n'indiquait avec certitude que cela se ferait par avion. Les soldats sachant qu'il était espion, auraient très bien pu l'induire en erreur en lui faisait croire ce qu'il voulait croire. Quoi de plus logique que de fuir aéroport au bord d'un avion, après tout ?

L'agent secret n'avait pas relâché sa prise sur le militaire. Les autres terroristes avaient toujours leurs armes braquées sur lui, attendant certainement un ordre de l'homme qui, à son tour, était pris en otage. Lucien serait bien parti dans un long monologue pour justifier sa pensée, prétextant qu'une telle opération nécessitait un chef de talent et que, pour le coup, ce soldat semblait irremplaçable pour conduire un tel projet. Mais il n'avait pas le temps pour cela. Il devait rester concentré sur ce qui se passait, parer à toute éventualité, et ce n'était pas en racontant son point de vue qu'il y parviendrait. Afin de justifier son propre acte, il ajouta :

- Vous relâchez immédiatement tous les otages, et, une fois qu'ils seront en sécurité (et en bonne santé), je garantis de me rendre, laissant la vie sauve à votre chef ! Dans le cas contraire... Nous serons tous perdant. C'est à vous de voir !Si vous avez réellement besoin de moi, alors vous avez tout intérêt à coopérer !
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MessageSujet: Re: Opération terreur nocturne Opération terreur nocturne I_icon_minitimeDim 22 Déc - 12:36

Tous les otages des terroristes russes avaient été regroupés dans la salle de contrôle et de Sécurité de l'aéroport juste après le massacre dans le hall. Plusieurs soldats armés les surveillaient, les otages n'avaient plus que en eux l'espoir de sortir de ce traquenard vivant. Pendant que les gouvernements anglais et français s'inquiètent et préparent des négociations, le jeune compositeur allemand avait peur. Peur de mourir, quelque chose d'assez banal à première vue mais qui prend sens dans ce genre de situation. Il tremblait et essayait de dissimuler sa frayeur face aux autres otages mais impossible. Jonathan tourna la tête et observa l'homme assis à côté de lui, cet homme n'avait pas l'air d'avoir peur (comme si des moments comme ça lui était habituel). Il n'avait pas peur on dirait de ces russes, ces salopards, ces meurtriers ! Il se tenait droit, en plein dans ses pensés (comme si il préparait un mauvais coup...). 


L'un des soldats russe reçut un message de son oreille et se tourna vers Jonathan et l'inconnu à côté de lui. Le jeune homme avait peur d'avoir fait quelque chose de mal mais il n'en était rien. Deux soldats russe firent lever l'homme à côté de Frobisher et le fouillèrent, ils trouvèrent son porte-feuille, revolver, etc... Jona fut très surpris, ce type avait une arme ! Mais qui est-ce ? Pourquoi n'a t-il rien tenté depuis le début, qu'attendait t-il nom de dieu !?! Les terroristes emmenèrent avec eux l'homme au revolver puis plus... Le temps passait de plus en plus lentement pour les otages aucun moyen de contester, ou d'essayer de se libérer. Les russes étaient bien trop nombreux. 


Au bout d'un moment, les russe ramenèrent leur prisonnier particulier dans la salle détenant les otages dont Frobisher. Jona n'osa dire un mot à l'homme revenu vivant parmi les otages. Était-ce un mercenaire, criminel ou un agent secret ! Jonathan n'en savait absolument rien. Après plusieurs dizaines de minutes d'attente, personne pour nous sauver encore et toujours otage des terroristes... C'est alors que quelques soldats emmenèrent encore une fois avec eux l'otage particulier. Puis quelques minutes après, tous les otages furent conduits près des terminaux où quelques soldats russes se trouvaient déjà dont leurs chef se tenant à côté de l'homme mystérieux ayant on dirait de l'importance pour ces russes. 


Il semblerait que les terroristes avaient prévu de quitter l'aéroport déjà, mais avec les otages ou pas ??? La tension montait pour les otages mais aussi pour les russes, la zone venait d'être encerclée par l'armée britannique. Le gouvernement anglais va entamer les négociations peut-être mais que va t-il se passer alors ? Jonathan ferma les yeux et pria pour que dieu intervienne dans ce moment de malheur. Quand t-il ouvrit les yeux, il observa Bishop et le vit prendre avec ses menottes le chef terroristes russe. Les otages dont le jeune compositeur ne savait plus quoi faire, agir ou attendre que faire. Pendant que Lucien tient en otage à son tour le russe et que les soldats russes braquèrent leurs armes sur l'agent tenant fermement son otage puis prit la parole :

 - J'espère que vous êtes aussi intelligent que vous en avez l'air ! Je sais que les preneurs d'otage n'ont que peu d'état d'âme pour le sort de ceux qui se font prendre, et que vos hommes n'hésiteront pas à nous tirer dessus. Mais si vous mourez, et je ne doute pas que vous soyez prêt à le faire, si vous mourez, alors votre initiative n'aura plus de chef à son bord. Ce qui rendra votre fuite bien plus difficile. Enfin, plutôt leur fuite. 


Quel courage, cet homme était donc du bon côté. Ce devait être un agent secret ou un militaire prêt à risquer sa vie pour son prochain. Jonathan avait toujours été impressionné par ce genre d'individu. Pour ces hommes ayant pour seule volonté leurs valeurs faisant à tout moment preuve d'audace, d'ardeur, de bravoure et de cran face à l'ennemi sans pitié. Frobisher savait qu'avec un homme comme ça, les otages ici présent n'étaient pas prêt de mourir. Ce type, qui que ce soit aller sauver tout le monde, c'est certain.


- Vous relâchez immédiatement tous les otages, et, une fois qu'ils seront en sécurité (et en bonne santé), je garantis de me rendre, laissant la vie sauve à votre chef ! Dans le cas contraire... Nous serons tous perdant. C'est à vous de voir !Si vous avez réellement besoin de moi, alors vous avez tout intérêt à coopérer ! 


[Voili voilà, ce serait intéressant d'avoir l'avis de monsieur Bocceli, je pense du côté otage Smile Sinon je post avec Lawliet d'ici ce soir hé hé Very Happy ]
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Sir Edan Lawliet
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MessageSujet: Re: Opération terreur nocturne Opération terreur nocturne I_icon_minitimeMar 24 Déc - 17:32

Ambassade de Russie, Londres


L'ambassadeur et le Secrétaire d'Etat se regardaient pendant plusieurs seconde suite à la dernière déclaration d'Arthur Ganate. L'ambassadeur russe ouvrit alors un tiroir avec plusieurs dossiers d'organisations terroristes russe extrêmement surveiller par le gouvernement, comme l'armé des Oublié ou encore le N.S.G...


- J'accepte de vous apporter mon aide, mais ce sera la dernière fois et nous voudrons avoir des résultats en retour sur notre marché concernant le Dr. Moscovitch. Voyons voir.... D'après vos photos, malgré leurs mauvaise qualité l'on peut reconnaître l'habit militaire russe soviétique. 
Je pense donc grâce à ce détail que nous avons à faire au N.S.G, Novogo sovetskogo gosudarstva - Nouvel Etat soviétique. 
Ce groupe terroriste a pour objectif de rétablir le régime communiste en Russie, et dans le monde entier ensuite... Leur chef est appelé Alexiev Maltrovit, ce terroriste est rechercher par Interpol et les services secret russe depuis plusieurs années mais aucune trace de lui. Nous connaissons aussi dans nos fichiers un individu soupçonner pour avoir commis des actes terroristes, dont des meurtres, manipulations, etc... Le Commandant Nikolaï Zukrov, il a le profil d'un homme pouvant faire partie de cette organisation terroriste extrémiste. J'espère que vous avez toute les informations que vous voulez maintenant monsieur Ganate.


Le Secrétaire d'Etat Arthur Ganate remercia l'ambassadeur et lui promis que la Défense (ministère) ferrait en sorte de remplir le contrat fait avec le MI6 et le gouvernement russe. Maintenant Arthur n'avait plus qu'à retourner faire son rapport au Premier Ministre. Maintenant nous savons, espérons le, qui est notre ennemis....

____________________________________

10 Downing Street,


Le Premier Ministre se trouvait dans son bureau avec au téléphone le Président de la République Française. Celui-ci voulait savoir comment aller agir les anglais lors de cette attentat comme l'un des agents secret de la DGSE se trouve otage du N.S.G. Lawliet n'aimait pas ce nouveau président, Edan avait fait l'armé et avait une pensé de nationaliste et conservateur à la fois. Il n'aimait pas ce type, aux belles paroles par devant et par derrière prêt à vous faire la guerre. Des vrai raclures ce genre de types... Mais le Premier Ministre devait faire avec, c'était l'un de ses devoirs en tant que chef d'état. 


- Président Donnati, nous avons prévus de mettre en place des fausse négociations pour laisser le temps aux forces du MI5 de se préparent à intervenir. Je vous rappel que l'on ne sait pas si oui ou non les otages sont vivants ou morts à l'heure qu'il est, et l'Angleterre ne négocie pas avec les terroristes comme votre nation, non ? Ne vous en faite pas, je ferais, moi et mon gouvernement tout ce qu'il est en notre pouvoir de faire pour régler la situation. Concernant votre agent, je ne m'inquiète pas pour lui, si il est un très bon agent comme vous le dites. Il s'en sortira et, peut être, nous aidera à sauver les otages et arrêter ces terroristes. 
Pour cette industriel de Bocelli, je n'ai aucun droit et aucune raison particulière de l’interroger pour le moment. Après si nous l'interrogeons sans motif valable, je suis sur que ses avocats se tiennent déjà prêt pour un procès si on secoue leur patron juste un peu... 
Sinon l'aide de vos navires ne serait pas utile pour cette affaire je pense... J'aimerais plutôt qu'une patrouille de vos avions mirage se tiennent prêt à décoller à tout moment. N'oublions pas que ces terroristes sont dans un aéroport, ils pourraient très bien partir avec un avion. Et nous avons beaucoup de chose à faire ici, sur les lieux de l'attentat, je ne sais si l'on aura le temps de préparé un troupe aérienne d'ici peu de temps. Toute les troupes militaires de la capital sont presque tous sur la zone entourant l'aéroport. Si vous faite cela, vous rendez un grand service à ma nation et à ses concitoyens Président Donnati.


Suite à la réponse du Président Donnati, le Premier Ministre conclut la discutions et se redirigea vers la salle de réunion. Le Secrétaire d'Etat des affaire étrangère et du Commonwealth venait d'arriver. Lawliet se réinstalla sur son  siège prêt à découvrir les nouvelles informations. Ganate fit prendre connaissance aux membres du gouvernement l'identité des terroristes, c'était le groupe terroriste extrémiste du Nouvel Etat Soviétique qui sont les auteurs de cette attentat d'après l'ambassade de russe se basant sur les photos de caméras de surveillance de quelques uns de ces terroristes. Puis l'agent Tanner posa une question que Lawliet savait qu'M devait se poser.


- Quelles sont les actions du MI5 ?



- Le MI5, je suis en contact direct avec leur directeur depuis plusieurs minutes. Ils ont déjà prévus une intervention au cas où le négocia...


- M ? Vous m'entendez ? Il y a un problème, M a dû avoir un malaise. Je dois aller le rejoindre, excuser moi. Le MI6 n'a pas une grande importance dans cette affaire comparé au MI5, je vous redonne des nouvelles d'M dés que je l'aurais trouver. 


Ce vieux M est déjà en mauvais point... Cela attrista Lawliet, son vieux compagnons de la guerre n'avait plus une santé impeccable. Le Premier Ministre ne prononça plus un mot à l'agent Tanner et lui fit un signe donnant la permission de s'en aller, il nota ensuite sur une feuille quelques instructions qu'il donnera à Duncan Hurt, le Secrétaire d'Etat à la Défense.


Sir Miles Messervy, retraite anticipé prévus ordonner.
Barbara Mawdsley, promotion à prévoir. 
 
Ce vieux M n'était plus un soldat comme avant, il était temps pour lui de prendre du repos, sinon son travail et ses responsabilités finiront par le tuer...


                               ____________________________________


Zone sous contrôle autour de l'Aéroport,


L'armée était prête à intervenir et le MI5 déjà sur le lieu de leur surprise, mais les fausses négociations n'ont toujours pas commencer. Le Secrétaire d'Etat à l'Intérieur avait eu l'idée d'appeler l'un des numéros de portable d'une des personnes présente dans l'aéroport pour pouvoir gagner du temps en négociant un arrangement avec les terroristes. Le négociateur, Nick McDagg était fin prêt à mettre en oeuvre ses talents de négociateur britannique mais le pauvre ne savait pas dans quel situation se trouvait les otages et les terroristes à ce moment précis.

C'est prêt des terminaux, alors que Lucien négocie une libération des otages en tenant bien fermement Nikolaï que le téléphone d'un des otages sonna. Le téléphone du jeune compositeur allemand Jonathan Frobisher ! Comment allait réagir les russes ?! Bishop !? Frobisher ?!? Enfin espérons que l'opération de sauvetage du MI5 se passera comme prévus... 

[Désolé du retard Zuzu ^^ Mais voici un jolie post pour vous Smile]
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MessageSujet: Re: Opération terreur nocturne Opération terreur nocturne I_icon_minitimeSam 28 Déc - 15:34

-Zukrov en riant un peu commença à parler en anglais approximatif - Alors comme ça vous voulez me parler ? On en reparlera sur la route la je suis pressé  hahaha.


-Je suis Américain mon pauvre ami, murmura Sandro, et je crois que j'ai gardé ce que la plus part des Américains ont sur eux ou chez eux. Sur ces mots murmurés au chef Russe, Sandro dégaina d'une de ses poches intérieur de manteau un Beretta 92 10 qu'il garda dans sa manche gauche plaçant sa main droite sur l'épaule droite du Russe. Maintenant retirons nous de ces autres personnes, dans une autre pièce, un mot sur mon arme et je tire sans hésiter. La chance à tournée non ?


Sur ses paroles dignes ou non d'un héros de fiction, Sandro appuya sur l'épaule du Russe afin de le faire tourner dans une autre direction que celle de ses soldats. Alors sans aucuns bruits dérangeants qui risqueraient sans nul doute de le faire repérer, Sandro ouvra un porte assez petite puis, il y fit entrer le Russe. Alors tout en rentrant avec lui, il referma la porte sans aucuns bruits toujours. Puis il poussa le Russe sur les serpillières, balais, sacs et chiffons présents dans la toute petite pièces qui semblait être un placard à balais.

-Faisons rapide, tu me fait sortir discrètement ou je te tue tout simplement. Maintenant suivons les autres comme-ci rien ne s'était passé. Et rejoignons vos soldats.


Alors ils rejoignirent rapidement le groupe d'otages qui étaient avec les soldats qui eux étaient sur leurs gardes. Alors les soldats firent signes de tous rentrer dans la salle de contrôle et de sécurité de l'aéroport. Sandro s'assit à coté d'un jeune homme qui était lui même assis à coté d'un homme barbu. Celui-ci prit alors la parole d'une voix héroïque. Il prit la parole pour dire plein de blabla comme s'il était l'homme de la situation. Alors Sandro, lui parla en français d'un ton serin mais quelque peu nonchalant : 


-Vous croyez nous sauver en parlant à ces bêtes de foires armés jusqu'au dents, puis il continua en passant sa tête derrière le jeune homme, j'ai parlé au chef russe, avec ce que je lui ait dit j'espère qu'il me fera sortir de ce trou à rats.


Il se remit dans sa position initiale fixant Zukrov de ses deux yeux. Il esquissa un sourire quand le Russe le regarda. Allais-t-il le libérer après ce qu'il se passa. Est-ce-qu'il avait remarqué que Sandro était en position défavorable pour tuer le Russe ? 
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MessageSujet: Re: Opération terreur nocturne Opération terreur nocturne I_icon_minitimeMer 8 Jan - 1:48

Au premier propos Donnati se sentit légèrement piqué au combiné, lui qui était venu prêter main forte de bonne volonté. Voilà que le conservatisme de Nottingham sous-entendait des reproches à ce système français d'un autre âge, parce qu'il s'inquiétait tant du sort des otages quils négociaient avec les terroristes autrement qu'avec des bêtes, ou faisait mine de négocier avec. En la matière les méthodes françaises n'étaient pas à plaindre, puisque c'étaient eux qui d'un avis commun maniaient mieux l'espionnage et la démocratie, tant ils s'intégraient et fondaient bien dans les coutumes locales. Surtout que l'année passée le MI6 semblait piétiner tandis que les excellents éléments de la DGSE étaient dans leur pleine activité... si on exceptait cette rumeur sur les agents Double O. Bref, ce n'était après tout qu'une divergence culturelle.

- Oui, pas de problème là dessus. Quand je dis négocier bien sûr je ne vus dis pas de céder à leurs conditions, seulement de les occuper, retarder, faire perdre confiance... la routine quoi. Cependant je vous déconseille fortement de risquer la vie d'autres ressortissants que les vôtres autrement qu'au dernier moment.


Les deux années précédentes, la France avait elle même était entrée dans une phase offensive assez agressive, avec des opérations contre les preneurs d'otages qui avaient conduit à leur exécution mais à la mort de nombreux terroristes parallèlement, une en Mauritanie et une en Somalie (AUTHENTIQUE). Le public pleurait, mais dans les hautes sphères on leur cachait qu'on préférait ça, si toutes les prises d'otages foiraient et que les terroristes se faisaient déglinguer à chaque coup, le business n'irait pas loin, il fallait être logique.

-Concernant votre agent, je ne m'inquiète pas pour lui, si il est un très bon agent comme vous le dites. Il s'en sortira et, peut être, nous aidera à sauver les otages et arrêter ces terroristes. 
Pour cette industriel de Bocelli, je n'ai aucun droit et aucune raison particulière de l’interroger pour le moment. Après si nous l'interrogeons sans motif valable, je suis sur que ses avocats se tiennent déjà prêt pour un procès si on secoue leur patron juste un peu... "

- " J'approuve ce que vous dites (what you're saying) Sir Edan, mais mon agent a été probablement maitrisé désarmé si l'on se fie aux renseignements de la DGSE qui a un moyen de localisation radar sur lui. Nous ne sommes pas dans un roman d'espionnage, il s'en tirera s'il est bon diplomate je crains. Je voudrais dire que s'il y a un choix entre lui et tout autre otage, que par exemple supposons que vous êtes en droit de choisir quelques otages que l'ennemi vous enverra comme cela se fait parfois, je ne veux pas paraitre obligeant, mais je vous demanderais la faveur d'être préférentiel envers mon agent. Pas par orgueil, mais chaque espion est une arme de l'état en plus d'un être humain, les votre comme les miens, alors si l'occasion me vient de faire pareil bien sûr je le ferais. C'est à peu près tout, je vous laisse la stratégie en main.
Bocceli, si vous le secourez, vous devra des lauriers. Mais il est tout de même mystérieux qu'il se trouve ici à tel moment, à croire qu'il fait partie d'otages visés. Peut être l'es terroristes ont-il conscience de son importance dans des négociations. En tout cas c'est un brésilien et il sait manier la gâchette et le courage mieux qu'un américain, c'est tout ce qui est sûr. Ne le perdez pas de vue je pense, il en sait peut être plus qu'il ne parait.
Pour le reste, si l'un de nous est responsable de la mort de ressortissants étrangers, nous avons des gouvernement américains, sud-américains, canadiens, irlandais et autres qui risquent de nous tomber dessus, et ça ne rigolera pas, encore moins les familles des victimes qui voudront se faire entendre. "

Puis Lawliet lui parla d'avions et de navire. Il fallait se mettre au courant en continu pour cela, ainsi Donnati du t-il attendre les informations du ministre de la défense, du général en chef et du chef de l'amirauté. C'était étrange de se sentir pour la première fois chef des armées, au commande de tout, il suffisait de savoir si c'était possible. Il attendit de ravoir son confrère anglais pour la suite :

" Nous venons de lancer des mirages. Ils silloneront secrètement les cieux en altitude aux alentours de Londre, en attendant qu'il se passe quelque chose. Dans une heure à deux heures ils devraient etre non lin de votre côte. Je doute que l'ennemi s'échappe par voie aérienne facilement, mais s'il y arrive dans peu de temps votre aviation arrivera trop tard. Peut être pourrons nous alors leur couper la route s'ils filent vers le nord, ou la Baltique. En cas d'accident, je me permets tout de même d'envoyer deux navires partir de Nantes et deux de Calais, qui circuleront dans la Manche et la Baltique. Comme cela en cas de sinistre, nous augmenterons un peu vos chances de trouver avec vos vaisseaux une épave ou secourir des survivants, c'est risible mais c'est notre devoir d'essayer...
Bonne chance, notre pays est à vos côté.
"

C'était fait. Maintenant se concentrer sur- la suite, en espérant que Bishop ne faisait pas de bêtise. Pour cela, sans trop le connaitre Donnati avait un mauvais pressentiment. Les services lui indiquaient que ce Bishop était très aventureux et qu'il n'aimait pas faire dans la diplomatie. On verrai. Campé à la suie, il commanda un bol de thé accompagné de café, rien ne servait de se stresser davantage.

 

[ // PS: milles excuses pour mon fichu retard Zukrov, :(chaque fois que j'ai la connexion elle s'échappe aussitôt, j'ai prit 3 heures pour faire cette réponse. J'espère qu'elle convient ]
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MessageSujet: Re: Opération terreur nocturne Opération terreur nocturne I_icon_minitimeMer 15 Jan - 18:49

Apparemment, l'homme qui voulait parler au Commandant était aussi armé. Et menaçait presque Zukrov ? voilà un individu qui ferais pas long feu... Après une courte discutions entre l'américain et le Commandant, ils se retirèrent vers un endroit plus isolé, pendant que les otages restèrent avec les soldats. L'homme poussa Zukrov dans le fond d'un placard a balais avant de le rejoindre et le menaçant de son pistolet.

Bocceli: 

-Faisons rapide, tu me fait sortir discrètement ou je te tue tout simplement. Maintenant suivons les autres comme-ci rien ne s'était passé. Et rejoignons vos soldats.


Zukrov se mis a rire, un bon rire qui viens du fond de la gorge avec un beau sourire.

Zukrov: Hahahaha mon pauvre ami...

Le commandant lui pris le bras rapidement et le fit tourner pour plaquer Bocceli au mur avant dans le faire revenir face a lui et lui coller une bonne droite. Un gnon de quoi assommé n'importe qui. provenant d'un commando...il ne fallait pas jouer a ce jeu avec ce genre de personne.

Zukrov: Je te propose autre chose mon bonhomme... Tu reste avec nous et je ne te tue pas... Rassure toi, tout vas bien se passer..

Sur ce il emmena Sandro j'usqu'au autres otages comme si de rien était. Pendant ce temps les snipers restaient en place un moment, mais rien de nouveau se produit, l'avion allait bientôt décollé et les sniper se préparaient a évacuer du toit. Ils s'attachèrent avec des cordes et des sangles et communiquèrent leur retraits aux autres unités avant de descendre en rappel très discrètement de leurs bâtiments avec leur matos dans un sac pour ne pas éveiller de soupçon. Seul les parachutes utilisés étaient restés sur le toit. Évitant les forces de l'ordres ils passèrent dans le métro empreinter le même chemin que ceux qui avaient poser les explosifs pour rejoindre le reste des russes.


A peine revenue d'une discutions musclée, Zukrov se fit prendre par derrière (pas d'allusions bande de cochon Very Happy ) Et se fit tiré par des menottes qui l’étranglaient. Ce fut l'espion français. Toutes les armes furent braquées sur lui.

Bishop: - J'espère que vous êtes aussi intelligent que vous en avez l'air ! Je sais que les preneurs d'otage n'ont que peu d'état d'âme pour le sort de ceux qui se font prendre, et que vos hommes n'hésiteront pas à nous tirer dessus. Mais si vous mourez, et je ne doute pas que vous soyez prêt à le faire, si vous mourez, alors votre initiative n'aura plus de chef à son bord. Ce qui rendra votre fuite bien plus difficile. Enfin, plutôt leur fuite. 


- Vous relâchez immédiatement tous les otages, et, une fois qu'ils seront en sécurité (et en bonne santé), je garantis de me rendre, laissant la vie sauve à votre chef ! Dans le cas contraire... Nous serons tous perdant. C'est à vous de voir !Si vous avez réellement besoin de moi, alors vous avez tout intérêt à coopérer ! 





Après ce petit discoure, et un long silence Zukrov commença a rire légèrement.


Zukrov: "Hahahaha... Tout va bien messieux baissez vos armes..." Puis parla doucement a l'homme qui le tenait. "Personne ne vas repartir...personne mourra et tout le monde y trouvera son compte. Mais a l'avenir ne jouez pas aux héros..."

C'est alors qu'un téléphone sonna, celui de l'un des otages dont un Soldat alla vers lui pour le plaquer au mur en le fouillant et trouva le téléphone qui sonna encore.
Puis le commandant, d'un tour de passe passe, réussi a inverser la situation en se retournant avec les bras de l'spion lui cassant presque le bras mais devait le garder en bonne santé. Il plaqua l'homme au sol, la rangers sur le crane de l'espion alors que Zukrov était debout, dessus pour bien le garder au sol.


Zukrov: " Dites vous bien que si vous recommencez je ne serais pas aussi indulgent.. Tu me prend pour un novice ? une recrue ? un braqueur ?" Puis il regarda le soldat qui avait le téléphone en main. " Donne moi le téléphone.." C'est alors que le soldat lui jeta et le commandant le rattrapa en regardant qui pourrait appeller, mais le numéro était inconnu. Mais il decrocha et mis le téléphone a l'oreille et dit en parlant anglais comme il pouvait. " Allo c'est pourquoi ?"


_____________________________________
Après la conversation au téléphone


Ils se retira de lui et le fit relever. L'avion arriva au terminal au même moment que les snipers arrivèrent pour rejoindre les otages et les soldats. Le commandant fit signe a tout le monde de passer sur la passerelle et accéder a l'avion ce que tout le monde fit. L'orage allait pas tarder a arriver pour éviter les poursuites de chasseurs anglais. L'avion était aménagé pour l’opération et les otages furent emmenés sur des sièges, pas très rustre et plutôt confortables même, et surveillés par des caméras dont les pilotes avaient accès. Tout le monde étaient maintenant dans l'avion et Zukrov y entra en dernière en marchant et pris parole devant tous pendant que le pilote fit progresser l'avion sur la piste.


Zukrov: "Camarades...et mesdames et messieurs... Nous nous envolons Pour atteindre notre base. Aucun mal ne sera fait et aucun mort sera a déploré alors gardez votre calme."


Tout les soldats retirèrent leurs masques. et l'avion continuait de progressé.
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MessageSujet: Re: Opération terreur nocturne Opération terreur nocturne I_icon_minitimeMar 28 Jan - 19:10

Une erreur de débutant, qui avait faillit lui coûter cher. Plusieurs événements s'étaient déroulés au même instant, et Lucien avait eu la stupidité de tenter de tous les suivre. Le téléphone de l'un des otages avait sonné, alourdissant la tension qui pesait déjà dans le terminal. L'un des gardes avait baissé son arme pour fouiller le jeune homme propriétaire du mobile. Au même moment, un autre otage s'était approché de Bishop pour lui tenir un charabia incompréhensible, en français de surcroît ! Alors qu'il était totalement distrait, l'expérimenté chef terroriste en avait profité pour retourner la situation à son avantage et jeter Lucien au sol.

Visiblement, le coup de téléphone provenait des négociateurs. Les pourparlers ne semblaient pas très fructueux, mais avaient probablement sauvé la vie des otages. Cette diversion avait accaparé l'esprit des militaires, détournant leur attention de toute idée de représailles vis-à-vis de l'agent français ou des autres détenus.

Désormais, tous les rescapés de l'aéroport se trouvaient dans un avion, à destination inconnue (probablement la Russie ou un pays frontalier). Bishop, légèrement blessé au coude suite à son altercation avec le preneur d'otages, était désespéré. Il n'avait rien pu faire pour sauver les civils présents dans cet aéroport, et n'avait pas été apte à libérer ne serait-ce qu'un seul des otages. C'était un cuisant échec... Cependant, le chef commando avait une énième fois répété qu'aucun mal ne serait fait aux personnes emmenées de force dans l'avion cargo.

- Qu'attendez-vous de nous ? maugréa Lucien lorsqu'il aperçu le leader terroriste passer non loin de lui.

L'agent secret avait fait attention à ne pas dévoiler son oreillette, maintenant qu'il avait retiré son masque à gaz. Il prit donc soin de ne pas trop tourner la tête, de peur de la révéler à ses ennemis. Le temps passait, et le trajet était étrangement monotone. Les minutes s'écoulait et rares étaient les otages à converser. Un ou deux tentèrent de discuter avec quelques terroristes. Ceux-ci, plus détendus maintenant que le plus gros de l'opération était derrière eux, acceptèrent d'échanger quelques mots. Mais la plupart des otages demeurait terrorisée par les récents événements qu'ils venaient de subir. Lucien, quant à lui, restait dans un silence buté, écoutant les informations provenant de la DGSE. Selon l'agence de renseignements français, ils n'avaient aucune trace de l'avion. Et ce n'était certainement pas Bishop qui pourrait leur communiquer un quelconque indice, étant donné que la seule vue qui s'offrait à lui était celle d'une nuit sombre au dessus d'une mer invisible.

L'espion, qui luttait désespérément contre le sommeil, sursauta vaguement lorsqu'il entendit plusieurs fois son nom dans l'oreillette. Visiblement, la France avait une communication urgente à lui transmettre. Un responsable de la DGSE lui expliqua les faits. Deux Mirages étaient en route dans le but d'intercepter l'avion cargo. Mais la présence d'otages limitait les possibilités d'action. Toutefois, la menace de la force de frappe française pouvait ajouter du poids aux négociations. Au vu de celles qui avaient eu lieu dans l'aéroport et des propos étranges qu'avait tenus Zukrov (car c'était le nom du dirigeant des opérations) , les intermédiaires français auraient peut-être plus de chances que leurs homologues britanniques. Bishop ne voyait aucun inconvénient à ce que ses collègues tentent le coup, au seul détail que l'unique moyen de contacter le chef terroriste était... l'émetteur/récepteur de Lucien. Mais, au point où il en était, il n'avait plus grand chose à perdre...

- Commandant Zukrov ? vociféra-t-il, afin d'être sûr d'être entendu par l'intéressé. C'est pour vous.

En même temps, il se saisit de son oreillette et de son micro afin de les tendre à son interlocuteur. Il n'était pas vraiment optimiste quant aux chances de réussite de ses confrères, mais c'était très probablement leur dernière carte à jouer.
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MessageSujet: Re: Opération terreur nocturne Opération terreur nocturne I_icon_minitimeDim 9 Fév - 13:49

Zonhe sous contrôle autour de l'aéroport,


Tous le quartier entourant l'aéroport était bloqué par les forces militaires anglaises. Quelques hélicoptères volaient aux environs, un soutien aérien peut toujours être utile en cas de fusillade. Mais il n'est pas question de combat pour le moment, les négociations étaient sur le point de commencer. MacDagg, le "Négociateur" avait intérêt à convaincre le commandant Zukrov, sinon les forces du MI5 allaient devoir intervenir dans l'espoir de sauver les otages... Le téléphone d'un des otage *Jonathan Frobisher* sonna dans le terminal sous tension. Le coup de téléphone fut indirectement en faveur de Zukrov, pris en otage par l'agent Bishop, celui-ci profita du moment de la sonnerie inattendue pour renverser la situation. Lucien fut alors une fois de plus, maîtrisé par les soldats Russe. C'est alors qu'une fois la situation sous contrôle pour les terroristes, que Zukorv prit le téléphone portable de Jonathan.  " Allo c'est pourquoi ?"


MacDagg entendit alors la voix forte et sévère du leader russe. Le négociateur allait représenter le gouvernement de l'Angleterre, du Premier Ministre Lawliet. Ces négociations pouvaient le rendre célèbre, ce serait un tournant favorable à sa vie professionnelle. Est-ce le destin qui veut ça de lui... Il n'attendit pas un instant pour entamer les négociations avec le terroriste du NES.
- Bonsoir, je représente les autorités gouvernementales anglaises et je viens pour entamer des négociations avec vous. Nous savons déjà que vous êtes affiliés au groupuscule terroriste du "Nouvel Etat Soviétique" basé en Russie. Vous risquez de lourdes peines après avoir commis un pareil attentat, mais le gouvernement anglais est prêt à vous faire une offre. Libérez les civils et rendez-vous, en échange avec votre entière collaboration vos condamnations seront allégées. Nous voulons tout d'abord la libération concrète de tous les civils étant présents à cette aéroport avant votre intervention. Nous attendons une réponse de vous dans l’immédiat... 


Ces négociations n'avaient pratiquement aucune chance de réussir et Lawliet le savait bien. C'est pour cela que dans le plus grand secret, les forces du MI5 se préparaient à intervenir au sein de l'aéroport pour reprendre le contrôle et sauver les otages. Zukrov n'allait sans doute pas parler de négociation avec le représentant des politiques anglais pendant un long moment... Il avait un plan et voulait l'accomplir le plus vite possible. Un avion venait de rentrer dans le terminal où les terroristes et les otages se trouvaient, il était temps pour eux de partir on dirait... Pendant ce temps là, une équipe d'intervention de 6 agents du MI5 venait de pénétrer dans la zone de danger, l'aéroport ! 


Il arrivèrent jusqu'au Hall, où ils virent les cadavres de civils. Hommes, Femmes, vieillards et enfants ! Les six agents communiquèrent la mauvaise nouvelle aux autorités. La rage était en eux, ces saloperies de communistes venaient de déclarer la guerre à l'Angleterre pour ces six agents secret. Soudainement, ils entendirent le bruit d'un avion sur le point de partir. Ces connards n'allaient pas s'en tirer comme ça ! Les quelques agents rentrèrent dans le terminal, l'avion était en train de décoller à une vingtaine de mètres d'eux. 


Ils n'essayèrent pas de le rattraper. Il était trop tard... Lawliet est pensif... Les conséquences de cet attentat seront terribles, le monde se faisait une proie idéale pour les terroristes. Les Nations allaient devoir se réunir au plus vite.


[Voili voilà pour toi Zukrov Wink]
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MessageSujet: Re: Opération terreur nocturne Opération terreur nocturne I_icon_minitimeMar 11 Mar - 16:58

( Ce Rp est a présent terminé. Les otages et les russes sont en destination d'un coin perdue de la Sibérie. L'appareil volant a assez basse altitude pour pas se faire remarquer les passagers peuvent admirer les deserts de glace par les hublots ! Sur ce la suite des évènements se concluerons dans un prochain rp en Russie ! ) ^^
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