# Identité
Nom: Greene
Prénom: Dominic
Matricule: 47
Âge: 43 Ans (né le 25 octobre 1969)
Sexe: Homme
Faction: Terroriste
# Physique
Dominic est un homme de race blanche, d’un physique à priori peu inquiétant, du haut de son mètre 69 et au milieu de sa musculature de professeur d’informatique. Chétif donc, presque insignifiant. Ses cheveux châtains laissent son front totalement dégagé, sans lui donner d’air ténébreux. Seuls ses yeux noirs constamment grands ouverts, guetteurs et sournois sont inquiétants. Sa voix nasillarde et singulière comme à moitié mangé par sa sortie de la mâchoire mais toujours distincte, vous fait osciller entre la perception d’un homme lambda et celle d’un personnage intérieurement vénéneux. Il est de première vue peu expressif et grimaçant, à la voix ne partant jamais dans le haut volume, et ses sourires sans intensité semblent comme feints ou ironiques. Ce n’est que lors de ses crises de colère que la folie prend toute sa forme.
En société, il arbore un smoking dans lequel on le sent comme mal en raccord, voir drôle, et ses cheveux sont aplatis au gel de manière presque négligente. Dans sa vie privée ou dans des situations peu mondaines, il se laisse aller dans les tenues simples et décontractées, avec un goût particulier pour les chemises hawaïennes, et ses cheveux moyennement entretenus retombent en mèches de façon presque anarchique. Serait-ce un homme cachant difficilement ses difficultés sociales ?
# MentalitéSon extériorisation (langage, gestes, expressions) n’est pas plus menaçante que son physique. Sa voix, malgré sa spécificité, et ses discrets sourires le rendent immédiatement attachants et ne laissent en rien présager sa vraie nature. Il sait être sympathique et diplomate au dialogue. Ce n’est que quand il se sent incompris ou humilié en conversation qu’il part dans la colère. A ces moments, il parle fort, avec haine, et peut tomber dans les insultes, devenant peu convaincant pour les personnages à la personnalité forte, avec son incohérence et sa folie visible. Il cherche constamment à avoir raison et le faire comprendre dans le dialogue, à dominer et faire suivre ses règles. Ne pas s’y plier est le blesser tout autant que susciter son aversion.
D’une manière plus psychanalyste, on peut supposer que Mr. Greene cache en lui de la folie. La colère et la panique le font partir dans l’incohérence et l’erreur, la haine enlève en lui tout remord de la mort d’une personne, et sa mégalomanie et son amoralité sont presque sans limite. Il pourrait même être psychopathe, pouvant tomber dans une violence et un sadisme effrayants, et tuant avec indifférence et presque jouissance, bien qu’il soit rare qu’il tue de ses propres mains (il n’hésite cependant pas quand c’est indispensable). Calculateur et manipulateur, Dominic joue avec chaque personne et action à ses fins, et peut y déployer un grand talent, autant que celui de gérer une entreprise.
En positionnement moral, l’homme d’affaire français ne se révèle pas immoral, mais impitoyablement opportuniste, prêt à tout pour ses intérêts personnels et son ascension, ainsi que ceux des entreprises auxquelles il se voue, quelque soit leur honnêteté –son travail considérable dans le Quantum le prouva. C’est une sorte de mathématicien de la réussite. Le sentiment largement dominant chez lui est bien sûr le narcissisme, uniformément lié à l’égocentrisme : il se voit au centre de toute chose, ne supporte pas la moindre contradiction et accusation, pense constamment à lui et se préoccupe de se satisfaire de toutes sortes bien plus que de ses semblables. Comme s’il était isolé dans sa bulle, ce que son mal être social caché n’aide pas.
La seule preuve d’humanité et de bonté semble être les sacrifices et le travail sincère de Dominic pour son entreprise écolo influente, Planet Corporation, qui lui vaut certains admirateurs. Il est réellement convaincu des bienfaits de l’écologie et inquiet de l’avenir de la planète, et se sent seul dans sa cause. La nature dépourvue de voix semble donc le remporter sur une humanité peu appréciée dans l’esprit de ce misanthrope. L’intelligence du personnage, cependant, ainsi que ses nombreuses réflexions introspectives, malgré ses faiblesses contradictoires, nous mène à la conclusion qu’il n’est pas un méchant entier, en tout cas comme on a l’habitude d’en concevoir.
# HistoireLe grand de la financeDominic Greene nait à la fin des années 1960 à Paris, précisément à Neuilly-sur-Seine. Son père est français d’origine parisienne, et sa mère américaine. C’est elle qui insiste pour conserver la forme américaine de son prénom. Le père est trader estimé dans une des plus grandes sociétés financière française dont nous tairons le nom, la mère ne travaille pas. Dominic sera le seul de leurs enfants avec sa petite sœur, née en 1974, avec qui il entretiendra toujours des rapports complexes et contrastés. Toujours excellent élève de nature, Dominic se prend décidément plus de passion pour les études, la littérature et la culture que les tendances adolescentes : il a peu d’amis, s’intéresse moins aux fêtes, discothèques, aux filles et à l’alcool qu’aux jeux de rôle alors dans leur premier boom. Son comportement bourgeois et méfiant y contribue, bien qu’il ne soit pas dénué de vie sociale ni renfermé. Dominic parle tôt couramment l’anglais, grâce aux habitudes culturelles de sa mère et à ses voyages réguliers aux États-Unis, pour rendre visite à la famille maternelle comme pour découvrir une terre fascinante. Déjà stratège lucide, il se spécialise aussi dans l’espagnol.
Aidé par des études bien menées à l’ESCG de Paris et l’aide de son père, il devient trader de la même société à 24 ans. Son talent, dépassant sans peine celui de son géniteur, lui permet de monter dans le monde de la finance et l’estime des grands. Arrivé à la trentaine, il a déjà généré une fortune personnelle respectable, et siège au haut conseil de sa société. Il est aussi un actionnaire terriblement calculateur et efficace. Peu confiant envers le marché boursier français frileux et modeste, il élargit de plus en plus ses rapports avec les américains, dont il se considère aussi proche que de ses compatriotes. Son talent non méconnu finit par le récompenser : en 2003, il reçoit une invitation de la prestigieuse banque américaine Goldman Sachs pour un poste de trader privilégié. N’hésitant pas une seconde, l’ambitieux et confiant français émigre alors à Wall Street. A partir de ce moment, il vivra entre Paris et Manhattan ; il se découvrira aussi un certain goût pour le sud de la France, et passera certaines de ses vacances dans les hauteurs d’Antibes.
L’écolo militantEn 2005, alors très fortuné, il exécute un projet d’envergure, suite à une progressive montée de son intérêt durant ces dernières années parallèlement nouvelle pensée pour l’idée du développement d’entreprises d’écologie massive permettant de « changer le monde tout en se faisant des profits » : Greene Planet est fondée, devenant une des grandes entreprises précurseurs des énergie renouvelables, la recherche pour le développement durable et l’encouragement de l’écologie. Pour des raisons personnelles plus que des intérêts financiers, elle sera toujours de première importance pour Dominic. 100 pour 100 américaine, elle est implantée dans des grands terrains de Virginie. Elle dispose dés ses débuts d'une réserve d'une centaine de millions de dollars, prouvant la foi et l'engagement de son créateur.
Arrivée dans le terrorismeC’est là qu’arrive le plus important, l’entrée de Mr. Greene dans le monde de l’espionnage. Un an après son entrée à
Goldman Sachs, un des actionnaires qu’il n’avait jusque là jamais remarqué lui fait une proposition stupéfiante, au nom d’un puissant anonyme de la finance pour lequel il travaille : exécuter le même travail au service d’une société clandestine, pour plus d’argent, et surtout, promet-il, plus tard peut être… de pouvoir. Tant par peur que par attirance, Dominic accepte et quitte sa banque pour cette « société ». Cette société, elle ne veut pas lui donner son nom, il sait uniquement que c'est une organisation internationale mouillant dans l’argent sale et le terrorisme, visant à augmenter ses profits et son pouvoir, si influente que certains gouvernements du tiers monde n’oseraient se la mettre à dos, et les gouvernements des pays les plus puissants la craignent. Il ne se plaindra pas d'être écarté des secrets de ses nouveaux mautrees. La vie de Dominic change considérablement, il doit se déplacer régulièrement de pays en pays et gérer des activités plus complexes encore qu’il n’avait connu, et aussi plus crapuleuses encore que pour ses anciens employeurs pourtant peu moraux. Ce qui ne l’empêche d’être un des meilleurs financiers de l'organisation, et petit à petit, la chance aidant la reconnaissance, de ne plus s'approcher que des autres financiers de l'organisation, mais de vrais membres influents, en face à face. En plus de son talent de calculateur lucide, celui de diplomate et d’orateur lui sont progressivement reconnus par les hauts placés. Les responsabilités financières de Dominic s'alourdissent, pour son plus grand plaisir. Les transactions puis gestions d'argent sale lui sont de plus en plus confiées. En 2009, il se voit enfin offrir le droit de "conseiller" des actes scélérats, d'élimination propre, délocalisation, chantages odieux et arnaques. Il apprend d'ailleurs enfin pour qui il travaille : le SPECTRE. L’avènement de l’homme d’affaire en terroriste est commencé dans son esprit. C’est ainsi que le français découvre de plus en plus le pouvoir. Pouvoir d’influencer, pouvoir de manipuler, pouvoir d’effrayer, pouvoir de posséder la puissance, et… pouvoir de tuer. Le psychopathe nait rapidement, comme s’il avait toujours été emprisonné dans l’œuf et attendant sa libération. Avec ses sombres actions commises à distance, sa folie mégalomane et comportementale crève la surface. Elle s'exprimera sans bride lorsque lui seront confiées de vraies responsabilités sur le terrain. C'est d'ailleurs précisément ce qui risque d'arriver. Il y a quelques jours, Dominic a eu le privilège de parler au Docteur No en personne, le numéro 2 de l'organisation. La rumeur raconte même que le numéro 1, dont il ignore encore le nom comme le visage, souhaiterait s'entretenir avec lui pour la première fois, dans un entretien d'importance...
Relations sociales : Des collègues et collaborateurs qui au mieux l'apprécient, mais bien peu de vrais amis. Ainsi se résume la vie sociale de Mr. Greene depuis 10 ans, qui s'il vit la plupart du temps entouré et sans s'en sentir oppressé, cultive peu de réelles amitiés. Ses vacances, il les passe seul d'une manière, avec ses gardes de sécurité. Des amis solides, indéfaisables, constant, voilà ce qu'il ne connait plus depuis longtemps. Il a eu quelques conquêtes féminines dans sa vie, ce qui n'est en rien exceptionnel dans le monde dans lequel il est fondu, mais n'a jamais su les conserver longtemps. Simple malchance ou capacité de déplaire ? Le mystère n'est pas encore résolu. Il a une vision assez libérée du couple, vision d'athée-matérialiste qui regarde le mariage avec un vague dégoût et rejette l'idée d'avoir des enfants un jour. Cela, bien qu'il soit entrée dans la quarantaine...
photo en civilComment avez vous connu le forum : des amis rencontrés sur un autre forum me l’ont proposé, j’ai quitté définitivement l’ancien forum et me voici
Sur 7 jours, combien de jours allez vous vous connecter : en vacances, presque tous, hors-vacance je sais pas
Est-ce un double-compte : non